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mercredi 7 février 2018

Projet Justine / Elena – texte 174

Regocijo

Él vio a una desconocida, está seguro.  —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo. El resto de la barra apoya al desconfiado.  —¡La vi con estos dos ojos! —los chiquilines ríen, su ojo izquierdo, que a ratos se desvía como si quisiera unir fuerzas con la nariz, ni derecho ni tor- cido logra ver nada—. Dejó un ramo de flores abajo del árbol que está después del paredón. Capaz que hay un muerto ahí, enterrado —agrega con el desparpajo que le otorgan sus diez años largos de hambre. Sonrisa torcida, perversa.  Haciendo caso omiso a la escarcha que el sol aún no derrite, recogen del basural algo que fue una pala. Entusiasmados, discuten quién será el que cave, pues cada uno encuentra el argumento que justifica su derecho a usarla. La expectativa colorea sus mejillas magras, los excita.  —Yo pateo las flores si todavía no las han cagado los perros —anuncia—. ¿Y si el muerto tiene anillo, cadena, medallita? —habla entre risas.  Los otros, mocos expuestos al aire gélido, ríen con él. La felicidad es contagiosa.

Traduction temporaire :

Gaieté

Il a vu une inconnue, il en est sûr. — Mais comment, si la nuit l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir ? lui reproche un enfant au visage sale et recouvert de croûtes de crasse qui semblent multiplier par deux son faible poids. Le reste du bar soutient le sceptique.  — Je l'ai vue de mes yeux vus !  Les gamins se marrent. Son œil gauche dévie de temps en temps, comme s'il voulait unir ses forces à celles du nez ; or, aligné ou de travers, il ne voit rien. Elle a déposé un bouquet de fleurs sous l'arbre derrière le gros mur. Possible qu'il y ait un mort enterré là, ajoute-t-il avec la désinvolture que lui confère ses dix longues années passées à avoir faim. Sourire tordu, pervers. Ignorant le givre que le soleil ne fait pas encore fondre, ils récupèrent dans le tas d'ordures quelque chose qui fut jadis une pelle. Enthousiastes, ils débattent pour savoir qui creusera, parce que chacun trouve l'argument justifiant son droit de l'utiliser. Cette perspective colore leur joues maigres, les excite. — Je piétine les fleurs si les chiens n'ont pas encore chié dessus, annonce-t-il. Et si le mort a une bague, une chaîne, une petite médaille ? Il parle au milieu des rires. Les autres, leur morve exposée en plein vent glacial, rient avec lui. Le bonheur est contagieux.

70 commentaires:

  1. Regocijo

    Él vio a una desconocida, está seguro.

    Joie

    Il a vu une inconnue, il en est sûr.

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  2. Regocijo

    Él vio a una desconocida, está seguro.

    Joie

    Il a vu une inconnue, il en est sûr.

    OK.

    Elena ?

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  3. Joie ["Gaieté" ?]

    Il a vu une inconnue, il en est sûr.

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  4. Gaieté

    Il a vu une inconnue, il en est sûr.

    OK.

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  5. —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo.
    El resto de la barra apoya al desconfiado.

    — Comment, alors que l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir de nuit ? lui reproche un enfant au visage sale dont les croûtes de crasse semblent doubler son maigre poids.
    Le reste du bar soutient le sceptique.

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  6. —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo.
    El resto de la barra apoya al desconfiado.

    — Comment, alors que l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir de nuit ? lui reproche un enfant au visage sale dont [passe par un point, qui évitera ce « dont » ; tout ça est lourd] les croûtes de crasse semblent doubler son maigre poids [la fin manque de fluidité].
    Le reste du bar soutient le sceptique.

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  7. —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo.
    El resto de la barra apoya al desconfiado.

    — Mais comment, si la nuit l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir ? lui reproche un enfant au visage sale. Ses croûtes de crasse semblent multiplier par deux son faible poids.
    Le reste de la bande soutient le sceptique.

