Pages

mardi 14 mai 2013

Projet Pascaline – phrases 49-54

Es lo último que escucho. Mi vieja me dijo siempre lo mismo: "Gustavo, cruzás la calle sin mirar,algún día te va a pasar algo". Tenía razón. Ojalá me encuentre con papá: tengo tantas cosas para contarle. La misericordia del velo de la inconciencia me va liberando. Si me llaman otra vez, no seré tan pacífico.

Traduction temporaire :
C’est la dernière chose que j’entends. Ma mère m’a toujours répété : « Gustavo, si tu continues à traverser la rue sans regarder, un jour ou l’autre, il va t'arriver des bricoles ». Et elle avait raison. Si seulement je pouvais revoir papa, j’ai tant de choses à lui raconter. La miséricorde du voile de l’inconscience me libère peu à peu. Si on m’appelle de nouveau, je ne serai pas aussi pacifique.

7 commentaires:

  1. C’est la dernière chose que j’entends. Ma mère m’a toujours dit la même chose : « Gustavo, traverse la rue sans regarder, un jour ou l’autre, il va t’arriver quelque chose ». Elle avait raison. Si seulement je pouvais tomber sur papa, j’ai tant de choses à lui raconter.

    La miséricorde du voile de l’inconscience me libère peu à peu. Si on m’appelle encore, je ne serai pas si pacifique.

    RépondreSupprimer
  2. C’est la dernière chose que j’entends. Ma mère m’a toujours dit la même chose [peu naturel ici / dégage-toi de l'espagnol] : « Gustavo, traverse [CS] la rue sans regarder, un jour ou l’autre, il va t’arriver quelque chose [bof] ». [cheville : « Et » ?] Elle avait raison. Si seulement je pouvais tomber [?] sur papa, j’ai tant de choses à lui raconter. La miséricorde du voile de l’inconscience me libère peu à peu. Si on m’appelle encore [ou « de nouveau » ?], je ne serai pas si [« aussi » ?] pacifique.

    RépondreSupprimer
  3. C’est la dernière chose que j’entends. Ma mère m’a toujours répétée : « Gustavo, si tu continues à traverser la rue sans regarder, un jour ou l’autre, il va t'arriver des bricoles ». Et elle avait raison. Si seulement je pouvais revoir papa, j’ai tant de choses à lui raconter. La miséricorde du voile de l’inconscience me libère peu à peu. Si on m’appelle de nouveau, je ne serai pas aussi pacifique.

    RépondreSupprimer
  4. répété bien sûr, et non répétée

    RépondreSupprimer
  5. C’est la dernière chose que j’entends. Ma mère m’a toujours répété : « Gustavo, si tu continues à traverser la rue sans regarder, un jour ou l’autre, il va t'arriver des bricoles ». Et elle avait raison. Si seulement je pouvais revoir papa, j’ai tant de choses à lui raconter. La miséricorde du voile de l’inconscience me libère peu à peu. Si on m’appelle de nouveau, je ne serai pas aussi pacifique.

    OK.

    Dernière étape du travail : tu iras prendre l'ensemble du texte dans « Travaux en cours » (colonne de droite du blog) et tu reliras attentivement (pour le sens, les coquilles, les fautes… et t'assurer que je n'ai rien oublié au copier-coller).

    RépondreSupprimer
  6. Après relecture, deux points me gênent :
    - "—¡Gustavo! ¡Decime donde está el dinero! —grita mi ex, roja de ira." : Nous avons traduit par "Où est le blé" sans le verbe dire car déjà utilisé plus haut. Or, Gustavo va répondre "Non" plus bas. Est-ce cohérent de répondre "non" à une question qui n'en est pas tout à fait une ?
    - Plus loin, il y a "recién" suivi de "hace poco" traduit par "il y a peu". Redite ? Dans ce cas, pourrions nous traduire "recién" par "dernièrement" ?

    RépondreSupprimer
  7. Tu m'envoies ces remarques par mail… Dans le corps du texte traduit.

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.