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mercredi 4 avril 2018

Projet Justine / Elena – texte 208

Desamparo

Hoy Gonzalo cumple cinco años, pero nadie se lo ha dicho. Es de noche, está solo, en la casilla donde vive hace frío —aunque él no se de cuenta—. Busca una hoja de papel, blanca, de ser posible. Si apareciera una de color también la aceptaría, hasta con un pedazo de diario se conforma. Descubre una de color madera bajo las papas, sucia de tierra, arrugada, manchada con grasa. A esto le llama tener suerte. Quita la taza de la mesa y apoya la hoja estirándola lo mejor que puede. Agarra el lápiz naranja, lo encontró en el barro hace un rato. Lo que dibuje será su amigo, su compañía, piensa. No se decide. Los perros le dan miedo, gatos no quiere. Un nene chiquito tampoco, tendría que cuidarlo. Las mujeres son un problema: la abuela se murió y su mamá sale todas las noches; vuelve de mañana, cansada, de mal humor, y a pesar de que siempre tiene puestas pinturas de colores lindos sobre la cara hasta enferma parece. Claro que también hay hombres en el mundo, cada tanto aparece alguno por la casilla. A él, ni lo miran. Doña Amanda es otra cuestión. Una gorda de piel áspera y mirada suavecita que tiene una parte del pelo negro y otra parte blanca y otra anaranjada. Ella es la que todas las noches trae el café con leche pero después se vuelve a su casa y hasta ahora no lo ha invitado. Gonzalo piensa en Amanda y dibuja una señora. La cara un redondel con rulos, como ella. La boca una raya derecha, nunca la vio sonreír. Un triángulo por vestido. Los pies los hace de cualquier forma pero con las manos es cuidadoso, esas son las únicas manos que lo acarician. Al dibujo terminado lo guarda bajo la almohada. No es quiera tenerla encerrada pero ya se sabe como son los grandes, a la primera oportunidad, se escapan.

Traduction temporaire :

Abandon

Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Gonzalo, il a cinq ans. Mais personne ne lui a souhaité. C'est la nuit, il est seul. Dans la cabane où il habite, il fait froid – même s'il ne s'en rend pas compte. Il cherche une feuille de papier, blanche si possible. S'il en trouvait une de couleur, il la prendrait aussi, il se contenterait même d'un morceau de journal. Il en découvre une marron sous les patates, maculée de terre, froissée, avec des taches de graisse. Il appelle ça avoir de la chance. Il enlève sa tasse de la table et y pose la feuille en l'étalant du mieux qu'il peut. Il attrape le crayon orange qu'il a trouvé dans la boue il y a un moment. Son dessin deviendra son ami, lui tiendra compagnie, se dit-il. Il ne se décide pas. Les chiens lui font peur. Il ne veut pas de chats. Un enfant non plus, il lui faudrait s'en occuper. Les femmes sont un problème : sa grand-mère est morte et sa maman sort tous les soirs ; le matin, elle rentre fatiguée, de mauvaise humeur, et malgré son visage toujours bien maquillé, elle a quand même l'air malade. Bien sûr qu'il y a aussi des hommes dans le monde et de temps en temps, l'un d'entre eux fait son apparition dans la cabane. Lui, ils ne le regardent même pas. Doña Amanda, elle, c'est différent. Une grosse à la peau rugueuse et au regard tout doux, dont une partie des cheveux est noire, une autre blanche et la dernière orange. C'est elle qui, tous les soirs, lui apporte son café au lait, mais rentre ensuite chez elle. Jusqu'à présent, elle ne l'a pas invité. Gonzalo pense à Amanda et dessine une dame. Le visage, un rond avec des boucles, comme elle. La bouche, un trait droit, il ne l'a jamais vue sourire. Un triangle pour la robe. Les pieds, il les dessine n'importe comment. Par contre, pour les mains, il s'applique. Ces mains-là sont les seules qui le caressent. Il range le dessin terminé sous son oreiller. Non qu'il veuille la garder enfermée, mais on sait bien comment sont les adultes, à la première occasion, ils s'échappent.

84 commentaires:

  1. Desamparo
    Hoy Gonzalo cumple cinco años, pero nadie se lo ha dicho. Es de noche, está solo, en la casilla donde vive hace frío —aunque él no se de cuenta—

    Abandon

    Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Gonzalo, il a cinq ans, mais personne ne lui a souhaité. C'est la nuit, il est seul, dans la maisonnette où il habite il fait froid – même s'il ne s'en rend pas compte.

