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mercredi 16 juillet 2014

Projet Élise 3 – phrases 119-130

Sin brazos, sin piernas. Humor negro.
¿Quiénes son ustedes?
Las voces se apagaron un momento. Y luego, tras alisar un papel arrugado en la garganta, el de la izquierda dijo:
Faso, me dicen Faso. Antes me llamaba de otro modo. Pero nadie conserva los viejos nombres en este lugar.
Yo me llamo Zebrel, Guido Zebrel, y no veo por qué tendría que perder mi nombre de toda la vida.
Se equivoca. Ya verá por qué —dijo el de la derecha.
O no —dijo Faso.

Traduction temporaire :
Sans bras, ni jambes. Humour noir. 
— Qui êtes-vous ?
Les voix se turent un moment. Puis, après avoir défroissé un papier en boule dans sa gorge, celui de gauche déclara : 
— Faso, on m'appelle Faso. avant, je m'appelais autrement. Mais personne ne conserve son ancien nom, ici.
— Moi, c'est Zebrel, Guido Zebrel. Et je ne vois pas pourquoi je devrais perdre mon nom de toujours.
— Vous vous trompez. Vous verrez pourquoi plus tard, affirma celui de droite.

— Ou pas, rétorqua Faso.

5 commentaires:

  1. Sans bras, ni jambes. Humour noir.
    — Qui êtes-vous ? Les voix se turent un moment. Puis, après avoir défroissé un papier plié dans sa gorge, celui de gauche déclara :
    — Faso, on m'appelle Faso. avant, je m'appelais autrement. Mais personne ne conserve son ancien nom ici.
    — Moi c'est Zebrel, Guido Zebrel. Et je ne vois pas pourquoi je devrais perdre mon nom de toujours.
    — Vous vous trompez. Vous verrez bien pourquoi, affirma celui de droite.
    — Ou pas, rétorqua Faso.

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  2. Sans bras, ni jambes. Humour noir.
    — Qui êtes-vous ?
    Les voix se turent un moment. Puis, après avoir défroissé un papier plié [« en boule » ?] dans sa gorge, celui de gauche déclara :
    — Faso, on m'appelle Faso. avant, je m'appelais autrement. Mais personne ne conserve son ancien nom [virgule] ici.
    — Moi [VIRGULE] c'est Zebrel, Guido Zebrel. Et je ne vois pas pourquoi je devrais perdre mon nom de toujours.
    — Vous vous trompez. Vous verrez bien [naturel ?] pourquoi, affirma celui de droite.
    — Ou pas, rétorqua Faso.

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  3. Sans bras, ni jambes. Humour noir.
    — Qui êtes-vous ?
    Les voix se turent un moment. Puis, après avoir défroissé un papier en boule dans sa gorge, celui de gauche déclara :
    — Faso, on m'appelle Faso. avant, je m'appelais autrement. Mais personne ne conserve son ancien nom, ici.
    — Moi, c'est Zebrel, Guido Zebrel. Et je ne vois pas pourquoi je devrais perdre mon nom de toujours.
    — Vous vous trompez. Vous verrez pourquoi plus tard, affirma celui de droite.
    — Ou pas, rétorqua Faso.

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  4. Sans bras, ni jambes. Humour noir.
    — Qui êtes-vous ?
    Les voix se turent un moment. Puis, après avoir défroissé un papier en boule dans sa gorge, celui de gauche déclara :
    — Faso, on m'appelle Faso. avant, je m'appelais autrement. Mais personne ne conserve son ancien nom, ici.
    — Moi, c'est Zebrel, Guido Zebrel. Et je ne vois pas pourquoi je devrais perdre mon nom de toujours.
    — Vous vous trompez. Vous verrez pourquoi plus tard, affirma celui de droite.
    — Ou pas, rétorqua Faso.

    OK.

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  5. Sans bras, ni jambes. Humour noir.
    — Qui êtes-vous ?
    Les voix se turent un moment. Puis, après avoir défroissé un papier en boule dans sa gorge, celui de gauche déclara :
    — Faso, on m'appelle Faso. Avant, je m'appelais autrement. Mais personne ne conserve son ancien nom, ici.
    — Moi, c'est Zebrel, Guido Zebrel. Et je ne vois pas pourquoi je devrais perdre mon nom de toujours.
    — Vous vous trompez. Vous verrez pourquoi plus tard, affirma celui de droite.
    — Ou pas, rétorqua Faso.

    Il y avait une coquille (majuscule) donc je l'ai repostée.

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