A los 25 años no podía seguir pensando en los huevos del gallo y trabajaba como una loca, "aunque tenga que chupar kilómetros de pinga", decía. Ella se arreglaba, se pintaba, se compraba ropa bonita y calzones con bobos que siempre terminaba regalando a sus voraces clientes.
Traduction temporaire :
À 25 ans, elle ne pouvait plus continuer de bayer aux corneilles et elle travaillait comme une folle, "même si je dois sucer des kilomètres de bite", disait-elle. Elle se pomponnait, se maquillait, s'achetait de jolis vêtements et des culottes à froufrou qu'elle finissait toujours par offrir à ses clients voraces.
À 25 ans, elle ne pouvait plus continuer de bayer aux corneilles et elle travaillait comme une folle, "même si je dois sucer des kilomètres de bite", disait-elle. Elle se pomponnait, se maquillait, s'achetait de jolis vêtements et des culottes à froufrou qu'elle finissait toujours par offrir à ses clients voraces.
À 25 ans elle ne pouvait plus continuer à rêvasser et elle travaillait comme une folle, "même si je dois sucer des kilomètres de bite", disait-elle. Elle se pomponnait, se maquillait, s'achetait de jolis vêtements et des culottes à froufrou qu'elle finissait toujours par offrir à ses clients voraces.
RépondreSupprimerÀ 25 ans [virgule] elle ne pouvait plus continuer à rêvasser [c'est une expression en V.O. ; il faut une expression en français… Sinon, tu as une rupture de style] et elle travaillait comme une folle, "même si je dois sucer des kilomètres de bite", disait-elle. Elle se pomponnait, se maquillait, s'achetait de jolis vêtements et des culottes à froufrou qu'elle finissait toujours par offrir à ses clients voraces.
RépondreSupprimerÀ 25 ans, elle ne pouvait plus continuer de bayer aux corneilles et elle travaillait comme une folle, "même si je dois sucer des kilomètres de bite", disait-elle. Elle se pomponnait, se maquillait, s'achetait de jolis vêtements et des culottes à froufrou qu'elle finissait toujours par offrir à ses clients voraces.
RépondreSupprimerÀ 25 ans, elle ne pouvait plus continuer de bayer aux corneilles et elle travaillait comme une folle, "même si je dois sucer des kilomètres de bite", disait-elle. Elle se pomponnait, se maquillait, s'achetait de jolis vêtements et des culottes à froufrou, qu'elle finissait toujours par offrir à ses clients voraces.
RépondreSupprimerAvec l'ajout d'une virgule, OK.