Los animales no van al cielo —se decía a sí mismo— ¿Por qué los humanos?
- Elena : je trouve bien ton « non plus » ; il n'est pas en V.O., mais il est légitime, à mon avis. - Là, ça ne se pose pas tellement… mais pour info : les « se disait-il », il vaut mieux passer par « songer », « se faire la réflexion », « penser »… car le verbe « dire », on en a généralement bien besoin dans les dialogues et même, on ne sait plus comment s'en débarrasser, le contourner, etc. - attention au tiret entre lui ET même. - L'histoire de « les humains oui » est une répétition… ; donc on devrait faire peut-être traiter cela de manière à montrer que non, décidément, il ne comprend pas cette inégalité / injustice.
- je trouve que « se disait-il en lui-même » est redondant… Je vous propose « se disait-il intérieurement » à la place. - « iraient-ils » ; non, là, tu forces le trait sur l'étonnement en laissant entendre qu'il estime que c'est injuste et que ça devrait cesser. Je trouvais bonne la traduction d'Irène « alors pourquoi les humains y vont-ils », mais cela nous fait répéter « alors » (que nous avons déjà dans le phrase précédente). Je me demande si cela ne résoudrait pas la question si on commençait la phrase par « puisque ». Cela donnerait : Puisque les animaux non plus ne vont pas au ciel – se disait-il intérieurement – pourquoi les humains y vont-ils ? Si vous validez, on peut passer à la suivante. J'attends…
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Les animaux ne vont pas au paradis – se disait-il en lui même - alors,pourquoi les humains y vont?
RépondreSupprimerLes animaux ne vont pas au ciel-se disait-il en lui même- Pourquoi les hommes y vont-ils?
RépondreSupprimerLes animaux non plus ne vont pas au ciel - se disait-il en lui-même - Pourquoi les humains si ?
RépondreSupprimerLos animales no van al cielo —se decía a sí mismo— ¿Por qué los humanos?
RépondreSupprimer- Elena : je trouve bien ton « non plus » ; il n'est pas en V.O., mais il est légitime, à mon avis.
- Là, ça ne se pose pas tellement… mais pour info : les « se disait-il », il vaut mieux passer par « songer », « se faire la réflexion », « penser »… car le verbe « dire », on en a généralement bien besoin dans les dialogues et même, on ne sait plus comment s'en débarrasser, le contourner, etc.
- attention au tiret entre lui ET même.
- L'histoire de « les humains oui » est une répétition… ; donc on devrait faire peut-être traiter cela de manière à montrer que non, décidément, il ne comprend pas cette inégalité / injustice.
Les animaux non plus ne vont pas au ciel - se disait-il en lui-même - Alors pourquoi les humains iraient-ils ?
RépondreSupprimerLe "alors" d'Irène me semble bien... J'ai choisi un conditionnel pour marquer le fait qu'il ne comprend toujours pas.
- je trouve que « se disait-il en lui-même » est redondant… Je vous propose « se disait-il intérieurement » à la place.
RépondreSupprimer- « iraient-ils » ; non, là, tu forces le trait sur l'étonnement en laissant entendre qu'il estime que c'est injuste et que ça devrait cesser. Je trouvais bonne la traduction d'Irène « alors pourquoi les humains y vont-ils », mais cela nous fait répéter « alors » (que nous avons déjà dans le phrase précédente). Je me demande si cela ne résoudrait pas la question si on commençait la phrase par « puisque ». Cela donnerait :
Puisque les animaux non plus ne vont pas au ciel – se disait-il intérieurement – pourquoi les humains y vont-ils ?
Si vous validez, on peut passer à la suivante. J'attends…
Moi, quand on me dit d'insister : j'insiste ! ;-)))
RépondreSupprimerOui, c'est bien, je n'aimais pas, moi non plus, ce "en lui-même".
La 34 ?
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