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vendredi 21 mars 2014

Projet Émeline 3 – phrase 3

Gonzalo salió del despacho todo lo erguido que pudo, congeló con un gesto los primeros amagos de felicitación de algún compañero, cogió su libro y se fue a tomar un café.

Traduction temporaire :
Se tenant aussi droit qu’il le pouvait, Gonzalo est sorti du bureau, a refroidi d’un geste les velléités de félicitations d’un collègue, a attrapé son livre et est allé prendre un café.

12 commentaires:

  1. Se tenant aussi droit qu’il le pouvait, Gonzalo est sorti du bureau, a gelé d’un signe les premières amorces de félicitation d’un collègue, a attrapé son livre et il est allé prendre un café.

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  2. Se tenant aussi droit qu’il le pouvait, Gonzalo est sorti du bureau, a gelé d’un signe [gros manque de naturel] les premières amorces de félicitation d’un collègue, a attrapé son livre et il est allé prendre un café.

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  3. Se tenant aussi droit qu’il le pouvait, Gonzalo est sorti du bureau, a gelé d’un [geste/regard ?] les premières amorces de félicitation d’un collègue, a attrapé son livre et il est allé prendre un café.

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  4. Se tenant aussi droit [ou « raide » ? Je te laisse voir ce qui est le plus adapté ici] qu’il le pouvait, Gonzalo est sorti du bureau, a gelé [inadapté ici] d’un [geste/regard ? Ah ça, c'est toujours un pb, mais là, je pense que c'est effectivement geste] les premières amorces de félicitation [plusieurs] d’un collègue, a attrapé son livre et il [nécessaire ?] est allé prendre un café.

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  5. Se tenant aussi droit qu’il le pouvait, Gonzalo est sorti du bureau, a refroidi d’un geste les premières amorces de félicitations d’un collègue, a attrapé son livre et est allé prendre un café.

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  6. Se tenant aussi droit qu’il le pouvait, Gonzalo est sorti du bureau, a refroidi d’un geste les premières amorces [pas un peu redondant ?] de félicitations d’un collègue, a attrapé son livre et est allé prendre un café.

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  7. Se tenant aussi droit qu’il le pouvait, Gonzalo est sorti du bureau, a refroidi d’un geste les amorces de félicitations d’un collègue, a attrapé son livre et est allé prendre un café.

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  8. Se tenant aussi droit qu’il le pouvait, Gonzalo est sorti du bureau, a refroidi d’un geste les amorces [ah ça y est, je cherchais depuis hier : velléités… vois comment ça se construit] de félicitations d’un collègue, a attrapé son livre et est allé prendre un café.

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  9. Se tenant aussi droit qu’il le pouvait, Gonzalo est sorti du bureau, a refroidi d’un geste les velléités de félicitations d’un collègue, a attrapé son livre et est allé prendre un café.

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  10. Se tenant aussi droit qu’il le pouvait, Gonzalo est sorti du bureau, a refroidi d’un geste les velléités de félicitations [confirme-moi juste que tu as bien vérifié la construction] d’un collègue, a attrapé son livre et est allé prendre un café.

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  11. Se tenant aussi droit qu’il le pouvait, Gonzalo est sorti du bureau, a refroidi d’un geste les velléités de félicitations d’un collègue, a attrapé son livre et est allé prendre un café.

    [J'ai cherché la construction.]

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  12. Se tenant aussi droit qu’il le pouvait, Gonzalo est sorti du bureau, a refroidi d’un geste les velléités de félicitations d’un collègue, a attrapé son livre et est allé prendre un café.

    OK.

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