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  2. Desamparo
    Hoy Gonzalo cumple cinco años, pero nadie se lo ha dicho. Es de noche, está solo, en la casilla donde vive hace frío —aunque él no se de cuenta—

    Abandon

    Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Gonzalo, il a cinq ans, [point ? J'hésite] mais personne ne lui a souhaité. C'est la nuit, il est seul, [point ?] dans la maisonnette où il habite il fait froid – même s'il ne s'en rend pas compte.

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  3. Desamparo
    Hoy Gonzalo cumple cinco años, pero nadie se lo ha dicho. Es de noche, está solo, en la casilla donde vive hace frío —aunque él no se de cuenta—

    Abandon

    Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Gonzalo, il a cinq ans. Mais personne ne lui a souhaité. C'est la nuit, il est seul. Dans la maisonnette où il habite, il fait froid – même s'il ne s'en rend pas compte.

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  4. Desamparo
    Hoy Gonzalo cumple cinco años, pero nadie se lo ha dicho. Es de noche, está solo, en la casilla donde vive hace frío —aunque él no se de cuenta—

    Abandon

    Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Gonzalo, il a cinq ans. Mais personne ne lui a souhaité. C'est la nuit, il est seul. Dans la maisonnette où il habite, il fait froid – même s'il ne s'en rend pas compte.

    OK.

    Elena ?

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  5. Abandon

    Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Gonzalo, il a cinq ans. Mais personne ne lui a souhaité. C'est la nuit, il est seul. Dans la maisonnette où il habite, il fait froid – même s'il ne s'en rend pas compte.


    OK.

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  6. Busca una hoja de papel, blanca, de ser posible. Si apareciera una de color también la aceptaría, hasta con un pedazo de diario se conforma. Descubre una de color madera bajo las papas, sucia de tierra, arrugada, manchada con grasa.

    Il cherche une feuille de papier, blanche, si possible. S'il trouvait une de couleur, il la prendrait aussi, il se contenterait même d'un morceau de journal. Il en découvre une couleur bois sous les patates, maculée de terre, froissée, avec des taches de graisse.

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  7. Busca una hoja de papel, blanca, de ser posible. Si apareciera una de color también la aceptaría, hasta con un pedazo de diario se conforma. Descubre una de color madera bajo las papas, sucia de tierra, arrugada, manchada con grasa.

    Il cherche une feuille de papier, blanche, [j'hésite sur la virgule… Comme tu veux] si possible. S'il [« en »] trouvait une de couleur, il la prendrait aussi, il se contenterait même d'un morceau de journal. Il en découvre une couleur bois [naturel ?] sous les patates, maculée de terre, froissée, avec des taches de graisse.

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  8. Busca una hoja de papel, blanca, de ser posible. Si apareciera una de color también la aceptaría, hasta con un pedazo de diario se conforma. Descubre una de color madera bajo las papas, sucia de tierra, arrugada, manchada con grasa.

    Il cherche une feuille de papier, blanche si possible. S'il en trouvait une de couleur, il la prendrait aussi, il se contenterait même d'un morceau de journal. Il en découvre une marron sous les patates, maculée de terre, froissée, avec des taches de graisse.

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  9. Busca una hoja de papel, blanca, de ser posible. Si apareciera una de color también la aceptaría, hasta con un pedazo de diario se conforma. Descubre una de color madera bajo las papas, sucia de tierra, arrugada, manchada con grasa.

    Il cherche une feuille de papier, blanche si possible. S'il en trouvait une de couleur, il la prendrait aussi, il se contenterait même d'un morceau de journal. Il en découvre une marron [« beige » ?] sous les patates, maculée de terre, froissée, avec des taches de graisse.

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  10. Busca una hoja de papel, blanca, de ser posible. Si apareciera una de color también la aceptaría, hasta con un pedazo de diario se conforma. Descubre una de color madera bajo las papas, sucia de tierra, arrugada, manchada con grasa.

    Il cherche une feuille de papier, blanche si possible. S'il en trouvait une de couleur, il la prendrait aussi, il se contenterait même d'un morceau de journal. Il en découvre une beige sous les patates, maculée de terre, froissée, avec des taches de graisse.

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  11. Busca una hoja de papel, blanca, de ser posible. Si apareciera una de color también la aceptaría, hasta con un pedazo de diario se conforma. Descubre una de color madera bajo las papas, sucia de tierra, arrugada, manchada con grasa.

    Il cherche une feuille de papier, blanche si possible. S'il en trouvait une de couleur, il la prendrait aussi, il se contenterait même d'un morceau de journal. Il en découvre une marron sous les patates, maculée de terre, froissée, avec des taches de graisse.