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  8. —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo.
    El resto de la barra apoya al desconfiado.

    — Mais comment, si la nuit l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir ? lui reproche un enfant [ici, le point ; sinon, après, on ne sait plus que ce sont les croutes du visage] au visage sale. Ses croûtes de crasse semblent multiplier par deux son faible poids.
    Le reste de la bande soutient le sceptique.

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  9. —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo.
    El resto de la barra apoya al desconfiado.

    — Mais comment, si la nuit l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir ? lui reproche un enfant. Au visage sale et plein de croûtes de crasse qui semblent multiplier par deux son faible poids.

    Le reste de la bande soutient le sceptique.

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  10. —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo.
    El resto de la barra apoya al desconfiado.

    — Mais comment, si la nuit l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir ? lui reproche un enfant. Au [« Son » + aménagez le reste] visage sale et plein de croûtes de crasse qui semblent multiplier par deux son faible poids.

    Le reste de la bande soutient le sceptique.

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  11. —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo.
    El resto de la barra apoya al desconfiado.

    — Mais comment, si la nuit l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir ? lui reproche un enfant au visage sale et recouvert de croûtes de crasse qui semblent multiplier par deux son faible poids.

    *** Je comprends que les croûtes de crasse recouvrent tout son corps.

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  12. —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo.
    El resto de la barra apoya al desconfiado.

    — Mais comment, si la nuit l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir ? lui reproche un enfant. Son visage sale est couvert de croûtes de crasse qui donnent l'impression qu'il est deux fois plus gros.
    Le reste de la bande soutient le sceptique.

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  13. Elena, tu es sûre que là, ça ne désigne pas que le visage ?

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  14. Oui, car elles semblent multiplier son poids en entier. On peut dire aussi : "roñoso". C'est un enfant de la rue.

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  15. —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo.
    El resto de la barra apoya al desconfiado.

    — Mais comment, si la nuit l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir ? lui reproche un enfant. Son visage sale et son corps recouvert de croûtes de crasse le font paraître deux fois plus gros.
    Le reste de la bande soutient le sceptique.

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  16. —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo.
    El resto de la barra apoya al desconfiado.

    — Mais comment, si la nuit l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir ? lui reproche un enfant au visage sale et recouvert de croûtes de crasse qui semblent multiplier par deux son faible poids.

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  17. —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo.
    El resto de la barra apoya al desconfiado.

    — Mais comment, si la nuit l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir ? lui reproche un enfant. Son visage sale et son corps recouvert de croûtes de crasse le font paraître deux fois plus gros.
    Le reste de la bande soutient le sceptique.

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  18. —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo.
    El resto de la barra apoya al desconfiado.

    — Mais comment, si la nuit l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir ? lui reproche un enfant au visage sale et recouvert de croûtes de crasse qui semblent multiplier par deux son faible poids.

    OK.

    Justine ?

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  19. —¿Cómo, si el amontonamiento del basural apenas deja ver de noche? —le increpa un niño cara sucia cuyas costras de roña parecen duplicar su peso exiguo.
    El resto de la barra apoya al desconfiado.

    — Mais comment, si la nuit l'amoncellement d'ordures permet à peine de voir ? lui reproche un enfant au visage sale et recouvert de croûtes de crasse qui semblent multiplier par deux son faible poids.

    OK.

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  20. El resto de la barra apoya al desconfiado.
    —¡La vi con estos dos ojos! —los chiquilines ríen, su ojo izquierdo, que a ratos se desvía como si quisiera unir fuerzas con la nariz, ni derecho ni tor- cido logra ver nada.

    Le reste du bar soutient le sceptique.
    — Je l'ai vue de mes yeux vus ! Les gamins se marrent, son œil gauche qui dévie de temps en temps, comme s'il voulait unir ses forces à celles de son nez, ni droit, ni tordu, ne voit rien.

