dimanche 17 février 2013

Projet Céline 3 – phrase 46

Desde la puerta, en un charco de san­gre, la cabeza bur­lona lo miró desplo­marse sin lan­zar una queja, lleván­dose con­sigo la palan­gana del agua con jabón.

Traduction temporaire :
Depuis la porte, dans une flaque de sang, la tête moqueuse le regarda s’effondrer sans avoir poussé la moindre plainte, entraînant la bassine d’eau savonneuse dans sa chute.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Depuis la porte, dans une flaque de sang, la tête moqueuse le regarda s’effondrer sans avoir poussé une plainte, entraînant dans sa chute la bassine d’eau savonneuse.

Tradabordo a dit…

Depuis la porte, dans une flaque de sang, la tête moqueuse [déplace-le] le regarda s’effondrer sans avoir poussé une [cheville « seule » – ou inutile / ou répétition ?] plainte, entraînant dans sa chute la bassine d’eau savonneuse [ou en l'avançant ?].

Unknown a dit…

Depuis la porte, la tête moqueuse, dans une flaque de sang, le regarda s’effondrer sans avoir poussé la moindre plainte, entraînant la bassine d’eau savonneuse dans sa chute.

Tradabordo a dit…

Depuis la porte, la tête moqueuse [après « dans une flaque de sang »], dans une flaque de sang, le regarda s’effondrer sans avoir poussé la moindre plainte, entraînant la bassine d’eau savonneuse dans sa chute.

Unknown a dit…

Depuis la porte, dans une flaque de sang, la tête moqueuse le regarda s’effondrer sans avoir poussé la moindre plainte, entraînant la bassine d’eau savonneuse dans sa chute.

Tradabordo a dit…

Depuis la porte, dans une flaque de sang, la tête moqueuse le regarda s’effondrer sans avoir poussé la moindre plainte, entraînant la bassine d’eau savonneuse dans sa chute.

OK.