Pages

vendredi 25 octobre 2013

Projet Céline / Sonita 4 (trois microrécits)

J. K. VÉLEZ
(Espagne)

« Anoche soñé contigo »

Anoche soñé contigo -le dice Luis a Roberta. - Conmigo sueñas ahora, que llevo diez años muerta.

« Hijo obediente »

El desconocido, en lo alto del puente, pidió a Dios una razón para vivir. No sabía que la mamá de Dios no le dejaba hablar con desconocidos.

« Los peligros de ser bruja y tener una carrera »

Y la hechicera condenó al niño a analizar aquel microcuento por toda la eternidad. Condenó, verbo de la principal...

Traduction temporaire :

J. K. VÉLEZ (Espagne)

« Cette nuit, j’ai rêvé de toi »

Cette nuit, j’ai rêvé de toi – dit Luis à Roberta. C’est de moi dont tu rêves maintenant, car cela fait dix ans que je suis morte.

« Un fils obéissant »

En haut du pont, l’inconnu, demanda à Dieu de lui donner une raison de vivre. Il ignorait que la maman de Dieu lui interdisait de parler à des inconnus.

« Les dangers d’être une sorcière et d’avoir fait des études »

Et la sorcière condamna l’enfant à analyser ce microrécit pour l’éternité. Elle condamna, verbe de la principale…

5 commentaires:

  1. J. K. VÉLEZ (Espagne)

    « Cette nuit, j’ai rêvé de toi »
    Cette nuit, j’ai rêvé de toi – dit Luis à Roberta. C’est de moi que tu rêves maintenant, car cela fait dix ans que je suis morte.

    « Un fils obéissant »
    L’inconnu, en haut du pont, demanda à Dieu de lui donner une raison de vivre. Il ignorait que la maman de Dieu ne lui permettait pas de parler à des inconnus.

    « Les dangers d’être une sorcière et d’avoir fait des études »
    Et la sorcière condamna l’enfant à analyser ce micro récit pour l’éternité. Elle condamna, verbe de la principale…

    RépondreSupprimer
  2. J. K. VÉLEZ (Espagne)

    « Cette nuit, j’ai rêvé de toi »
    Cette nuit, j’ai rêvé de toi – dit Luis à Roberta. C’est de moi que [ou « dont » ? Vérifie] tu rêves maintenant, car cela fait dix ans que je suis morte.

    « Un fils obéissant »
    L’inconnu, en haut du pont [au début de la phrase ?], demanda à Dieu de lui donner une raison de vivre. Il ignorait que la maman de Dieu ne lui permettait pas [ou carrément « lui interdisait » ?] de parler à des inconnus.

    « Les dangers d’être une sorcière et d’avoir fait des études »
    Et la sorcière condamna l’enfant à analyser ce microrécit pour l’éternité. Elle condamna, verbe de la principale…

    RépondreSupprimer
  3. J. K. VÉLEZ (Espagne)

    « Cette nuit, j’ai rêvé de toi »
    Cette nuit, j’ai rêvé de toi – dit Luis à Roberta. C’est de moi dont tu rêves maintenant, car cela fait dix ans que je suis morte.

    « Un fils obéissant »
    En haut du pont, l’inconnu, demanda à Dieu de lui donner une raison de vivre. Il ignorait que la maman de Dieu lui interdisait de parler à des inconnus.

    « Les dangers d’être une sorcière et d’avoir fait des études »
    Et la sorcière condamna l’enfant à analyser ce micro récit pour l’éternité. Elle condamna, verbe de la principale…

    RépondreSupprimer
  4. J. K. VÉLEZ (Espagne)

    « Cette nuit, j’ai rêvé de toi »
    Cette nuit, j’ai rêvé de toi – dit Luis à Roberta. C’est de moi dont tu rêves maintenant, car cela fait dix ans que je suis morte.

    « Un fils obéissant »
    En haut du pont, l’inconnu, demanda à Dieu de lui donner une raison de vivre. Il ignorait que la maman de Dieu lui interdisait de parler à des inconnus.

    « Les dangers d’être une sorcière et d’avoir fait des études »
    Et la sorcière condamna l’enfant à analyser ce microrécit pour l’éternité. Elle condamna, verbe de la principale…

    RépondreSupprimer
  5. J. K. VÉLEZ (Espagne)

    « Cette nuit, j’ai rêvé de toi »
    Cette nuit, j’ai rêvé de toi – dit Luis à Roberta. C’est de moi dont tu rêves maintenant, car cela fait dix ans que je suis morte.

    « Un fils obéissant »
    En haut du pont, l’inconnu, demanda à Dieu de lui donner une raison de vivre. Il ignorait que la maman de Dieu lui interdisait de parler à des inconnus.

    « Les dangers d’être une sorcière et d’avoir fait des études »
    Et la sorcière condamna l’enfant à analyser ce microrécit pour l’éternité. Elle condamna, verbe de la principale…

    OK.

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.