Ella y yo que, desde hacía tiempo salíamos únicamente por el magnífico placer de fornicar, habíamos tenido hondas discusiones sobre dicho tópico. A Josefina le parecía demasiado cruel comer la carne cruda y a mi, por el contrario, comerla asada, excesivamente cursi.
Traduction temporaire :
Elle et moi – qui nous voyions depuis longtemps pour le seul et magnifique plaisir de forniquer – avions eu de profondes discussions sur le sujet. Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue, moi, au contraire, que la manger grillée était excessivement snob.
Elle et moi – qui nous voyions depuis longtemps pour le seul et magnifique plaisir de forniquer – avions eu de profondes discussions sur le sujet. Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue, moi, au contraire, que la manger grillée était excessivement snob.
Elle et moi, qui depuis un bon bout de temps sortions uniquement pour le magnifique plaisir de forniquer, avions eu de profondes discussions sur le sujet. Pour Josefina, c’était trop cruel de manger de la chair crue alors que pour moi, au contraire, la manger grillée était excessivement snob.
RépondreSupprimerJ'hésite sur la fin : selon vous, est-ce que "comerla asada" et "excesivamente crusi" vont ensemble (comme j'ai traduit) ou est-ce que "comerla asada" s'oppose vraiment à "comer la carne cruda" et "excesivamente crusi" n'est qu'une précision ?
J'attends l'avis de Nancy avant de commenter…
RépondreSupprimerJe pense qu'ils vont ensemble comme tu as traduit, c'est : a mi me parecía excesivamente cursi comerla asada.
RépondreSupprimerElle et moi, qui depuis longtemps [comme la phrase précédente puisqu'il répète « desde hacía tiempo »?] sortions ensemble [ou « nous fréquentions »?] uniquement pour le magnifique plaisir de forniquer, avions eu de profondes discussions sur ce cliché [non ?]. Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue et moi, au contraire, que la manger grillée était excessivement snob.
Elle et moi, qui depuis un bon bout de temps sortions uniquement pour le magnifique plaisir de forniquer
RépondreSupprimerElle et moi, qui depuis longtemps sortions ensemble uniquement pour le magnifique plaisir de forniquer,
Pour ce morceau-là, je me demande si vous ne devriez pas modifier la syntaxe pour plus de fluidité.
Depuis longtemps, elle et moi sortions ensemble pour le magnifique plaisir de forniquer uniquement
RépondreSupprimerOK pour le changement de syntaxe du début.
RépondreSupprimerPour "tópico", vous comprenez que ça renvoie à l'anthropophagie ou au fait qu'ils ne se fréquentent que pour forniquer ?
Depuis longtemps, elle et moi nous fréquentions uniquement pour le magnifique plaisir de forniquer,
Depuis longtemps, elle et moi nous fréquentions [avec « se voir » ?] uniquement pour le magnifique plaisir de forniquer,
RépondreSupprimeranthropo ?
Depuis longtemps, elle et moi nous voyions uniquement pour le magnifique plaisir de forniquer,
RépondreSupprimerJe pense que "tópico" renvoie à l'anthropophagie.
Depuis longtemps, elle et moi nous voyions uniquement pour le magnifique plaisir de forniquer,
RépondreSupprimerOK pour moi… Manon ?
Si c'est bon, tu ajouteras la suite…
OK. Si ça renvoie à "anthropophagie", plutôt "sujet" que "cliché" non ?
RépondreSupprimerDepuis longtemps, elle et moi nous voyions uniquement pour le magnifique plaisir de forniquer, avions eu de profondes discussions sur le sujet / cliché. Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue et moi, au contraire, que la manger grillée était excessivement snob.
Depuis longtemps, elle et moi nous voyions uniquement pour le magnifique plaisir de forniquer, avions eu de profondes discussions sur le sujet / cliché [il y a vraiment un pb de syntaxe dans cette phrase]. Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue et moi, au contraire, que la manger grillée était excessivement snob.
RépondreSupprimerElle et moi – qui nous voyions depuis longtemps pour le seul et magnifique plaisir de forniquer – avions eu de profondes discussions sur le sujet. [?] Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue et moi, au contraire, que la manger grillée était excessivement snob.
RépondreSupprimerJe tente en changeant la ponctuation et en coupant la phrase :
RépondreSupprimerDepuis longtemps, elle et moi nous voyions uniquement pour le magnifique plaisir de forniquer. Nous avions eu de profondes discussions sur le sujet / cliché ; Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue et moi, au contraire, que la manger grillée était excessivement snob.
Je suis davantage convaincue par la propo de Nancy… – un petit truc à vous proposer :
RépondreSupprimerElle et moi – qui nous voyions depuis longtemps pour le seul et magnifique plaisir de forniquer – avions eu de profondes discussions sur le sujet. Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue et [une virgule à la place] moi, au contraire, que la manger grillée était excessivement snob.
OK
RépondreSupprimerElle et moi – qui nous voyions depuis longtemps pour le seul et magnifique plaisir de forniquer – avions eu de profondes discussions sur le sujet. Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue, moi, au contraire, que la manger grillée était excessivement snob.
Elle et moi – qui nous voyions depuis longtemps pour le seul et magnifique plaisir de forniquer – avions eu de profondes discussions sur le sujet. Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue, moi, au contraire, que la manger grillée était excessivement snob.
RépondreSupprimerOu alors :
Elle et moi – qui nous voyions depuis longtemps pour le seul et magnifique plaisir de forniquer – avions eu de profondes discussions sur le sujet. Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue, moi, au contraire, que grillée, c'était excessivement snob.
Je vote pour la deuxième mais j'hésite, Manon ?
RépondreSupprimerElle et moi – qui nous voyions depuis longtemps pour le seul et magnifique plaisir de forniquer – avions eu de profondes discussions sur le sujet. Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue, moi, au contraire, que grillée, c'était excessivement snob.
Je préfère la première :
RépondreSupprimerElle et moi – qui nous voyions depuis longtemps pour le seul et magnifique plaisir de forniquer – avions eu de profondes discussions sur le sujet. Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue, moi, au contraire, que la manger grillée était excessivement snob.
Aïe ;-)
RépondreSupprimerOn fait quoi, alors ?
Nancy, qu'est-ce qui te fait hésiter ?
RépondreSupprimer(On va peut-être s'en sortir comme ça !?)
Oui, Nancy, que se passe-t-il, chère enfant ? ;-)
RépondreSupprimerEh bien, je trouve que la première solution est un peu lourde avec la répétition du verbe "manger" mais elle est plus claire que la seconde (et c'est comme en V. O.). Donc je crois que tu as raison.
RépondreSupprimerManon, que penses-tu des arguments de Nancy ?
RépondreSupprimerSi Nancy me donne raison, je suis d'accord ;-)
RépondreSupprimerRedonnez-moi la dernière version svp ! Je suis perdue…
RépondreSupprimerElle et moi – qui nous voyions depuis longtemps pour le seul et magnifique plaisir de forniquer – avions eu de profondes discussions sur le sujet. Josefina pensait qu'il était trop cruel de manger la chair crue, moi, au contraire, que la manger grillée était excessivement snob.
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