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  12. Busca una hoja de papel, blanca, de ser posible. Si apareciera una de color también la aceptaría, hasta con un pedazo de diario se conforma. Descubre una de color madera bajo las papas, sucia de tierra, arrugada, manchada con grasa.

    Il cherche une feuille de papier, blanche si possible. S'il en trouvait une de couleur, il la prendrait aussi, il se contenterait même d'un morceau de journal. Il en découvre une beige sous les patates, maculée de terre, froissée, avec des taches de graisse.

    OK.

    Elena ?

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  13. Busca una hoja de papel, blanca, de ser posible. Si apareciera una de color también la aceptaría, hasta con un pedazo de diario se conforma. Descubre una de color madera bajo las papas, sucia de tierra, arrugada, manchada con grasa.

    Il cherche une feuille de papier, blanche si possible. S'il en trouvait une de couleur, il la prendrait aussi, il se contenterait même d'un morceau de journal. Il en découvre une beige [J'insiste sur "marron", en espagnol d'Argentine, "beige" existe tel quel...] sous les patates, maculée de terre, froissée, avec des taches de graisse.

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  14. Busca una hoja de papel, blanca, de ser posible. Si apareciera una de color también la aceptaría, hasta con un pedazo de diario se conforma. Descubre una de color madera bajo las papas, sucia de tierra, arrugada, manchada con grasa.

    Il cherche une feuille de papier, blanche si possible. S'il en trouvait une de couleur, il la prendrait aussi, il se contenterait même d'un morceau de journal. Il en découvre une marron sous les patates, maculée de terre, froissée, avec des taches de graisse.

    OK pour marron. Je colle et VPC.

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  15. A esto le llama tener suerte. Quita la taza de la mesa y apoya la hoja estirándola lo mejor que puede. Agarra el lápiz naranja, lo encontró en el barro hace un rato. Lo que dibuje será su amigo, su compañía, piensa.

    Il appelle ça avoir de la chance. Il retire sa tasse de la table et pose la feuille en l'étalant au maximum. Il attrape son crayon orange, ça fait un moment qu'il l'a trouvé dans la boue. Son dessin [pour éviter un « ce » ] deviendra son ami, lui tiendra compagnie, se dit-il.

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  16. A esto le llama tener suerte. Quita la taza de la mesa y apoya la hoja estirándola lo mejor que puede. Agarra el lápiz naranja, lo encontró en el barro hace un rato. Lo que dibuje será su amigo, su compañía, piensa.

    Il appelle ça avoir de la chance. Il retire [« enlève » ?] sa tasse de la table et [« y » ?] pose la feuille en l'étalant au maximum [texte ?]. Il attrape son [texte ? J'hésite] crayon orange, ça fait un moment qu'il l'a trouvé dans la boue [en commençant par ça…]. Son dessin deviendra son ami, lui tiendra compagnie, se dit-il.

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  17. A esto le llama tener suerte. Quita la taza de la mesa y apoya la hoja estirándola lo mejor que puede. Agarra el lápiz naranja, lo encontró en el barro hace un rato. Lo que dibuje será su amigo, su compañía, piensa.

    Il appelle ça avoir de la chance. Il enlève sa tasse de la table et y pose la feuille en l'étalant du mieux qu'il peut. Ça fait un moment qu'il l'a trouvé dans la boue, il attrape le crayon orange. Son dessin deviendra son ami, lui tiendra compagnie, se dit-il.

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  18. A esto le llama tener suerte. Quita la taza de la mesa y apoya la hoja estirándola lo mejor que puede. Agarra el lápiz naranja, lo encontró en el barro hace un rato. Lo que dibuje será su amigo, su compañía, piensa.

    Il appelle ça avoir de la chance. Il enlève sa tasse de la table et y pose la feuille en l'étalant du mieux qu'il peut. Ça fait un moment qu'il l'a trouvé dans la boue, il attrape le crayon orange [syntaxe !]. Son dessin deviendra son ami, lui tiendra compagnie, se dit-il.

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  19. A esto le llama tener suerte. Quita la taza de la mesa y apoya la hoja estirándola lo mejor que puede. Agarra el lápiz naranja, lo encontró en el barro hace un rato. Lo que dibuje será su amigo, su compañía, piensa.

    Il appelle ça avoir de la chance. Il enlève sa tasse de la table et y pose la feuille en l'étalant du mieux qu'il peut. Il attrape le crayon orange qu'il a trouvé dans la boue il y a un moment. Son dessin deviendra son ami, lui tiendra compagnie, se dit-il.

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  20. A esto le llama tener suerte. Quita la taza de la mesa y apoya la hoja estirándola lo mejor que puede. Agarra el lápiz naranja, lo encontró en el barro hace un rato. Lo que dibuje será su amigo, su compañía, piensa.

