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lundi 24 septembre 2012

Les Météores – phrase 171

“Y vosotras que tenéis,
padres,  hijos y maridos,
ayudadme con mis gemidos,
si es que mejor no podéis.”

Traduction temporaire :
« Et vous, qui avez
des pères, des enfants, et des maris,
soulagez ma peine en la partageant,
si vous ne pouvez pas faire davantage. »

17 commentaires:

  1. « Et vous qui avez des pères, des enfants, des maris, gémissez avec moi, si vous ne pouvez pas faire plus. »

    -virgule après "vous"?
    -"ayudadme con los gemidos": je ne suis pas sûre du sens.

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  2. Oui pour la virgule.

    « et des maris… » ; laisse comme en V.O.

    « soulagez-moi » ?

    « plus » ou « davantage » ?

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  3. « Et vous, qui avez des pères, des enfants et des maris, soulagez-moi, si vous ne pouvez pas faire davantage. »

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  4. Et comme ceci ? :

    « Et vous, qui avez des pères,
    des enfants, et des maris,
    partagez ma peine,
    si vous ne pouvez pas faire davantage. »

    Pour plainte, j'ai pensé aussi à "plainte", "souffrance"

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  5. Émilie : on ne peut pas se dispenser de traduire « con mis gemidos ». Contournement de difficulté ;-)

    Maintenant, il faut que vous vous mettiez d'accord sur « ayudadme ». je vous laisse en discuter.

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  6. Mmmhu, mais :
    - "partagez mes gémissements".... comment dire...
    - "aidez-moi à gémir", euh...

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  7. "partagez au moins ma peine"

    Pour ne pas répéter "douleur" ?

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  8. Ah oui, je suis allée un peu vite en besogne...

    « Et vous, qui avez des pères,
    des enfants, et des maris,
    aidez-moi en partageant ma peine,
    si vous ne pouvez pas faire davantage. »

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  9. Raison pour laquelle je trouvais que « soulager la peine » était assez convenable.

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  10. Émilie,

    Nos commentaires se sont croisés… Pas sûre pour le sens.

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  11. OK pour ça, alors (a-t-on besoin du "au moins"?)

    « Et vous, qui avez des pères,
    des enfants, et des maris,
    soulagez ma peine,
    si vous ne pouvez pas faire davantage. »

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  12. « Et vous, qui avez des pères,
    des enfants, et des maris,
    soulagez ma peine en la partageant,
    si vous ne pouvez pas faire davantage. »

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  13. Elena,

    Je trouve assez bien ton « en la partageant », mais comme c'est vraiment un ajout par rapport à la V.O., motive-le… Explique.

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  14. C'est par rapport à "ayudadme" : on se demande "comment" ? Et sous entendu dans la restriction : "si es que mejor no podéis.", nous trouvons la réponse : "au moins en la partageant", en pleurant avec moi.

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  15. Mouais… J'avoue ne pas être très convaincue par l'explication dans la mesure où elle dérive d'une question à se poser à partir de la V.O. ; ce qui suppose une grand part de subjectivité.
    Que ce soit clair : je ne dis pas non à ta trad – enfin, à la cheville…
    Émilie, qu'en penses-tu ?

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  16. OK pour moi, ça me semble aller dans le sens de "aidez-moi en vous associant à ma peine", comme je comprends la phrase)

    « Et vous, qui avez des pères,
    des enfants, et des maris,
    soulagez ma peine en la partageant,
    si vous ne pouvez pas faire davantage. »

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  17. Oui, très mal expliqué de ma part ;-).
    En fait, en V.O., on ne se pose pas tellement la question, c'est une expression colloquiale très courante.
    C'est en français qu'elle s'impose à partir du "mieux" : "mieux" que quoi ? Sinon, c'est contradictoire : "soulagez ma peine si vous ne pouvez pas faire davantage", si on soulage sa peine, c'est déjà pas mal !

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