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  21. El resto de la barra apoya al desconfiado.
    —¡La vi con estos dos ojos! —los chiquilines ríen, su ojo izquierdo, que a ratos se desvía como si quisiera unir fuerzas con la nariz, ni derecho ni tor- cido logra ver nada.

    Le reste du bar soutient le sceptique.
    — Je l'ai vue de mes yeux vus !
    Les gamins se marrent, [point ?] son œil gauche qui dévie de temps en temps, comme s'il voulait unir ses forces à celles de son [possessif nécessaire ? J'hésite] nez, ni droit [pas super clair], ni tordu, ne voit rien.

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  22. El resto de la barra apoya al desconfiado.
    —¡La vi con estos dos ojos! —los chiquilines ríen, su ojo izquierdo, que a ratos se desvía como si quisiera unir fuerzas con la nariz, ni derecho ni tor- cido logra ver nada.

    Le reste du bar soutient le sceptique.
    — Je l'ai vue de mes yeux vus !
    Les gamins se marrent. Son œil gauche qui dévie de temps en temps, comme s'il voulait unir ses force à celles du nez, ni aligné,ni de travers ne voit rien.

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  23. El resto de la barra apoya al desconfiado.
    —¡La vi con estos dos ojos! —los chiquilines ríen, su ojo izquierdo, que a ratos se desvía como si quisiera unir fuerzas con la nariz, ni derecho ni tor- cido logra ver nada.

    Le reste du bar soutient le sceptique.
    — Je l'ai vue de mes yeux vus !
    Les gamins se marrent. Son œil gauche qui dévie de temps en temps, comme s'il voulait unir ses force à celles du nez, ni aligné, ni de travers [c'est quoi qui n'est ni aligné ni, ni de travers : le nez ? Elena ?] ne voit rien.

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  24. El resto de la barra apoya al desconfiado.
    —¡La vi con estos dos ojos! —los chiquilines ríen, su ojo izquierdo, que a ratos se desvía como si quisiera unir fuerzas con la nariz, ni derecho ni tor- cido logra ver nada.

    Le reste du bar soutient le sceptique.
    — Je l'ai vue de mes yeux vus !
    Les gamins se marrent. Son œil gauche qui dévie de temps en temps, comme s'il voulait unir ses forces à celles du nez, ni aligné, ni de travers [c'est quoi qui n'est ni aligné ni, ni de travers : le nez ? Elena ? // Non, "l’œil"] ne voit rien.

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  25. El resto de la barra apoya al desconfiado.
    —¡La vi con estos dos ojos! —los chiquilines ríen, su ojo izquierdo, que a ratos se desvía como si quisiera unir fuerzas con la nariz, ni derecho ni tor- cido logra ver nada.

    Le reste du bar soutient le sceptique.
    — Je l'ai vue de mes yeux vus !
    Les gamins se marrent. Son œil gauche qui dévie de temps en temps, comme s'il voulait unir ses forces à celles du nez, ni aligné, ni de travers [c'est quoi qui n'est ni aligné ni, ni de travers : le nez ? Elena ? // Non, "l’œil"… Du coup, là, la construction n'est pas claire / ambiguë] ne voit rien.

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  26. El resto de la barra apoya al desconfiado.
    —¡La vi con estos dos ojos! —los chiquilines ríen, su ojo izquierdo, que a ratos se desvía como si quisiera unir fuerzas con la nariz, ni derecho ni tor- cido logra ver nada.

    Le reste du bar soutient le sceptique.
    — Je l'ai vue de mes yeux vus !
    Les gamins se marrent. Son œil gauche dévie de temps en temps, comme s'il voulait unir ses forces à celles du nez, or, aligné ou de travers, il ne voit rien.

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  27. El resto de la barra apoya al desconfiado.
    —¡La vi con estos dos ojos! —los chiquilines ríen, su ojo izquierdo, que a ratos se desvía como si quisiera unir fuerzas con la nariz, ni derecho ni tor- cido logra ver nada.