    Il appelle ça avoir de la chance. Il enlève sa tasse de la table et y pose la feuille en l'étalant du mieux qu'il peut. Il attrape le crayon orange qu'il a trouvé dans la boue il y a un moment. Son dessin deviendra son ami, lui tiendra compagnie, se dit-il.

    OK.

    Elena ?

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  21. Il appelle ça avoir de la chance. Il enlève sa tasse de la table et y pose la feuille en l'étalant du mieux qu'il peut. Il attrape le crayon orange qu'il a trouvé dans la boue il y a un moment. Son dessin deviendra son ami, lui tiendra compagnie, se dit-il.

    OK.

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  22. Le dernier fragment du copier/coller n'est pas le bon, il est déjà collé au bon endroit. Du coup, je te remets la version globale de ce texte, avant d'enchaîner :

    Abandon

    Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Gonzalo, il a cinq ans. Mais personne ne lui a souhaité. C'est la nuit, il est seul. Dans la maisonnette où il habite, il fait froid – même s'il ne s'en rend pas compte. Il cherche une feuille de papier, blanche si possible. S'il en trouvait une de couleur, il la prendrait aussi, il se contenterait même d'un morceau de journal. Il en découvre une marron sous les patates, maculée de terre, froissée, avec des taches de graisse. Il appelle ça avoir de la chance. Il enlève sa tasse de la table et y pose la feuille en l'étalant du mieux qu'il peut. Il attrape le crayon orange qu'il a trouvé dans la boue il y a un moment. Son dessin deviendra son ami, lui tiendra compagnie, se dit-il.

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  23. No se decide. Los perros le dan miedo, gatos no quiere. Un nene chiquito tampoco, tendría que cuidarlo.

    Il n'arrive pas à se décider. Les chiens lui font peur, les chats, il n'aime pas ça. Un petit bébé non plus, il lui faudrait s'en occuper.

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  24. No se decide. Los perros le dan miedo, gatos no quiere. Un nene chiquito tampoco, tendría que cuidarlo.

    Il n'arrive [nécessaire ?] pas à se décider. Les chiens lui font peur, [point ?] les chats, il n'aime pas ça [CS ? Elena ?]. Un petit bébé [Elena ?] non plus, il lui faudrait s'en occuper.

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  25. No se decide. Los perros le dan miedo, gatos no quiere. Un nene chiquito tampoco, tendría que cuidarlo.

    Il ne se décide pas. Les chiens lui font peur. Les chats, il ne veut pas. Un petit bébé [Elena ?] non plus, il lui faudrait s'en occuper.

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  26. No se decide. Los perros le dan miedo, gatos no quiere. Un nene chiquito tampoco, tendría que cuidarlo.

    Il ne se décide pas. Les chiens lui font peur. Il ne veut pas de chats. Un enfant non plus, il lui faudrait s'en occuper.

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  27. No se decide. Los perros le dan miedo, gatos no quiere. Un nene chiquito tampoco, tendría que cuidarlo.

    Il ne se décide pas. Les chiens lui font peur. Il ne veut pas de chats. Un enfant non plus, il lui faudrait s'en occuper.

    OK.

    Justine ?

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  28. No se decide. Los perros le dan miedo, gatos no quiere. Un nene chiquito tampoco, tendría que cuidarlo.

    Il ne se décide pas. Les chiens lui font peur. Il ne veut pas de chats. Un enfant non plus, il lui faudrait s'en occuper.

    OK.

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  29. Las mujeres son un problema: la abuela se murió y su mamá sale todas las noches; vuelve de mañana, cansada, de mal humor, y a pesar de que siempre tiene puestas pinturas de colores lindos sobre la cara hasta enferma parece.

    Les femmes sont un problème : sa grand-mère est morte et sa maman sort tous les soirs ; le matin, elle revient fatiguée, de mauvaise humeur, et malgré son visage toujours maquillé de belles couleurs, elle a quand même l'air malade.

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  30. Las mujeres son un problema: la abuela se murió y su mamá sale todas las noches; vuelve de mañana, cansada, de mal humor, y a pesar de que siempre tiene puestas pinturas de colores lindos sobre la cara hasta enferma parece.

    Les femmes sont un problème : sa grand-mère est morte et sa maman sort tous les soirs ; le matin, elle revient [« rentre » ?] fatiguée, de mauvaise humeur, et malgré son visage toujours maquillé de belles couleurs [bof], elle a quand même l'air malade.

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  31. Las mujeres son un problema: la abuela se murió y su mamá sale todas las noches; vuelve de mañana, cansada, de mal humor, y a pesar de que siempre tiene puestas pinturas de colores lindos sobre la cara hasta enferma parece.

