—No. Ya me pongo de pie. Sé que en unos segundos tendré suficientes fuerzas. Lo presiento. Pero necesito estar así; necesito sentir la espalda contra el suelo y escuchar cómo el hielo se derrite bajo mi abrigo.
— Rubén, por favor. Haz lo que quieras. Toma vacaciones. Regresa. Coge un avión, ve para allá y luego decides qué haces con tu vida. Pero levántate ya mismo.
— Ten paciencia. Yo no quiero volver, yo no sé volver. Y ahora te pido sólo un minuto. Si quieres mira el reloj y lo cuentas. Es sólo un minuto.
— Me voy a marchar si no te levantas.- dijo la mujer con los puños apretados.
— Si quieres ve caminando, yo te alcanzo, lo prometo.
— Rubén, por lo que más quieras, ya el atasco llega hasta la otra manzana. Lo digo en serio. Me largo si no te pones de pie ya mismo.
— Es muy poco tiempo, muy poco, necesito un minuto apenas.- dijo él.
Traduction temporaire :
— Non. Je vais me lever. Je sais que dans quelques secondes j’aurai assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter le gel qui fond sous mon manteau.
— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Prends des vacances. Rentre. Monte dans un avion, va là-bas et décide ensuite de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et là, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. Rien qu'une minute.
— Je m'en vais si tu ne te lèves pas, l'avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, promis.
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te parle sérieusement. Je m'en vais, si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.
— Non. Je vais me lever. Je sais que dans quelques secondes j’aurai assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter le gel qui fond sous mon manteau.
— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Prends des vacances. Rentre. Monte dans un avion, va là-bas et décide ensuite de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et là, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. Rien qu'une minute.
— Je m'en vais si tu ne te lèves pas, l'avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, promis.
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te parle sérieusement. Je m'en vais, si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.
— Non. Je suis presque debout. Je sais que dans quelques secondes j’aurais assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter comme le gel fond sous mon manteau.
RépondreSupprimer— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Prends des vacances. Rentre. Prends un avion, va là-bas et ensuite décide de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et maintenant, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. Ce n’est qu’une minute.
— Je vais y aller, si tu ne te lèves pas, avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, je le promets.
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te le dis sérieusement. Je pars, si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.
— Non. Je suis presque debout [pas ce qu'il dit]. Je sais que dans quelques secondes j’aurais assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter comme [« comment » ? ou rien du tout, d'ailleurs… Fais des essais] le gel fond sous mon manteau.
RépondreSupprimer— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Prends des vacances. Rentre. Prends [tu l'as juste avant] un avion, va là-bas et ensuite [place-le après] décide de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et maintenant, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. Ce n’est [naturel ?] qu’une minute.
— Je vais y aller, si tu ne te lèves pas [naturel ? Peut-être un pb de syntaxe], [« l' »]avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, je le promets [« promis »].
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te le dis sérieusement [naturel]. Je pars, si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.
— Non. Je vais me lever. Je sais que dans quelques secondes j’aurais assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter le gel qui fond sous mon manteau.
RépondreSupprimer— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Pars en vacances. Rentre. Prends un avion, va là-bas et décide ensuite de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et maintenant, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. C’est qu’une minute.
— Je m'en vais si tu ne te lèves pas, l'avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, promis.
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te parle sérieusement. Je pars, si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.
— Non. Je vais me lever. Je sais que dans quelques secondes j’aurais [grammaire] assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter le gel qui fond sous mon manteau.
RépondreSupprimer— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Pars en vacances. Rentre. Prends un avion, va là-bas et décide ensuite de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et maintenant, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. C’est qu’[« Rien qu'»]une minute.
— Je m'en vais si tu ne te lèves pas, l'avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, promis.
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te parle sérieusement. Je pars [« m'en vais »], si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.
— Non. Je vais me lever. Je sais que dans quelques secondes j’aurai assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter le gel qui fond sous mon manteau.
RépondreSupprimer— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Pars en vacances. Rentre. Prends un avion, va là-bas et décide ensuite de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et maintenant, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. Rien qu'une minute.
— Je m'en vais si tu ne te lèves pas, l'avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, promis.
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te parle sérieusement. Je m'en vais, si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.
— Non. Je vais me lever. Je sais que dans quelques secondes j’aurai assez de forces. Je le pressens. Mais j’ai besoin d’être comme ça ; j’ai besoin de sentir mon dos contre le sol et d’écouter le gel qui fond sous mon manteau.
RépondreSupprimer— Rubén, s’il te plaît. Fais ce que tu veux. Prends des vacances. Rentre. Monte dans un avion, va là-bas et décide ensuite de ce que tu fais de ta vie. Mais lève-toi tout de suite.
— Patience. Je ne veux pas rentrer, je ne sais pas comment rentrer. Et là, je te demande seulement une minute. Si tu veux, regarde ta montre et compte. Rien qu'une minute.
— Je m'en vais si tu ne te lèves pas, l'avertit la femme, les poings serrés.
— Si tu veux, pars devant, je te rattraperai, promis.
— Rubén, je t’en prie, l’embouteillage atteint déjà l’autre pâté de maisons. Je te parle sérieusement. Je m'en vais, si tu ne te mets pas debout immédiatement.
— Je n’en ai pas pour longtemps, vraiment, j’ai besoin d’une minute à peine.
Avec qqs modifs… OK.