Por fin, estaba fuera de ese quiosco desvencijado y me arrullaba en la calidez de su bolso, embriagado por su perfume.
Traduction temporaire :
J'étais enfin hors de ce kiosque déglingué et elle me berçais dans la chaleur de son sac, enivré par son parfum.
J'étais enfin hors de ce kiosque déglingué et elle me berçais dans la chaleur de son sac, enivré par son parfum.
Enfin, j'étais hors de ce kiosque déglingué et je me suis roucoulé dans la chaleur de son sac, enivré par son parfum.
RépondreSupprimerEnfin, j'étais hors de ce kiosque déglingué et je me suis roucoulé [temps + sens ????] dans la chaleur de son sac, enivré par son parfum.
RépondreSupprimerEnfin, j'étais hors de ce kiosque déglingué et je m'étais trouvé dans la chaleur de son sac, enivré par son parfum.
RépondreSupprimerEnfin [vous devriez le plus plus loin], j'étais hors de ce kiosque déglingué et je m'étais trouvé [temps + pas ce que dit la V.O.] dans la chaleur de son sac, enivré par son parfum.
RépondreSupprimerEnfin [je n'ai pas compris, on doit remplacé "enfin" par un autre synonyme ? Ou bien?], j'étais hors de ce kiosque déglingué et je me berçais dans la chaleur de son sac, enivré par son parfum.
RépondreSupprimerFinalement, j'étais hors de ce kiosque déglingué et elle me berçais dans la chaleur de son sac, enivré par son parfum.
RépondreSupprimerFinalement [je ne vous ai pas dit de le changer, mais de le mettre ailleurs dans la phrase], j'étais hors de ce kiosque déglingué et elle me berçais dans la chaleur de son sac, enivré par son parfum.
RépondreSupprimerJ'étais enfin hors de ce kiosque déglingué et elle me berçais dans la chaleur de son sac, enivré par son parfum.
RépondreSupprimerJ'étais enfin hors de ce kiosque déglingué et elle me berçais dans la chaleur de son sac, enivré par son parfum.
RépondreSupprimerJ'étais enfin hors de ce kiosque déglingué et elle me berçais dans la chaleur de son sac, enivré par son parfum.
RépondreSupprimerOK.
Kaina ?
D'accord
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