Ya me iba cuando volvió a preguntarme si lo dejarían irse.
Esa noche soñé que era yo el que clavaba el cuchillo y gritaba que no había hecho nada malo, que me soltaran. Al abrir los ojos, inmovilizado por la ferocidad del sueño, di vueltas en la cama y seguí dando vueltas alrededor de lo mismo. Lo único que tenía claro era que nuestras certidumbres no sirven para nada y entonces me di cuenta de que el destino podía estar acechándome a la vuelta de la esquina. Un sudor frío me recorrió la médula.
Traduction temporaire :
J’étais sur le point de partir quand il me demanda de nouveau si on allait le laisser sortir. Cette nuit-là, je rêvai que c’était moi qui plantais le couteau et criais que je n’avais rien fait de mal, suppliant qu'on me relâche. Lorsque j’ouvris les yeux, paralysé par la férocité des images, je me tournai et me retournai dans le lit, ressassant la même pensée. La seule chose qui me semblait claire était que nos certitudes ne servent à rien. Je compris que le destin était susceptible de me guetter à chaque coin de rue. Une sueur froide parcourut mon échine.
J’étais sur le point de partir quand il me demanda de nouveau si on allait le laisser sortir. Cette nuit-là, je rêvai que c’était moi qui plantais le couteau et criais que je n’avais rien fait de mal, suppliant qu'on me relâche. Lorsque j’ouvris les yeux, paralysé par la férocité des images, je me tournai et me retournai dans le lit, ressassant la même pensée. La seule chose qui me semblait claire était que nos certitudes ne servent à rien. Je compris que le destin était susceptible de me guetter à chaque coin de rue. Une sueur froide parcourut mon échine.
7 commentaires:
J’étais sur le point de partir quand il me demanda de nouveau s’ils allaient le laisser sortir.
Cette nuit-là, je rêvai que c’était moi qui plantais le couteau et criais que je n’avais rien fait de mal, suppliant que l’on me relâche. Lorsque j’ouvris les yeux, paralysé par la férocité du rêve, je me tournai et me retournai dans le lit, et continuai à ressasser la même pensée dans ma tête. La seule chose qui me semblait claire était que nos certitudes ne servent à rien. Je compris alors que le destin pouvait me guetter à chaque coin de rue. Une sueur froide parcourut mon échine.
J’étais sur le point de partir quand il me demanda de nouveau s’ils allaient [« on » ?] le laisser sortir.
Cette nuit-là, je rêvai que c’était moi qui plantais le couteau et criais que je n’avais rien fait de mal, suppliant que l’on [« qu'on » ?] me relâche. Lorsque j’ouvris les yeux, paralysé par la férocité du rêve [« des images » ?], je me tournai et me retournai dans le lit, et [nécessaire ?] continuai à ressasser la même pensée dans ma tête [naturel ?]. La seule chose qui me semblait claire était que nos certitudes ne servent à rien. Je compris alors que le destin pouvait [avec « être susceptible » ? Essaie et vois ce qui est mieux] me guetter à chaque coin de rue. Une sueur froide parcourut mon échine.
J’étais sur le point de partir quand il me demanda de nouveau s’il on allait le laisser sortir.
Cette nuit-là, je rêvai que c’était moi qui plantais le couteau et criais que je n’avais rien fait de mal, suppliant qu'on me relâche. Lorsque j’ouvris les yeux, paralysé par la férocité des images, je me tournai et me retournai dans le lit, ressassant la même pensée. La seule chose qui me semblait claire était que nos certitudes ne servent à rien. Je compris alors que le destin était susceptible [oui, ça me semble mieux] de me guetter à chaque coin de rue. Une sueur froide parcourut mon échine.
Pas sûre d'avoir réussi à poster le commentaire précédent (c'est peut-être un doublon).
J’étais sur le point de partir quand il me demanda de nouveau si on allai le laisser sortir.
Cette nuit-là, je rêvai que c’était moi qui plantais le couteau et criais que je n’avais rien fait de mal, suppliant qu'on me relâche. Lorsque j’ouvris les yeux, paralysé par la férocité des images, je me tournai et me retournai dans le lit, ressassant la même pensée. La seule chose qui me semblait claire était que nos certitudes ne servent à rien. Je compris alors que le destin était susceptible de [ok] me guetter à chaque coin de rue. Une sueur froide parcourut mon échine.
J’étais sur le point de partir quand il me demanda de nouveau si on allai [grammaire / coquille] le laisser sortir.
Cette nuit-là, je rêvai que c’était moi qui plantais le couteau et criais que je n’avais rien fait de mal, suppliant qu'on me relâche. Lorsque j’ouvris les yeux, paralysé par la férocité des images, je me tournai et me retournai dans le lit, ressassant la même pensée. La seule chose qui me semblait claire était que nos certitudes ne servent à rien. Je compris alors [nécessaire ?] que le destin était susceptible de me guetter à chaque coin de rue. Une sueur froide parcourut mon échine.
J’étais sur le point de partir quand il me demanda de nouveau si on allait le laisser sortir.
Cette nuit-là, je rêvai que c’était moi qui plantais le couteau et criais que je n’avais rien fait de mal, suppliant qu'on me relâche. Lorsque j’ouvris les yeux, paralysé par la férocité des images, je me tournai et me retournai dans le lit, ressassant la même pensée. La seule chose qui me semblait claire était que nos certitudes ne servent à rien. Je compris que le destin était susceptible de me guetter à chaque coin de rue. Une sueur froide parcourut mon échine.
J’étais sur le point de partir quand il me demanda de nouveau si on allait le laisser sortir.
Cette nuit-là, je rêvai que c’était moi qui plantais le couteau et criais que je n’avais rien fait de mal, suppliant qu'on me relâche. Lorsque j’ouvris les yeux, paralysé par la férocité des images, je me tournai et me retournai dans le lit, ressassant la même pensée. La seule chose qui me semblait claire était que nos certitudes ne servent à rien. Je compris que le destin était susceptible de me guetter à chaque coin de rue. Une sueur froide parcourut mon échine.
OK.
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