jeudi 5 février 2015

Projet Juliette / Jordane – phrases 58-61

A veces el viento soplaba fuerte y hacía balancear el foco que estaba colgado del techo. Otra vez el ruido entraba como a perturbar el silencio que reinaba entre los dos y sus sombras respectivas. Esta vez Onel miró hacia la ventana abierta, tal vez no por el ruido; sino por el viento frío que comenzaba a entrar a la casa. El hombre no miraba a la ventana sino a Onel que se rascaba la barba crecida.

Traduction temporaire :
Parfois, le vent soufflait fort et faisait balancer la lumière accrochée au plafond. De nouveau, le bruit entrait, comme pour perturber le silence qui régnait entre eux deux et leurs ombres respectives. Cette fois, Onel regarda vers la fenêtre ouverte, peut-être pas à cause du bruit, mais parce que le vent froid commençait à pénétrer dans la maison. L'homme, lui, ne regardait pas la fenêtre, mais Onel, qui grattait sa longue barbe.

11 commentaires:

Unknown a dit…

Parfois, le vent soufflait fort et faisait balancer l'ampoule accrochait au plafond. A nouveau, le bruit entrait pour perturber le silence qui régnait entre les deux et leurs ombres respectives. Cette fois, Onel regardait vers la fenêtre ouverte, peut-être pas à cause du bruit, mais pour le vent froid qui commençait à pénétrer dans la maison. L'homme ne regardait pas la fenêtre, il regardait Onel qui se rasait la barbe naissante.

Tradabordo a dit…

Relisez-vous + accentuez les majuscules.

Unknown a dit…

Parfois, le vent soufflait fort et faisait balancer l'ampoule accrochait au plafond. À nouveau [De nouveau, j’hésite ?], le bruit entrait commo pour perturber le silence qui régnait entre les deux et leurs ombres respectives. Cette fois, Onel regarda vers la fenêtre ouverte, peut-être pas à cause du bruit, mais pour le vent froid qui commençait à pénétrer dans la maison. L'homme ne regardait pas la fenêtre, il regardait Onel qui se grattait la barbe naissante.

Tradabordo a dit…

Relisez-vous, bis.

Unknown a dit…

Parfois le vent soufflait fort et faisait balancer la lumière qui était pendue au plafond. À nouveau [De nouveau, j’hésite ?], le bruit entrait comme pour perturber le silence qui régnait entre les deux et leurs ombres respectives. Cette fois Onel regarda vers la fenêtre ouverte, peut-être pas à cause du bruit, mais pour le vent froid qui commençait à pénétrer [pour ne pas répéter le verbe « entrer »] dans la maison. L'homme ne regardait pas la fenêtre, mais Onel qui grattait sa longue barbe.

Tradabordo a dit…

Parfois le vent soufflait fort et faisait balancer la lumière qui était pendue [il suffisait de corriger votre grosse faute de grammaire] au plafond.



À nouveau [De nouveau, j’hésite ?], le bruit entrait comme pour perturber le silence qui régnait entre les deux et leurs ombres respectives. Cette fois Onel regarda vers la fenêtre ouverte, peut-être pas à cause du bruit, mais pour le vent froid qui commençait à pénétrer [pour ne pas répéter le verbe « entrer »] dans la maison. L'homme ne regardait pas la fenêtre, mais Onel qui grattait sa longue barbe.

Unknown a dit…

Parfois le vent soufflait fort et faisait balancer la lumière accrochée au plafond. De nouveau, le bruit entrait comme pour perturber le silence qui régnait entre les deux et leurs ombres respectives. Cette fois Onel regarda vers la fenêtre ouverte, peut-être pas à cause du bruit, mais pour le vent froid qui commençait à pénétrer dans la maison. L'homme ne regardait pas la fenêtre, mais Onel qui grattait sa longue barbe.

Tradabordo a dit…

Parfois le vent soufflait fort et faisait balancer la lumière accrochée au plafond. De nouveau, le bruit entrait [virgule] comme pour perturber le silence qui régnait entre les deux [« entre eux deux » ou il faut ajouter un substantif à votre formulation, parce que « entre les deux » tout seul ne suffit pas] et leurs ombres respectives. Cette fois [VIRGULE] Onel regarda vers la fenêtre ouverte, peut-être pas à cause du bruit, mais pour [mal dit] le vent froid qui commençait à pénétrer dans la maison. L'homme [cheville : « , lui, » ?] ne regardait pas la fenêtre, mais Onel qui grattait sa longue barbe.

Unknown a dit…

Parfois le vent soufflait fort et faisait balancer la lumière accrochée au plafond. De nouveau, le bruit entrait, comme pour perturber le silence qui régnait entre eux deux et leurs ombres respectives. Cette fois, Onel regarda vers la fenêtre ouverte, peut-être pas à cause du bruit, mais parce que le vent froid commençait à pénétrer dans la maison. L'homme, lui, ne regardait pas la fenêtre, mais Onel qui grattait sa longue barbe.

Tradabordo a dit…

Parfois le vent soufflait fort et faisait balancer la lumière accrochée au plafond. De nouveau, le bruit entrait, comme pour perturber le silence qui régnait entre eux deux et leurs ombres respectives. Cette fois, Onel regarda vers la fenêtre ouverte, peut-être pas à cause du bruit, mais parce que le vent froid commençait à pénétrer dans la maison. L'homme, lui, ne regardait pas la fenêtre, mais Onel, qui grattait sa longue barbe.

Avec l'ajout d'une petite virgule, c'est OK.

Jordane ?

Unknown a dit…

Parfois, le vent soufflait fort et faisait balancer la lumière accrochée au plafond. De nouveau, le bruit entrait, comme pour perturber le silence qui régnait entre eux deux et leurs ombres respectives. Cette fois, Onel regarda vers la fenêtre ouverte, peut-être pas à cause du bruit, mais parce que le vent froid commençait à pénétrer dans la maison. L'homme, lui, ne regardait pas la fenêtre, mais Onel, qui grattait sa longue barbe.

OK.