    Les femmes sont un problème : sa grand-mère est morte et sa maman sort tous les soirs ; le matin, elle rentre fatiguée, de mauvaise humeur, et malgré son visage toujours bien maquillé, elle a quand même l'air malade.

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  32. Las mujeres son un problema: la abuela se murió y su mamá sale todas las noches; vuelve de mañana, cansada, de mal humor, y a pesar de que siempre tiene puestas pinturas de colores lindos sobre la cara hasta enferma parece.

    Les femmes sont un problème : sa grand-mère est morte et sa maman sort tous les soirs ; le matin, elle rentre fatiguée, de mauvaise humeur, et malgré son visage toujours bien maquillé, elle a quand même l'air malade.

    OK.

    Elena ?

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  33. Les femmes sont un problème : sa grand-mère est morte et sa maman sort tous les soirs ; le matin, elle rentre fatiguée, de mauvaise humeur, et malgré son visage toujours bien maquillé, elle a quand même l'air malade.

    OK.

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  34. Claro que también hay hombres en el mundo, cada tanto aparece alguno por la casilla.

    Il y a évidemment aussi des hommes dans le monde, de temps en temps, l'un d'entre eux fait son apparition dans la maisonnette.

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  35. Claro que también hay hombres en el mundo, cada tanto aparece alguno por la casilla.

    Il y a évidemment aussi des hommes dans le monde [pas certaine que tu dises exactement la même chose], de temps en temps, l'un d'entre eux fait son apparition dans la maisonnette.

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  36. Claro que también hay hombres en el mundo, cada tanto aparece alguno por la casilla.

    Bien sûr qu'il y a des hommes dans le monde, de temps en temps, l'un d'entre eux fait son apparition dans la maisonnette.

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  37. Claro que también hay hombres en el mundo, cada tanto aparece alguno por la casilla.

    Bien sûr qu'il y a [et le también ?] des hommes dans le monde, de temps en temps, l'un d'entre eux fait son apparition dans la maisonnette [CS].

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  38. Claro que también hay hombres en el mundo, cada tanto aparece alguno por la casilla.

    Bien sûr qu'il y a aussi des hommes dans le monde, de temps en temps, l'un d'entre eux fait son apparition dans la cabane.

    ***Il faudra qu'on change "casilla" aussi au début.

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  39. Attends, alors avant de finaliser la phrase en cours, remettez-moi toute la partie du texte que je dois changer. Je fais le copier-coller et on reprend.

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  40. ***C'est la toute première partie :

    Abandon

    Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Gonzalo, il a cinq ans. Mais personne ne lui a souhaité. C'est la nuit, il est seul. Dans la maisonnette ["cabane"] où il habite, il fait froid

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  41. J'ai refait un copier/coller global en y intégrant la modif. Merci, Elena !

    Abandon

    Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Gonzalo, il a cinq ans. Mais personne ne lui a souhaité. C'est la nuit, il est seul. Dans la cabane où il habite, il fait froid – même s'il ne s'en rend pas compte. Il cherche une feuille de papier, blanche si possible. S'il en trouvait une de couleur, il la prendrait aussi, il se contenterait même d'un morceau de journal. Il en découvre une marron sous les patates, maculée de terre, froissée, avec des taches de graisse. Il appelle ça avoir de la chance. Il enlève sa tasse de la table et y pose la feuille en l'étalant du mieux qu'il peut. Il attrape le crayon orange qu'il a trouvé dans la boue il y a un moment. Son dessin deviendra son ami, lui tiendra compagnie, se dit-il. Il ne se décide pas. Les chiens lui font peur. Il ne veut pas de chats. Un enfant non plus, il lui faudrait s'en occuper. Les femmes sont un problème : sa grand-mère est morte et sa maman sort tous les soirs ; le matin, elle rentre fatiguée, de mauvaise humeur, et malgré son visage toujours bien maquillé, elle a quand même l'air malade.

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  42. OK. Je colle et dans le commentaire suivant, reprenez la suite.

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  43. Claro que también hay hombres en el mundo, cada tanto aparece alguno por la casilla.

    Bien sûr qu'il y a aussi des hommes dans le monde, de temps en temps, l'un d'entre eux fait son apparition dans la cabane.

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  44. Claro que también hay hombres en el mundo, cada tanto aparece alguno por la casilla.

    Bien sûr qu'il y a aussi des hommes dans le monde, [avec l'ajout d'un « et » ?] de temps en temps, l'un d'entre eux fait son apparition dans la cabane [Elena pour « cabane » ?].