    Le reste du bar soutient le sceptique.
    — Je l'ai vue de mes yeux vus !
    Les gamins se marrent. Son œil gauche dévie de temps en temps, comme s'il voulait unir ses forces à celles du nez ; or, aligné ou de travers, il ne voit rien.

    Avec un point-virgule, ok.

    Justine ?

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  28. El resto de la barra apoya al desconfiado.
    —¡La vi con estos dos ojos! —los chiquilines ríen, su ojo izquierdo, que a ratos se desvía como si quisiera unir fuerzas con la nariz, ni derecho ni tor- cido logra ver nada.

    Le reste du bar soutient le sceptique.
    — Je l'ai vue de mes yeux vus !
    Les gamins se marrent. Son œil gauche dévie de temps en temps, comme s'il voulait unir ses forces à celles du nez ; or, aligné ou de travers, il ne voit rien.

    OK.

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  29. Dejó un ramo de flores abajo del árbol que está después del paredón. Capaz que hay un muerto ahí, enterrado —agrega con el desparpajo que le otorgan sus diez años largos de hambre.

    Elle a déposé un bouquet de fleurs sous l'arbre derrière le gros mur. Possible qu'il y ait un mort enterré là, ajoute-t-il avec la désinvolture que lui confère ses dix longues années passées à avoir faim.

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  30. Dejó un ramo de flores abajo del árbol que está después del paredón. Capaz que hay un muerto ahí, enterrado —agrega con el desparpajo que le otorgan sus diez años largos de hambre.

    Elle a déposé un bouquet de fleurs sous l'arbre derrière le gros mur. Possible qu'il y ait un mort enterré là, ajoute-t-il avec la désinvolture que lui confère ses dix longues années passées à avoir faim.

    OK.

    Elena ?

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  31. Dejó un ramo de flores abajo del árbol que está después del paredón. Capaz que hay un muerto ahí, enterrado —agrega con el desparpajo que le otorgan sus diez años largos de hambre.

    Elle a déposé un bouquet de fleurs sous l'arbre derrière le gros mur. Possible qu'il y ait un mort enterré là, ajoute-t-il avec la désinvolture que lui confère ses dix longues années passées à avoir faim ["de famine" ?].

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  32. Dejó un ramo de flores abajo del árbol que está después del paredón. Capaz que hay un muerto ahí, enterrado —agrega con el desparpajo que le otorgan sus diez años largos de hambre.

    Elle a déposé un bouquet de fleurs sous l'arbre derrière le gros mur. Possible qu'il y ait un mort enterré là, ajoute-t-il avec la désinvolture que lui confère ses dix longues années passées à avoir faim ["de famine" ? Non, ce que Justine a proposé est plus près de la V.O. et, surtout, plus naturel].

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  33. Elle a déposé un bouquet de fleurs sous l'arbre derrière le gros mur. Possible qu'il y ait un mort enterré là, ajoute-t-il avec la désinvolture que lui confère ses dix longues années passées à avoir faim.

    OK.

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  34. Dejó un ramo de flores abajo del árbol que está después del paredón. Capaz que hay un muerto ahí, enterrado —agrega con el desparpajo que le otorgan sus diez años largos de hambre.

    Elle a déposé un bouquet de fleurs sous l'arbre derrière le gros mur. Possible qu'il y ait un mort enterré là, ajoute-t-il avec la désinvolture que lui confère ses dix longues années passées à avoir faim.

    OK.

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  35. Sonrisa torcida, perversa. Haciendo caso omiso a la escarcha que el sol aún no derrite, recogen del basural algo que fue una pala.

    Sourire tordu, pervers. Ignorant le givre que le soleil ne fait pas encore fondre, ils récupèrent dans le tas d'ordures quelque chose qui fut une pelle.

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  36. Sonrisa torcida, perversa. Haciendo caso omiso a la escarcha que el sol aún no derrite, recogen del basural algo que fue una pala.

