Con una buena borrachera nos acercaríamos más, pero también nos entregaríamos un reconocimiento mutuo, el mismo que la ciudad, las personas y el idioma nos rechazaban.
Traduction temporaire :
Avec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, nous nous accorderions aussi une reconnaissance mutuelle, celle-là même que la ville, les personnes et la langue nous refusaient.
Avec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, nous nous accorderions aussi une reconnaissance mutuelle, celle-là même que la ville, les personnes et la langue nous refusaient.
Avec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, mais nous nous donnerions aussi une reconnaissance mutuelle, celle-là même que la ville, les personnes et la langue nous refusait.
RépondreSupprimerAvec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, mais nous nous livrerions aussi une reconnaissance mutuelle, celle-là même que la ville, les personnes et la langue nous refusaient.
RépondreSupprimer« Avec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, » = OUI.
RépondreSupprimerAprès, je ne suis pas certaine que « mais » soit adapté.
Oui pour « refusaient » au pluriel ;-)
Avec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, nous nous accorderions aussi une reconnaissance mutuelle, celle-là même que la ville, les personnes et la langue nous refusaient.
RépondreSupprimerAvec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, par conséquent, nous nous livrerions aussi une reconnaissance mutuelle, celle-là même que la ville, les personnes et la langue nous refusaient.
RépondreSupprimer"Aussi" est-il nécéessaire?
Je penche pour la proposition de Justine.
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Avec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, nous nous accorderions aussi une reconnaissance mutuelle, celle-là même que la ville, les personnes et la langue nous refusaient.
OK.
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