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  45. Claro que también hay hombres en el mundo, cada tanto aparece alguno por la casilla.

    Bien sûr qu'il y a aussi des hommes dans le monde et de temps en temps, l'un d'entre eux fait son apparition dans la cabane.

    ***Oui pour "cabane".

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  46. Bien sûr qu'il y a aussi des hommes dans le monde et de temps en temps, l'un d'entre eux fait son apparition dans la cabane.

    OK.

    VPC.

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  47. A él, ni lo miran. Doña Amanda es otra cuestión.

    Ils n'ont même pas un regard pour lui. Doña Amanda, c'est différent.

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  48. A él, ni lo miran. Doña Amanda es otra cuestión.

    Ils n'ont même pas un regard pour lui [ou plus près de la V.O. ?]. Doña Amanda, c'est différent.

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  49. A él, ni lo miran. Doña Amanda es otra cuestión.

    Lui, ils ne le regardent même pas. Doña Amanda, c'est différent.

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  50. A él, ni lo miran. Doña Amanda es otra cuestión.

    Lui, ils ne le regardent même pas. Doña Amanda, [« elle, » ? Comme tu veux] c'est différent.

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  51. A él, ni lo miran. Doña Amanda es otra cuestión.

    Lui, ils ne le regardent même pas. Doña Amanda, elle, c'est différent.

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  52. A él, ni lo miran. Doña Amanda es otra cuestión.

    Lui, ils ne le regardent même pas. Doña Amanda, elle, c'est différent.

    OK.

    Elena ?

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  53. Lui, ils ne le regardent même pas. Doña Amanda, elle, c'est différent.

    OK.

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  54. Una gorda de piel áspera y mirada suavecita que tiene una parte del pelo negro y otra parte blanca y otra anaranjada. Ella es la que todas las noches trae el café con leche pero después se vuelve a su casa y hasta ahora no lo ha invitado. Gonzalo piensa en Amanda y dibuja una señora.

    Une grosse à la peau rugueuse et au regard tout doux, qui a des cheveux noirs, d'autres blancs et d'autres orange. C'est elle qui tous les soirs lui apporte son café au lait avant de rentrer chez elle, et jusqu'à présent, elle ne l'a pas invité. Gonzalo pense à Amanda et dessine une femme.

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  55. Una gorda de piel áspera y mirada suavecita que tiene una parte del pelo negro y otra parte blanca y otra anaranjada. Ella es la que todas las noches trae el café con leche pero después se vuelve a su casa y hasta ahora no lo ha invitado. Gonzalo piensa en Amanda y dibuja una señora.

    Une grosse à la peau rugueuse et au regard tout doux, qui a des cheveux noirs, d'autres blancs et d'autres orange [je ne sais pas si tu as eu raison de t'éloigner de la V.O.]. C'est elle qui [virgule ?] tous les soirs [virgule ?] lui apporte son café au lait avant [est-ce qu'il n'est pas dommage de ne pas rendre le « pero » ?] de rentrer chez elle, et [point ?] jusqu'à présent, elle ne l'a pas invité. Gonzalo pense à Amanda et dessine une femme [ou « dame » ?].

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  56. Una gorda de piel áspera y mirada suavecita que tiene una parte del pelo negro y otra parte blanca y otra anaranjada. Ella es la que todas las noches trae el café con leche pero después se vuelve a su casa y hasta ahora no lo ha invitado. Gonzalo piensa en Amanda y dibuja una señora.

    Une grosse à la peau rugueuse et au regard tout doux, qui a des une partie des cheveux noire, une autre blanche et encore une orange. C'est elle qui, tous les soirs, lui apporte son café au lait, mais rentre ensuite chez elle. Jusqu'à présent, elle ne l'a pas invité. Gonzalo pense à Amanda et dessine une dame.

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  57. Una gorda de piel áspera y mirada suavecita que tiene una parte del pelo negro y otra parte blanca y otra anaranjada. Ella es la que todas las noches trae el café con leche pero después se vuelve a su casa y hasta ahora no lo ha invitado. Gonzalo piensa en Amanda y dibuja una señora.

    Une grosse à la peau rugueuse et au regard tout doux, qui a une partie des cheveux, noire, une autre, blanche et encore une, orange. C'est elle qui, tous les soirs, lui apporte son café au lait, mais rentre ensuite chez elle. Jusqu'à présent, elle ne l'a pas invité. Gonzalo pense à Amanda et dessine une dame.

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  58. Una gorda de piel áspera y mirada suavecita que tiene una parte del pelo negro y otra parte blanca y otra anaranjada. Ella es la que todas las noches trae el café con leche pero después se vuelve a su casa y hasta ahora no lo ha invitado. Gonzalo piensa en Amanda y dibuja una señora.