    Sourire tordu, pervers. Ignorant le givre que le soleil ne fait pas encore fondre, ils récupèrent dans le tas d'ordures quelque chose qui fut [cheville : « jadis » ? Comme tu veux] une pelle.

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  37. Sonrisa torcida, perversa. Haciendo caso omiso a la escarcha que el sol aún no derrite, recogen del basural algo que fue una pala.

    Sourire tordu, pervers. Ignorant le givre que le soleil ne fait pas encore fondre, ils récupèrent dans le tas d'ordures quelque chose qui fut jadis une pelle.

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  38. Sonrisa torcida, perversa. Haciendo caso omiso a la escarcha que el sol aún no derrite, recogen del basural algo que fue una pala.

    Sourire tordu, pervers. Ignorant le givre que le soleil ne fait pas encore fondre, ils récupèrent dans le tas d'ordures quelque chose qui fut jadis une pelle.

    OK.

    Elena ?

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  39. Sourire tordu, pervers. Ignorant le givre que le soleil ne fait pas encore fondre, ils récupèrent dans le tas d'ordures quelque chose qui fut jadis une pelle.

    OK.

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  40. Entusiasmados, discuten quién será el que cave, pues cada uno encuentra el argumento que justifica su derecho a usarla. La expectativa colorea sus mejillas magras, los excita.

    Enthousiastes, ils débattent pour savoir qui creusera, parce que chacun trouve l'argument justifiant son droit de l'utiliser. Cette perspective colore leur joues maigres, les excite.

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  41. Entusiasmados, discuten quién será el que cave, pues cada uno encuentra el argumento que justifica su derecho a usarla. La expectativa colorea sus mejillas magras, los excita.

    Enthousiastes, ils débattent pour savoir qui creusera, parce que chacun trouve l'argument justifiant son droit de l'utiliser. Cette perspective colore leur joues maigres, les excite.

    OK.

    Elena ?

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  42. Enthousiastes, ils débattent pour savoir qui creusera, parce que chacun trouve l'argument justifiant son droit de l'utiliser. Cette perspective colore leur joues maigres, les excite.

    OK.

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  43. —Yo pateo las flores si todavía no las han cagado los perros —anuncia—. ¿Y si el muerto tiene anillo, cadena, medallita? —habla entre risas.
    Los otros, mocos expuestos al aire gélido, ríen con él.
    La felicidad es contagiosa.

    — Je piétine les fleurs si les chiens ont encore chié dessus, annonce-t-il. Et si le mort a une bague, une chaîne, une petite médaille ? Il parle entre deux éclats de rire.
    Les autres, morveux exposés à l'air glacé, rient avec lui.
    Le bonheur est contagieux.

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  44. —Yo pateo las flores si todavía no las han cagado los perros —anuncia—. ¿Y si el muerto tiene anillo, cadena, medallita? —habla entre risas.

    — Je piétine les fleurs si les chiens ont encore chié dessus, annonce-t-il. Et si le mort a une bague, une chaîne, une petite médaille ? Il parle entre deux éclats de rire.

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  45. —Yo pateo las flores si todavía no las han cagado los perros —anuncia—. ¿Y si el muerto tiene anillo, cadena, medallita? —habla entre risas.

    — Je piétine les fleurs si les chiens ont encore chié dessus, annonce-t-il. Et si le mort a une bague, une chaîne, une petite médaille ? Il parle entre deux éclats de rire.

    Relis-toi en prenant le temps de bien regarder la V.O.

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  46. —Yo pateo las flores si todavía no las han cagado los perros —anuncia—. ¿Y si el muerto tiene anillo, cadena, medallita? —habla entre risas.

    — Je piétine les fleurs si les chiens n'ont pas encore chié dessus, annonce-t-il. Et si le mort a une bague, une chaîne, une petite médaille ? Il parle entre deux éclats de rire.

