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samedi 5 juillet 2014

Projet Hélène 2 – phrases 66-70

Guilhe... –dijo, instintivamente. Vi que su rostro adquiría una ternura ruda, sutilmente conmovida–: cuánto siento lo de tu padre, niño. Me enteré hoy por la tarde y he venido en cuanto pude...
Te lo agradezco mucho –lo interrumpí, no quise terminar de escuchar su consuelo–. Sabes que tienes tanto derecho a estar aquí como yo.

Traduction temporaire :

— Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage prenait une expression de tendresse rude, subtilement émue. Petit, je suis tellement désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.
— Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.

6 commentaires:

  1. — Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage esquissait une expression de tendresse rude, subtilement émue : petit, je suis vraiment désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.

    — Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.

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  2. — Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage esquissait [un peu surtraduit] une expression de tendresse rude, subtilement émue : petit, je suis vraiment [« tellement » ?] désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.
    — Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.

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  3. — Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage prenait une expression de tendresse rude, subtilement émue : petit, je suis tellement désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.
    — Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.

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  4. — Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage prenait une expression de tendresse rude, subtilement émue : [point] petit, je suis tellement désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.
    — Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.

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  5. — Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage prenait une expression de tendresse rude, subtilement émue. Petit, je suis tellement désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.
    — Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.

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  6. — Guilhe…, répondit-il instinctivement. Je vis que son visage prenait une expression de tendresse rude, subtilement émue. Petit, je suis tellement désolé pour ton père. Je l’ai appris cet après-midi et je suis venu dès que j’ai pu.
    — Je te remercie beaucoup, l’interrompis-je, ne voulant pas écouter ses condoléances jusqu’à la fin. Tu sais que tu as autant le droit que moi d’être ici.

    OK.

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