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jeudi 1 mai 2014

Projet Annelise 1 – phrases 17-18

En noches como esa, cuando vivíamos juntos, le daba la espalda, me ovillaba como un feto y esperaba que ella me abrazara por detrás. Sentía que algo se colaba entre los resquicios de la realidad y dejaba una sombra al descubierto.

Traduction temporaire :
Certaines nuits comme celle-là, quand nous vivions ensemble, je lui tournais le dos, me pelotonnais comme un fœtus et attendais qu'elle m'enlace par derrière. Je sentais que quelque chose se faufilait dans les interstices de la réalité et laissait une ombre à découvert.

7 commentaires:

  1. Annelise L

    Certaines nuits comme celle-là, quand nous vivions ensemble, je lui tournais le dos, me pelotonnais comme un fœtus et attendais qu'elle m'enlace par derrière.

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  2. Annelise L

    Je sentais que quelque chose se faufilait entre les lueurs de la réalité et laissait deviner une ombre.

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  3. Annelise L

    Certaines nuits comme celle-là, quand nous vivions ensemble, je lui tournais le dos, me pelotonnais comme un fœtus et attendais qu'elle m'enlace par derrière. Je sentais que quelque chose se faufilait entre les lueurs de la réalité et laissait deviner une ombre.

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  4. Certaines nuits comme celle-là, quand nous vivions ensemble, je lui tournais le dos, me pelotonnais comme un fœtus et attendais qu'elle m'enlace par derrière. Je sentais que quelque chose se faufilait entre les lueurs [FS ici] de la réalité et laissait deviner [CS] une ombre.

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  5. Annelise L

    Certaines nuits comme celle-là, quand nous vivions ensemble, je lui tournais le dos, me pelotonnais comme un fœtus et attendais qu'elle m'enlace par derrière. Je sentais que quelque chose se faufilait dans les interstices de la réalité et laissait une ombre à découvert.

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  6. Certaines nuits comme celle-là, quand nous vivions ensemble, je lui tournais le dos, me pelotonnais comme un fœtus et attendais qu'elle m'enlace par derrière. Je sentais que quelque chose se faufilait dans les interstices de la réalité et laissait une ombre à découvert.

    OK.

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