    Une grosse à la peau rugueuse et au regard tout doux, qui a [en passant par « dont une » ?] une partie des cheveux, noire, une autre, blanche et encore une, orange. C'est elle qui, tous les soirs, lui apporte son café au lait, mais rentre ensuite chez elle. Jusqu'à présent, elle ne l'a pas invité. Gonzalo pense à Amanda et dessine une dame.

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  59. Una gorda de piel áspera y mirada suavecita que tiene una parte del pelo negro y otra parte blanca y otra anaranjada. Ella es la que todas las noches trae el café con leche pero después se vuelve a su casa y hasta ahora no lo ha invitado. Gonzalo piensa en Amanda y dibuja una señora.

    Une grosse à la peau rugueuse et au regard tout doux, dont une partie des cheveux est noire, une autre est blanche et encore une autre, orange. C'est elle qui, tous les soirs, lui apporte son café au lait, mais rentre ensuite chez elle. Jusqu'à présent, elle ne l'a pas invité. Gonzalo pense à Amanda et dessine une dame.

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  60. Una gorda de piel áspera y mirada suavecita que tiene una parte del pelo negro y otra parte blanca y otra anaranjada. Ella es la que todas las noches trae el café con leche pero después se vuelve a su casa y hasta ahora no lo ha invitado. Gonzalo piensa en Amanda y dibuja una señora.

    Une grosse à la peau rugueuse et au regard tout doux, dont une partie des cheveux est noire, une autre est [nécessaire] blanche et encore [après « une autre » ?] une autre, orange. C'est elle qui, tous les soirs, lui apporte son café au lait, mais rentre ensuite chez elle. Jusqu'à présent, elle ne l'a pas invité. Gonzalo pense à Amanda et dessine une dame.

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  61. Una gorda de piel áspera y mirada suavecita que tiene una parte del pelo negro y otra parte blanca y otra anaranjada. Ella es la que todas las noches trae el café con leche pero después se vuelve a su casa y hasta ahora no lo ha invitado. Gonzalo piensa en Amanda y dibuja una señora.

    Une grosse à la peau rugueuse et au regard tout doux, dont une partie des cheveux est noire, une autre, blanche et une autre encore, orange. C'est elle qui, tous les soirs, lui apporte son café au lait, mais rentre ensuite chez elle. Jusqu'à présent, elle ne l'a pas invité. Gonzalo pense à Amanda et dessine une dame.

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  62. Una gorda de piel áspera y mirada suavecita que tiene una parte del pelo negro y otra parte blanca y otra anaranjada. Ella es la que todas las noches trae el café con leche pero después se vuelve a su casa y hasta ahora no lo ha invitado. Gonzalo piensa en Amanda y dibuja una señora.

    Je vous propose :

    Une grosse à la peau rugueuse et au regard tout doux, dont une partie des cheveux est noire, une autre blanche et la dernière orange. C'est elle qui, tous les soirs, lui apporte son café au lait, mais rentre ensuite chez elle. Jusqu'à présent, elle ne l'a pas invité. Gonzalo pense à Amanda et dessine une dame.

    OK ?

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  63. Une grosse à la peau rugueuse et au regard tout doux, dont une partie des cheveux est noire, une autre blanche et la dernière orange. C'est elle qui, tous les soirs, lui apporte son café au lait, mais rentre ensuite chez elle. Jusqu'à présent, elle ne l'a pas invité. Gonzalo pense à Amanda et dessine une dame.

    OK pour moi. Elena ?

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  64. Une grosse à la peau rugueuse et au regard tout doux, dont une partie des cheveux est noire, une autre blanche et la dernière orange. C'est elle qui, tous les soirs, lui apporte son café au lait, mais rentre ensuite chez elle. Jusqu'à présent, elle ne l'a pas invité. Gonzalo pense à Amanda et dessine une dame.

    OK.

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  65. La cara un redondel con rulos, como ella. La boca una raya derecha, nunca la vio sonreír. Un triángulo por vestido.

    Le visage, un rond avec des boucles, comme elle. La bouche, un trait droit, il ne l'a jamais vue sourire. Un triangle pour la robe.

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  66. La cara un redondel con rulos, como ella. La boca una raya derecha, nunca la vio sonreír. Un triángulo por vestido.

    Le visage, un rond avec des boucles, comme elle. La bouche, un trait droit, il ne l'a jamais vue sourire. Un triangle pour la robe.

    OK.

    Elena ?

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  67. Le visage, un rond avec des boucles, comme elle. La bouche, un trait droit, il ne l'a jamais vue sourire. Un triangle pour la robe.

