mardi 12 février 2013

Projet Céline 3 – phrases 41-43

El hom­brecito se sin­tió per­dido. Un instinto secreto le advir­tió que había lle­gado el fin. La boca del engen­dro se entreabrió,  escu­pién­dole casi las pal­abras ¡estúpido, usted no sabe rasurar, voy a enseñarle a hac­erlo! Una mano hue­suda le arrebató la navaja y, ante su atónita mirada, el engen­dro se dio un tajo ter­ri­ble en la gar­ganta.

Traduction temporaire :
Le petit homme se sentit perdu. Un instinct secret l’avertit que sa fin était arrivée. La bouche du monstre s’entrouvrit, lui crachant presque les mots : imbécile, vous ne savez pas raser. Moi, je vais vous montrer comment faire ! Une main osseuse lui arracha le rasoir et, sous le regard médusé du barbier, le monstre se fit une terrible entaille à la gorge.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Le petit homme se sentit perdu. Un instinct secret l’avertit que la fin était arrivée. La bouche du monstre s’entrouvrit, en lui crachant presque les mots : imbécile, vous ne savez pas raser, je vais vous montrer comment faire ! Une main osseuse lui arracha le rassoir et, sous son regard stupéfait, le monstre se fit une entaille terrible à la gorge.

Tradabordo a dit…

Le petit homme se sentit perdu. Un instinct secret l’avertit que la fin était arrivée [« la » ou « sa » ?]. La bouche du monstre s’entrouvrit, en [supprime ?] lui crachant presque les mots : imbécile, vous ne savez pas raser, [point ?] je vais vous [cheville : « moi » ?] montrer comment faire ! Une main osseuse lui arracha le rasoir et, sous son [ambigu] regard stupéfait [pas assez fort], le monstre [on répète ou on change ?] se fit une entaille terrible [ou « profonde » ?] à la gorge.

Unknown a dit…

Le petit homme se sentit perdu. Un instinct secret l’avertit que sa fin était arrivée. La bouche du monstre s’entrouvrit, lui crachant presque les mots : imbécile, vous ne savez pas raser. Moi, je vais vous montrer comment faire ! Une main osseuse lui arracha le rasoir et, sous le regard médusé du barbier, le monstre se fit une terrible entaille à la gorge.

Je pense que la répétition de « engendro » est volontaire.

Tradabordo a dit…

Le petit homme se sentit perdu. Un instinct secret l’avertit que sa fin était arrivée. La bouche du monstre s’entrouvrit, lui crachant presque les mots : imbécile, vous ne savez pas raser. Moi, je vais vous montrer comment faire ! Une main osseuse lui arracha le rasoir et, sous le regard médusé du barbier, le monstre se fit une terrible entaille à la gorge.

OK.