Extendí la mano; era, a no caber duda, un gránulo de cobre que tardó mucho en enfriarse. Por fortuna la brisa se levantaba, inclinando aquella lluvia singular hacia el lado opuesto de mi terraza. Las chispas eran harto ralas, además. Podía creerse por momentos que aquello había ya cesado. No cesaba. Uno que otro, eso sí, pero caían siempre los temibles gránulos.
Traduction temporaire :
Je tendis la main ; il s’agissait, sans l’ombre d’un doute, d’un granule de cuivre, qui tarda à refroidir. Par chance, la brise se levait, orientant cette pluie singulière vers le côté opposé de ma terrasse. En outre, les étincelles étaient passablement espacées. Par moments, on pouvait croire que cela avait cessé. Or, non. Les terribles granules ne tombaient que de temps à autre, certes, mais ils tombaient toujours.
Je tendis la main ; il s’agissait, sans l’ombre d’un doute, d’un granule de cuivre, qui tarda à refroidir. Par chance, la brise se levait, orientant cette pluie singulière vers le côté opposé de ma terrasse. En outre, les étincelles étaient passablement espacées. Par moments, on pouvait croire que cela avait cessé. Or, non. Les terribles granules ne tombaient que de temps à autre, certes, mais ils tombaient toujours.
4 commentaires:
Je tendis la main ; il s’agissait, sans l’ombre d’un doute, d’un granule de cuivre, qui tarda à refroidir. Par chance, la brise se levait, orientant cette pluie singulière vers le côté opposé de ma terrasse. Les étincelles étaient passablement espacées, en outre. Par moments, on pouvait croire que cela avait cessé. Or, cela ne cessait pas. Les terribles granules ne tombaient que de temps à autre, certes, mais ils tombaient toujours.
Je tendis la main ; il s’agissait, sans l’ombre d’un doute, d’un granule de cuivre, qui tarda [ou : « mit un moment » ? Comme tu veux…] à refroidir. Par chance, la brise se levait, orientant cette pluie singulière vers le côté opposé de ma terrasse. Les étincelles étaient passablement espacées, en outre [avance-le]. Par moments [ou sans « s » ? Vérifie], on pouvait croire que cela avait cessé. Or, cela ne cessait pas [ou simplement : « Or, non » ? Comme tu veux…]. Les terribles granules ne tombaient que de temps à autre, certes, mais ils tombaient toujours.
Je tendis la main ; il s’agissait, sans l’ombre d’un doute, d’un granule de cuivre, qui tarda [on a "moment" qqs lignes au dessus] à refroidir. Par chance, la brise se levait, orientant cette pluie singulière vers le côté opposé de ma terrasse. En outre, les étincelles étaient passablement espacées. Par moments [+ rare sans « s »], on pouvait croire que cela avait cessé. Or, non. Les terribles granules ne tombaient que de temps à autre, certes, mais ils tombaient toujours.
Je tendis la main ; il s’agissait, sans l’ombre d’un doute, d’un granule de cuivre, qui tarda à refroidir. Par chance, la brise se levait, orientant cette pluie singulière vers le côté opposé de ma terrasse. En outre, les étincelles étaient passablement espacées. Par moments, on pouvait croire que cela avait cessé. Or, non. Les terribles granules ne tombaient que de temps à autre, certes, mais ils tombaient toujours.
OK.
Enregistrer un commentaire