Creció con tantas lunas que el cielo casi parecía sin estrellas. Y comenzó la Universidad con ellas como mudos testigos, dirían los poetas.
Traduction temporaire :
Il avait grandi au milieu de tellement de lunes qu'il semblait ne pas y avoir d'étoiles dans le ciel. Il avait commencé l'Université avec elles pour seuls et uniques témoins muets, comme dirait le poète.
Il avait grandi au milieu de tellement de lunes qu'il semblait ne pas y avoir d'étoiles dans le ciel. Il avait commencé l'Université avec elles pour seuls et uniques témoins muets, comme dirait le poète.
10 commentaires:
Il grandit, le ciel était couvert de tellement de lunes qu'il semblait presque ne pas avoir d'étoiles. Il devint étudiant à l'Université et elles étaient toujours-là en témoignage, diraient les poètes.
Bonjour les ellipses, impossible de faire littérale !
La métaphore est bancale.
Il grandit, [pourquoi tu as supprimé le « con » ? Reprends ; ça changera pas mal… donc on verra la suite après] le ciel était couvert de tellement de lunes qu'il semblait presque ne pas avoir d'étoiles. Il devint étudiant à l'Université et elles étaient toujours-là en témoignage, diraient les poètes.
Il grandit avec tellement de lunes que le ciel semblait presque ne pas avoir d'étoiles. Il devint étudiant à l'Université et elles étaient toujours-là en témoignage, diraient les poètes.
J'avais changé parce qu'il me semblait que le sujet de "grandit" devenait un peu confus : le professeur ou le ciel ?
Il grandit avec [« au milieu de »] tellement de lunes que le ciel semblait presque ne pas avoir d'étoiles [on va changer ; je te résume : pas d'étoile dans le ciel…]. Il devint étudiant à l'Université et elles étaient toujours-là en témoignage, diraient les poètes.
Et comme ceci ?
Il grandit au milieu d'une telle quantité de lunes sur le ciel qu'on aurait dit qu'il n'y avait pas d'étoiles.
Ou bien...
Il grandit avec un ciel couvert d'une telle quantité de lunes qu'on aurait dit qu'il n'y avait pas d'étoiles.
Je n'arrive pas à trancher...
Il grandit au milieu de tellement de lunes que le ciel semblait presque dépourvu d'étoiles. Il devint étudiant à l'Université et elles étaient toujours-là en témoignage, diraient les poètes.
C'est le plus près.........
Il grandit au milieu de tellement de lunes que le ciel semblait presque dépourvu d'étoiles [plus simple : « ne pas y avoir… »]. Il devint étudiant à l'Université et elles étaient toujours-là en témoignage, diraient les poètes [cette phrase est peu compréhensible].
Il grandit au milieu de tellement de lunes que le ciel avait l'air de ne pas avoir d'étoiles. Il devint étudiant à l'Université et elles étaient toujours-là pour seul témoin, selon l'expression des poètes.
J'ai "il semblerait" dans la phrase d'après.....
2)
Il grandit au milieu de tellement de lunes que le ciel avait l'air de ne pas avoir d'étoiles. Il devint étudiant à l'Université et elles étaient toujours-là pour seul témoin, selon l'expression des poètes.
Bon… Voici :
Il avait grandi au milieu de tellement de lunes qu'il semblait ne pas y avoir d'étoiles dans le ciel. Il avait commencé l'Université avec elles pour seuls et uniques témoins muet, comme diraient le poète.
Il avait grandi au milieu de tellement de lunes qu'il semblait ne pas y avoir d'étoiles dans le ciel. Il avait commencé l'Université avec elles pour seuls et uniques témoins muets, comme dirait le poète.
OK !
Enregistrer un commentaire