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lundi 15 décembre 2014

Projet Émeline 4 – titre + dédicace + exergue + phrases 1-2

Giovanni Barletti Araujo
(Pérou)

Tarde de poeta

A Katherine Teresa Ruiz.

«El perfecto neurótico», se dijo mirándose al espejo. Subproducto de una idea, escoria de un pensamiento.
F.S. FITZGERALD, La tarde de un escritor.


A esta hora ya ha terminado el almuerzo, ciudad pequeña sin gente por los jirones estrechos y demasiado calor en el aire. Los versos no vienen a la mente, se cuelan por la puerta abierta de alguna casa y su cortina altiva que contiene aún los pocos sonidos y miradas defuera.

Traduction temporaire :

Giovanni Barletti Araujo
(Pérou)

« L'après-midi d'un poète » 

À Katherine Teresa Ruiz

« Le parfait névrosé », se dit-il en se contemplant dans la glace.
« Sous-produit de l’idée, scorie du rêve »
F. S. Fitzgerald, L’après-midi d’un écrivain*

À cette heure-ci, le déjeuner est déjà terminé ; petite ville sans personne à travers les lambeaux étroits et trop de chaleur dans l’air. Les vers ne viennent pas à l’esprit, ils se faufilent par la porte ouverte d’une maison et son rideau hautain qui contient encore les quelques rares sons et regards du dehors.


* Ndt. L'après-midi d'un écrivain, traduit par Marc Chénetier, dans "La fêlure et autres nouvelles", Gallimard, Folio.

4 commentaires:

  1. Giovanni Barletti Araujo
    (Pérou)

    Après-midi d’un poète.

    À Katherine Teresa Ruiz.

    « Le parfait névrosé », se dit-il en se contemplant dans la glace.
    « Sous-produit de l’idée, scorie du rêve »
    F. S. FITZGERALD, L’après-midi d’un écrivain.

    À cette heure-ci, le déjeuner est déjà terminé; petite ville sans personne à travers les lambeaux étroits et trop de chaleur dans l’air. Les vers ne viennent pas à l’esprit, ils se faufilent par la porte ouverte d’une maison et son rideau hautain qui contient encore les quelques sons et regards du dehors.

    [exergue: F. Scott Fitzgerald, "L'après-midi d'un écrivain", traduit par Marc Chénetier, dans "La fêlure et autres nouvelles", Folio]

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  2. Giovanni Barletti Araujo
    (Pérou)

    Après-midi d’un poète. [« Après-midi de poète » / « L'après-midi d'un poète » ?]

    À Katherine Teresa Ruiz

    « Le parfait névrosé », se dit-il en se contemplant dans la glace.
    « Sous-produit de l’idée, scorie du rêve »
    F. S. FITZGERALD [en minuscules], L’après-midi d’un écrivain.

    À cette heure-ci, le déjeuner est déjà terminé[espace]; petite ville sans personne à travers les lambeaux étroits et trop de chaleur dans l’air. Les vers ne viennent pas à l’esprit, ils se faufilent par la porte ouverte d’une maison et son rideau hautain qui contient encore les quelques [cheville : « rares » ou inutile ? Comme tu veux]sons et regards du dehors.

    Ndt. L'après-midi d'un écrivain, traduit par Marc Chénetier, dans "La fêlure et autres nouvelles", Gallimard, Folio.

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  3. Giovanni Barletti Araujo
    (Pérou)

    « L'après-midi d'un poète »

    À Katherine Teresa Ruiz

    « Le parfait névrosé », se dit-il en se contemplant dans la glace.
    « Sous-produit de l’idée, scorie du rêve »
    F. S. Fitzgerald, L’après-midi d’un écrivain.

    À cette heure-ci, le déjeuner est déjà terminé ; petite ville sans personne à travers les lambeaux étroits et trop de chaleur dans l’air. Les vers ne viennent pas à l’esprit, ils se faufilent par la porte ouverte d’une maison et son rideau hautain qui contient encore les quelques rares sons et regards du dehors.

    Ndt. L'après-midi d'un écrivain, traduit par Marc Chénetier, dans "La fêlure et autres nouvelles", Gallimard, Folio.

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  4. Giovanni Barletti Araujo
    (Pérou)

    « L'après-midi d'un poète »

    À Katherine Teresa Ruiz

    « Le parfait névrosé », se dit-il en se contemplant dans la glace.
    « Sous-produit de l’idée, scorie du rêve »
    F. S. Fitzgerald, L’après-midi d’un écrivain*

    À cette heure-ci, le déjeuner est déjà terminé ; petite ville sans personne à travers les lambeaux étroits et trop de chaleur dans l’air. Les vers ne viennent pas à l’esprit, ils se faufilent par la porte ouverte d’une maison et son rideau hautain qui contient encore les quelques rares sons et regards du dehors.

    * Ndt. L'après-midi d'un écrivain, traduit par Marc Chénetier, dans "La fêlure et autres nouvelles", Gallimard, Folio.

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