Desocupado lector:
Creo que sería mejor que dejés de leer el presente texto y te pongás a hacer algo productivo, como por ejemplo trabajar.
Traduction temporaire :
Lecteur oisif,
Je crois qu'il vaudrait mieux que tu cesses de lire le présent texte et que tu te t'occupes à quelque chose de productif, travailler par exemple.
Lecteur oisif,
Je crois qu'il vaudrait mieux que tu cesses de lire le présent texte et que tu te t'occupes à quelque chose de productif, travailler par exemple.
Cher lecteur oisif,
RépondreSupprimerJe crois qu'il vaudrait mieux que tu cesses de lire le présent texte, et que tu te mettes à faire quelque chose de productif, comme par exemple travailler.
1) Pourquoi « cher » ?
RépondreSupprimer2) Pourquoi une virgule après « texte » ?
3) « te mettes à faire » ou « t'occupes à » (histoire de ne pas multiplier les « faire ») ?
1) je trouve que "lecteur oisif" ne met pas tellement en évidence le genre épistolaire si l'on retire "cher". Desocupado y renvoyait bien, par son placement devant le substantif et par une plus grande comparaison avec estimado ou distinguido (des participes passés.)
RépondreSupprimerCher lecteur oisif,
Je crois qu'il vaudrait mieux que tu cesses de lire le présent texte et que tu te t'occupes à quelque chose de productif, comme par exemple travailler.
Cher lecteur oisif,
RépondreSupprimerJe crois qu'il vaudrait mieux que tu cesses de lire le présent texte et que tu te t'occupes à quelque chose de productif, comme par exemple travailler.
1) Oui, sauf que « cher » introduit une dimension affective qui n'y est pas. Quant au critère épistolaire, certes, mais tu n'écris pas : « Cher monsieur », à quiconque dans un cadre formel… car cela est mal élevé ;-)
Il faut une autre solution, décidément.
2) Pour la fin, je te proprose plus « léger » :
« travailler par exemple ».
Lecteur oisif,
RépondreSupprimerJe crois qu'il vaudrait mieux que tu cesses de lire le présent texte et que tu te t'occupes à quelque chose de productif, travailler par exemple.
Lecteur oisif,
RépondreSupprimerJe crois qu'il vaudrait mieux que tu cesses de lire le présent texte et que tu te t'occupes à quelque chose de productif, travailler par exemple.
OK…
Je t'accorde qu'il est ennuyeux de ne rien mettre d'autre pour l'amorce… Mais je te propose de laisser cela en suspens pour le moment des relectures – nous aurons mieux le ton et « l'intention » de l'auteur en tête.
Je publie la phrase 2.