mardi 3 février 2015

Projet Céline 2 – phrases 74-78

El muchacho partió más reconfortado pero con en frío metido en el cuerpo. Llevaba la bolsa en el hombro y los pies doloridos. De nuevo la caminata sobre la nieve, ahora con más miedo. El cielo gris se oscurecía. La muerte andará cerca –pensaba el muchacho y trataba de mover los pies entumecidos dentro de las medias.

Traduction temporaire :
Le garçon partit réconforté, mais glacé jusqu’aux os. Il portait son sac en bandoulière et avait mal aux pieds. Il lui fallait de nouveau parcourir le chemin enneigé, avec plus de peur qu’à l’aller. Le ciel gris s’obscurcissait. La mort doit être proche, pensait le garçon en essayant de bouger ses pieds tuméfiés dans ses bas.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Le garçon partit plus réconforté, mais glacé jusqu’aux os. Il portait son sac en bandoulière et avait mal aux pieds. Il lui fallait de nouveau parcourir le chemin enneigé, à présent avec plus de peur. Le ciel gris s’obscurcissait. La mort doit être proche – pensait le garçon en essayant de bouger ses pieds tuméfiés dans ses bas.

Tradabordo a dit…

Le garçon partit plus [supprime] réconforté, mais glacé jusqu’aux os. Il portait son sac en bandoulière et avait mal aux pieds. Il lui fallait de nouveau parcourir le chemin enneigé, à présent avec plus de peur [ce petit bout n'est pas très naturel]. Le ciel gris s’obscurcissait. La mort doit être proche – [virgule] pensait le garçon en essayant de bouger ses pieds tuméfiés dans ses bas.

Unknown a dit…

Le garçon partit réconforté, mais glacé jusqu’aux os. Il portait son sac en bandoulière et avait mal aux pieds. Il lui fallait de nouveau parcourir le chemin enneigé, avec plus de peur qu’à l’aller. Le ciel gris s’obscurcissait. La mort doit être proche, pensait le garçon en essayant de bouger ses pieds tuméfiés dans ses bas.

Tradabordo a dit…

Le garçon partit réconforté, mais glacé jusqu’aux os. Il portait son sac en bandoulière et avait mal aux pieds. Il lui fallait de nouveau parcourir le chemin enneigé, avec plus de peur qu’à l’aller. Le ciel gris s’obscurcissait. La mort doit être proche, pensait le garçon en essayant de bouger ses pieds tuméfiés dans ses bas.

OK.