vendredi 27 février 2015

Projet Fanny / Laura – phrases 36-39

No es que echase de menos a nadie, tampoco tenía nadie a quién recordar. Hacía tiempo, cuando era muy pequeña, que había aprendido a estar sola. Cada mañana se peinaba y maquillaba cuidadosamente para Josef. El insistía en que no lo necesitaba para nada, que estaba perfecta sin ningún potingue en la cara, pero para ella era como un ritual, una ofrenda sagrada a la Diosa Fortuna para asegurarse cada día la compañía del chico.

Traduction temporaire :
Non pas que quelqu'un lui manquait ; d'ailleurs, elle n'avait personne à qui penser. Il y avait longtemps, quand elle était encore toute petite, qu'elle avait appris à être seule. Chaque matin, elle se coiffait et se maquillait soigneusement pour Josef. Il insistait sur le fait qu'elle n'en avait pas besoin, qu'elle était parfaite sans se barbouiller le visage ; mais pour elle, c'était comme un rituel, une offrande sacrée à la Déesse de la Chance pour s'assurer quotidiennement de la compagnie du garçon. 

8 commentaires:

Fanny JAY a dit…

Ce n'est pas que quelqu'un lui manquait ; d'ailleurs, elle n'avait personne dont se rappeler. Il y avait longtemps, quand elle était toute petite, qu'elle avait appris à être seule. Tous les matins, elle se coiffait et se maquillait soigneusement pour Josef. Il insistait sur le fait que ça ne servait à rien, qu'elle était parfaite sans aucun cosmétique sur le visage, mais pour elle, c'était comme un rituel, une offrande sacrée à la Déesse Fortuna pour s'assurer, chaque jour, de la compagnie du garçon.

Tradabordo a dit…

Ce n'est pas que quelqu'un lui manquait ; d'ailleurs, elle n'avait personne dont [« à » ?] se rappeler [« à qui penser » ? Je vous laisse voir ce qui est mieux…]. Il y avait longtemps, quand [avec : « alors que » ? Voyez ce qui est mieux] elle était toute petite, qu'elle avait appris à être seule. Tous [vous avez « toute » dans la phrase d'avant] les matins, elle se coiffait et se maquillait soigneusement pour Josef. Il insistait sur le fait que ça [pas ce qui est dit] ne servait à rien, qu'elle était parfaite sans aucun cosmétique [registre ?] sur le visage, mais pour elle, c'était comme un rituel, une offrande sacrée à la Déesse Fortuna [?] pour s'assurer, chaque jour [avec un adverbe en « -ment » ?], de la compagnie du garçon.

Fanny JAY a dit…

Ce n'est pas que quelqu'un lui manquait ; d'ailleurs, elle n'avait personne à qui penser. Il y avait longtemps, quand elle était toute petite, qu'elle avait appris à être seule. Chaque matin, elle se coiffait et se maquillait soigneusement pour Josef. Il insistait sur le fait qu'elle n'en avait pas besoin, qu'elle était parfaite sans maquillage sur le visage, mais pour elle, c'était comme un rituel, une offrande sacrée à la Déesse de la Chance pour s'assurer quotidiennement de la compagnie du garçon.

Tradabordo a dit…

Ce n'est pas [avec un simple « Non »] que quelqu'un lui manquait ; d'ailleurs, elle n'avait personne à qui penser. Il y avait longtemps, quand elle était [cheville : «» encore ] ? toute petite, qu'elle avait appris à être seule. Chaque matin, elle se coiffait et se maquillait soigneusement pour Josef. Il insistait sur le fait qu'elle n'en avait pas besoin, qu'elle était parfaite sans maquillage [« pontigue » : pas familier en esp. ?] sur le visage, [point-virgule ?] mais pour elle, c'était comme un rituel, une offrande sacrée à la Déesse de la Chance pour s'assurer quotidiennement de la compagnie du garçon.

Laura CALLIOT a dit…

Non pas que quelqu'un lui manquait ; d'ailleurs, elle n'avait personne à qui penser. Il y avait longtemps, quand elle était encore toute petite, qu'elle avait appris à être seule. Chaque matin, elle se coiffait et se maquillait soigneusement pour Josef. Il insistait sur le fait qu'elle n'en avait pas besoin, qu'elle était parfaite sans fardage sur le visage ; mais pour elle, c'était comme un rituel, une offrande sacrée à la Déesse de la Chance pour s'assurer quotidiennement de la compagnie du garçon.

Tradabordo a dit…

Non pas que quelqu'un lui manquait ; d'ailleurs, elle n'avait personne à qui penser. Il y avait longtemps, quand elle était encore toute petite, qu'elle avait appris à être seule. Chaque matin, elle se coiffait et se maquillait soigneusement pour Josef. Il insistait sur le fait qu'elle n'en avait pas besoin, qu'elle était parfaite sans fardage [ça s'utilise ? Je ne le trouve pas dans le dico dans ce sens-là ; sinon, passer par le verbe] sur le visage ; mais pour elle, c'était comme un rituel, une offrande sacrée à la Déesse de la Chance pour s'assurer quotidiennement de la compagnie du garçon.

Fanny JAY a dit…

Non pas que quelqu'un lui manquait ; d'ailleurs, elle n'avait personne à qui penser. Il y avait longtemps, quand elle était encore toute petite, qu'elle avait appris à être seule. Chaque matin, elle se coiffait et se maquillait soigneusement pour Josef. Il insistait sur le fait qu'elle n'en avait pas besoin, qu'elle était parfaite sans se barbouiller le visage ; mais pour elle, c'était comme un rituel, une offrande sacrée à la Déesse de la Chance pour s'assurer quotidiennement de la compagnie du garçon.

Tradabordo a dit…

Non pas que quelqu'un lui manquait ; d'ailleurs, elle n'avait personne à qui penser. Il y avait longtemps, quand elle était encore toute petite, qu'elle avait appris à être seule. Chaque matin, elle se coiffait et se maquillait soigneusement pour Josef. Il insistait sur le fait qu'elle n'en avait pas besoin, qu'elle était parfaite sans se barbouiller le visage ; mais pour elle, c'était comme un rituel, une offrande sacrée à la Déesse de la Chance pour s'assurer quotidiennement de la compagnie du garçon.

OK.

Laura ?