    OK.

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  68. Le visage, un rond avec des boucles, comme elle. La bouche, un trait droit, il ne l'a jamais vue sourire. Un triangle pour la robe.

    OK.

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  69. Los pies los hace de cualquier forma pero con las manos es cuidadoso, esas son las únicas manos que lo acarician. Al dibujo terminado lo guarda bajo la almohada. No es quiera tenerla encerrada pero ya se sabe como son los grandes, a la primera oportunidad, se escapan.

    Les pieds, il les dessine de n'importe quelle forme, par contre, il fait attention aux mains, ces mains-là sont les seules qui le caresse. Il range le dessin terminé sous son oreiller. Non qu'il veuille la garder enfermée, mais il sait bien comment sont les grands, à la première occasion, ils s'échappent.

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  70. Los pies los hace de cualquier forma pero con las manos es cuidadoso, esas son las únicas manos que lo acarician. Al dibujo terminado lo guarda bajo la almohada. No es quiera tenerla encerrada pero ya se sabe como son los grandes, a la primera oportunidad, se escapan.

    Les pieds, il les dessine de n'importe quelle forme [pas « n'importe comment » ?], [point ?] par contre, il fait attention aux mains [plus prêt de la V.O. ?], ces mains-là sont les seules qui le caresse. Il range le dessin terminé sous son oreiller. Non qu'il veuille la garder enfermée, mais il [?] sait bien comment sont les grands, à la première occasion, ils s'échappent.

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  71. Los pies los hace de cualquier forma pero con las manos es cuidadoso, esas son las únicas manos que lo acarician. Al dibujo terminado lo guarda bajo la almohada. No es quiera tenerla encerrada pero ya se sabe como son los grandes, a la primera oportunidad, se escapan.

    Les pieds, il les dessine n'importe comment. Par contre, pour les mains, il s'applique, ces mains-là sont les seules qui le caresse. Il range le dessin terminé sous son oreiller. Non qu'il veuille la garder enfermée, mais on sait bien comment sont les grands, à la première occasion, ils s'échappent.

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  72. Los pies los hace de cualquier forma pero con las manos es cuidadoso, esas son las únicas manos que lo acarician. Al dibujo terminado lo guarda bajo la almohada. No es quiera tenerla encerrada pero ya se sabe como son los grandes, a la primera oportunidad, se escapan.

    Les pieds, il les dessine n'importe comment. Par contre, pour les mains, il s'applique, [point ?] ces mains-là sont les seules qui le caresse. Il range le dessin terminé sous son oreiller. Non qu'il veuille la garder enfermée, mais on sait bien comment sont les grands, à la première occasion, ils s'échappent.

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  73. Los pies los hace de cualquier forma pero con las manos es cuidadoso, esas son las únicas manos que lo acarician. Al dibujo terminado lo guarda bajo la almohada. No es quiera tenerla encerrada pero ya se sabe como son los grandes, a la primera oportunidad, se escapan.

    Les pieds, il les dessine n'importe comment. Par contre, pour les mains, il s'applique. Ces mains-là sont les seules qui le caresse. Il range le dessin terminé sous son oreiller. Non qu'il veuille la garder enfermée, mais on sait bien comment sont les grands, à la première occasion, ils s'échappent.

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  74. Los pies los hace de cualquier forma pero con las manos es cuidadoso, esas son las únicas manos que lo acarician. Al dibujo terminado lo guarda bajo la almohada. No es quiera tenerla encerrada pero ya se sabe como son los grandes, a la primera oportunidad, se escapan.

    Les pieds, il les dessine n'importe comment. Par contre, pour les mains, il s'applique. Ces mains-là sont les seules qui le caresse. Il range le dessin terminé sous son oreiller. Non qu'il veuille la garder enfermée, mais on sait bien comment sont les grands, à la première occasion, ils s'échappent.

    OK. Elena ?

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  75. Les pieds, il les dessine n'importe comment. Par contre, pour les mains, il s'applique. Ces mains-là sont les seules qui le caressent. Il range le dessin terminé sous son oreiller. Non qu'il veuille la garder enfermée, mais on sait bien comment sont les adultes, à la première occasion, ils s'échappent.


    ***J'ai corrigé une petite coquille et je propose "adultes" à la place de "grands".

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  76. Les pieds, il les dessine n'importe comment. Par contre, pour les mains, il s'applique. Ces mains-là sont les seules qui le caressent. Il range le dessin terminé sous son oreiller. Non qu'il veuille la garder enfermée, mais on sait bien comment sont les adultes, à la première occasion, ils s'échappent.

    OK.

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