mardi 10 février 2015

Projet Caroline 2 – phrases 207-211


Es curioso, pero ahora comienzo a comprender algunas cosas que antes sólo las veía en seres ajenos a mí. Dicen que cuando un humano está llegando al fin de sus días encuentra la hermosura en las cosas más simples; en el vuelo de una mariposa, en una puesta de sol, en la sonrisa de un niño... Cuando uno es un crío tiene una conciencia limitada, pero a medida que aumentan sus vivencias y acumula experiencias se vuelve más consciente de quién es, de lo que sabe, y de lo que aún le queda por experimentar. Con el tiempo, llega a apreciar el valor de las cosas.

Traduction temporaire :

— C'est étrange, mais je commence à comprendre certaines choses que je ne voyais auparavant que chez des êtres qui m'étaient étrangers. On dit que lorsqu'un humain arrive à la fin de ses jours, il trouve de la beauté dans ce qu'il y a de plus simple : le vol d'un papillon, un coucher de soleil, le sourire d'un enfant… Quand on est jeune, on a une conscience limitée ; mais au fil de notre vie et des expériences qu'on accumule, on devient plus conscient de qui on est, de ce qu'on sait et de ce qu'il nous reste encore à vivre. Avec le temps, on finit par apprécier la valeur des choses.

8 commentaires:

Caroline a dit…

— C'est étrange, mais en ce moment je commence à comprendre certaines choses que je ne voyais auparavant que chez les autres. On dit que lorsqu'un être humain arrive à la fin de ses jours, il trouve de la beauté dans ce qu'il y a de plus simple : le vol d'un papillon, un coucher de soleil, le sourire d'un enfant… Quand on est jeune, on a une conscience limitée ; mais au fur et à mesure de ce qu'on vit et des expériences qu'on accumule, on devient plus conscient de qui on est, de ce qu'on sait, et de ce qu'il nous reste encore à vivre. Avec le temps, on finit par apprécier la valeur des choses.

Tradabordo a dit…

— C'est étrange, mais en ce moment [virgule + au fait, on ne peut pas rester littéral ?] je commence à comprendre certaines choses que je ne voyais auparavant que chez les autres [vous avez qd même un peu changé ; pas moyen de revenir plus près de la V.O. ?]. On dit que lorsqu'un être humain arrive à la fin de ses jours, il trouve de la beauté dans ce qu'il y a de plus simple : le vol d'un papillon, un coucher de soleil, le sourire d'un enfant… Quand on est jeune, on a une conscience limitée ; mais au fur et à mesure de ce qu'on vit [pas très bien dit] et des expériences qu'on accumule, on devient plus conscient de qui on est, de ce qu'on sait, et de ce qu'il nous reste encore à vivre. Avec le temps, on finit par apprécier la valeur des choses.

Caroline a dit…

— C'est étrange, mais, maintenant, je commence à comprendre certaines choses que je ne voyais auparavant que chez des êtres qui m'étaient étrangers. On dit que lorsqu'un être humain arrive à la fin de ses jours, il trouve de la beauté dans ce qu'il y a de plus simple : le vol d'un papillon, un coucher de soleil, le sourire d'un enfant… Quand on est jeune, on a une conscience limitée ; mais au fur et à mesure de notre vie et des expériences qu'on accumule, on devient plus conscient de qui on est, de ce qu'on sait, et de ce qu'il nous reste encore à vivre. Avec le temps, on finit par apprécier la valeur des choses.

Tradabordo a dit…

— C'est étrange, mais, [sans la virgule] maintenant [au fait, nécessaire, alors qu'on a « commencer » après ?], je commence à comprendre certaines choses que je ne voyais auparavant que chez des êtres qui m'étaient étrangers. On dit que lorsqu'un être [nécessaire ? Vous l'avez dans la phrase d'avant] humain arrive à la fin de ses jours, il trouve de la beauté dans ce qu'il y a de plus simple : le vol d'un papillon, un coucher de soleil, le sourire d'un enfant… Quand on est jeune, on a une conscience limitée ; mais au fur et à mesure de [mal dit] notre vie et des expériences qu'on accumule, on devient plus conscient de qui on est, de ce qu'on sait, [sans la virgule] et de ce qu'il nous reste encore à vivre. Avec le temps, on finit par apprécier la valeur des choses.

Caroline a dit…

— C'est étrange, mais je commence à comprendre certaines choses que je ne voyais auparavant que chez des êtres qui m'étaient étrangers. On dit que lorsqu'un humain arrive à la fin de ses jours, il trouve de la beauté dans ce qu'il y a de plus simple : le vol d'un papillon, un coucher de soleil, le sourire d'un enfant… Quand on est jeune, on a une conscience limitée ; mais au cours de notre vie et des expériences qu'on accumule, on devient plus conscient de qui on est, de ce qu'on sait et de ce qu'il nous reste encore à vivre. Avec le temps, on finit par apprécier la valeur des choses.

Tradabordo a dit…

— C'est étrange, mais je commence à comprendre certaines choses que je ne voyais auparavant que chez des êtres qui m'étaient étrangers. On dit que lorsqu'un humain arrive à la fin de ses jours, il trouve de la beauté dans ce qu'il y a de plus simple : le vol d'un papillon, un coucher de soleil, le sourire d'un enfant… Quand on est jeune, on a une conscience limitée ; mais au cours [« au fil » ?] de notre vie et des expériences qu'on accumule, on devient plus conscient de qui on est, de ce qu'on sait et de ce qu'il nous reste encore à vivre. Avec le temps, on finit par apprécier la valeur des choses.

Caroline a dit…

— C'est étrange, mais je commence à comprendre certaines choses que je ne voyais auparavant que chez des êtres qui m'étaient étrangers. On dit que lorsqu'un humain arrive à la fin de ses jours, il trouve de la beauté dans ce qu'il y a de plus simple : le vol d'un papillon, un coucher de soleil, le sourire d'un enfant… Quand on est jeune, on a une conscience limitée ; mais au fil de notre vie et des expériences qu'on accumule, on devient plus conscient de qui on est, de ce qu'on sait et de ce qu'il nous reste encore à vivre. Avec le temps, on finit par apprécier la valeur des choses.

Tradabordo a dit…

— C'est étrange, mais je commence à comprendre certaines choses que je ne voyais auparavant que chez des êtres qui m'étaient étrangers. On dit que lorsqu'un humain arrive à la fin de ses jours, il trouve de la beauté dans ce qu'il y a de plus simple : le vol d'un papillon, un coucher de soleil, le sourire d'un enfant… Quand on est jeune, on a une conscience limitée ; mais au fil de notre vie et des expériences qu'on accumule, on devient plus conscient de qui on est, de ce qu'on sait et de ce qu'il nous reste encore à vivre. Avec le temps, on finit par apprécier la valeur des choses.

OK.