“Decid, hombres que corréis,
por la vía mundanal,
decidme si visto habéis,
igual dolor que mi mal.”
Traduction temporaire :
« Dites-moi, hommes qui courez,
par les chemins de ce monde,
dites-moi si vous avez vu,
douleur semblable à mon mal. »
« Dites-moi, hommes qui courez,
par les chemins de ce monde,
dites-moi si vous avez vu,
douleur semblable à mon mal. »
« Dites-moi, vous les hommes qui parcourez, les chemins du monde, dites-moi si vous avez vu, une douleur qui ressemble à mon mal. »
RépondreSupprimer« Dites-moi, vous, les hommes qui parcourez les chemins du monde, dites-moi si vous avez vu douleur pareille à mon mal. »
RépondreSupprimer1) ds la VO, pas de virgule après corréis ni habéis.
2) je ne sais pas si la fin passe en version elliptique.
Pourquoi pas « hommes qui » tout court ?
RépondreSupprimerLe problème avec « parcourir », c'est que ça ne dit pas l'allure…
« douleur semblable à mon mal ».
« Dites-moi, hommes qui vous vous élancez sur les chemins du monde, dites-moi si vous avez vu douleur semblable à mon mal. »
RépondreSupprimerBof...
Je pensais aussi à "courir" tout seul, transitif, mais ça ne dit pas non plus la vitesse:
TLFi:
2. [Aspect perf. instrumental; l'obj. désigne un lieu à travers lequel on se déplace en tout sens dans une intention plus ou moins précise]
a) [Le lieu est un espace d'une certaine étendue ou complexité] Parcourir, sillonner, voyager à travers un lieu pour y chercher à satisfaire un désir. Courir la ville, le monde. C'était un de ces forains qui courent les campagnes, le dos chargé de leur marchandise.
« Dites-moi, vous, les hommes qui courez
RépondreSupprimerles chemins de ce monde,
dites-moi si vous avez vu
douleur semblable à mon mal. »
Je vous propose :
RépondreSupprimer« Dites-moi, hommes qui courez
par les chemins de ce monde,
dites-moi si vous avez vu
douleur semblable à mon mal. »
OK ?
Oui !
RépondreSupprimerOK:
RépondreSupprimer« Dites-moi, hommes qui courez
par les chemins de ce monde,
dites-moi si vous avez vu
douleur semblable à mon mal. »