Durante el día estudian el idioma de la muerte en la carroña de cada drama anónimo, pero de noche son aves atrapadas en una red, dos pieles hambrientas de placer y daño.
Traduction temporaire :
La journée, ils étudient la langue de la mort dans la charogne de chaque drame anonyme, mais la nuit, ce sont des oiseaux pris au piège, deux peaux affamées de plaisir et de souffrance.
La journée, ils étudient la langue de la mort dans la charogne de chaque drame anonyme, mais la nuit, ce sont des oiseaux pris au piège, deux peaux affamées de plaisir et de souffrance.
La journée, ils étudient la langue de la mort dans la charogne de chaque drame anonyme, mais la nuit, ce sont des rapaces pris au piège, deux peaux affamées de plaisir et de douleur.
RépondreSupprimerMaïté
La journée, ils étudient la langue de la mort dans la charogne de chaque drame anonyme, mais la nuit, ce sont des rapaces [pas une surtraduction ?] pris au piège, deux peaux affamées de plaisir et de douleur [inexact ?].
RépondreSupprimerLa journée, ils étudient la langue de la mort dans la charogne de chaque drame anonyme, mais la nuit, ce sont des oiseaux pris au piège, deux peaux affamées de plaisir et de peine (c'est plus juste?).
RépondreSupprimerMaïté
La journée, ils étudient la langue de la mort dans la charogne de chaque drame anonyme, mais la nuit, ce sont des oiseaux pris au piège, deux peaux affamées de plaisir et de peine (c'est plus juste? En fait, je me demande si là, ça n'est pas « souffrance » ; qu'en penses-tu ?).
RépondreSupprimerLa journée, ils étudient la langue de la mort dans la charogne de chaque drame anonyme, mais la nuit, ce sont des oiseaux pris au piège, deux peaux affamées de plaisir et de souffrance (oui en effet, c'est le sens que j'avais compris, c'est pour ça que j'avais mis "douleur" au début).
RépondreSupprimerMaïté
La journée, ils étudient la langue de la mort dans la charogne de chaque drame anonyme, mais la nuit, ce sont des oiseaux pris au piège, deux peaux affamées de plaisir et de souffrance.
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