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  47. —Yo pateo las flores si todavía no las han cagado los perros —anuncia—. ¿Y si el muerto tiene anillo, cadena, medallita? —habla entre risas.

    — Je piétine les fleurs si les chiens n'ont pas encore chié dessus, annonce-t-il. Et si le mort a une bague, une chaîne, une petite médaille ? Il parle entre deux éclats de rire [inexact ?].

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  48. —Yo pateo las flores si todavía no las han cagado los perros —anuncia—. ¿Y si el muerto tiene anillo, cadena, medallita? —habla entre risas.

    — Je piétine les fleurs si les chiens n'ont pas encore chié dessus, annonce-t-il. Et si le mort a une bague, une chaîne, une petite médaille ? Il parle au milieu des rires.

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  49. —Yo pateo las flores si todavía no las han cagado los perros —anuncia—. ¿Y si el muerto tiene anillo, cadena, medallita? —habla entre risas.

    — Je piétine les fleurs si les chiens n'ont pas encore chié dessus, annonce-t-il. Et si le mort a une bague, une chaîne, une petite médaille ? Il parle au milieu des rires.

    OK.

    Elena ?

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  50. — Je piétine les fleurs si les chiens n'ont pas encore chié dessus, annonce-t-il. Et si le mort a une bague, une chaîne, une petite médaille ? Il parle au milieu des rires.

    OK.

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  51. Los otros, mocos expuestos al aire gélido, ríen con él.
    La felicidad es contagiosa.

    Les autres, morveux exposés à l'air glacé, rient avec lui.
    Le bonheur est contagieux.

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  52. Los otros, mocos expuestos al aire gélido, ríen con él.
    La felicidad es contagiosa.

    Les autres, morveux [FS] exposés à l'air glacé, rient avec lui.
    Le bonheur est contagieux.

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  53. Los otros, mocos expuestos al aire gélido, ríen con él.
    La felicidad es contagiosa.

    Les autres, la morve au nez, exposés à l'air glacé, rient avec lui.
    Le bonheur est contagieux.

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  54. Los otros, mocos expuestos al aire gélido, ríen con él.
    La felicidad es contagiosa.

    Les autres, la morve au nez, exposés [CS… ponctuation, etc.] à l'air glacé, rient avec lui.
    Le bonheur est contagieux.

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  55. Los otros, mocos expuestos al aire gélido, ríen con él.
    La felicidad es contagiosa.

    Exposés à l'air glacial, les autres morveux rient avec lui.
    Le bonheur est contagieux.

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  56. Los otros, mocos expuestos al aire gélido, ríen con él.
    La felicidad es contagiosa.

    Exposés à l'air glacial, les autres morveux rient avec lui. [qu'est-ce qui est « exposés » ? et par ailleurs : MOCOS]
    Le bonheur est contagieux.

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  57. Los otros, mocos expuestos al aire gélido, ríen con él.
    La felicidad es contagiosa.

    Les autres, leur morve exposée à l'air glacial, rient avec lui.
    Le bonheur est contagieux.

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  58. Los otros, mocos expuestos al aire gélido, ríen con él.
    La felicidad es contagiosa.

    Les autres, leur morve exposée à l'air [ou : en plein vent ?] glacial, rient avec lui.
    Le bonheur est contagieux.

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  59. Los otros, mocos expuestos al aire gélido, ríen con él.
    La felicidad es contagiosa.

    Les autres, leur morve exposée en plein vent glacial, rient avec lui.
    Le bonheur est contagieux.

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  60. Los otros, mocos expuestos al aire gélido, ríen con él.
    La felicidad es contagiosa.

    Les autres, leur morve exposée en plein vent glacial, rient avec lui.
    Le bonheur est contagieux.

    OK.

    Elena ?

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  61. Les autres, leur morve exposée en plein vent glacial, rient avec lui.
    Le bonheur est contagieux.

    OK.

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Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.