Roberto no sabía qué decir. Por un lado, se alegraba: así nadie podría llevárselo nunca, nadie iba a privarle de verlo cada día. Pero lo desconcertó descubrir que también sentía decepción. Por mucho que ahorrara, aunque creciera y ganara mucho dinero, aunque a sus padres les tocara la lotería, nunca podría poseer aquel coche. Jamás de los jamases, jamás.
El hombre pareció leerle el pensamiento, porque dijo de pronto:
Traduction temporaire :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il se réjouissait. Ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter ni le priver du plaisir de la voir tous les jours. Mais d'un autre côté, il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il n'arriverait jamais à posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais. L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il se réjouissait. Ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter ni le priver du plaisir de la voir tous les jours. Mais d'un autre côté, il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il n'arriverait jamais à posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais. L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
21 commentaires:
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il était content : ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne n'allait le priver de la voir tous les jours. Mais il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il ne pourrait jamais posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il se réjouissait : ainsi personne ne pourrait jamais le lui enlever, personne ne le priverait de la voir chaque jour. Mais cela l'avait aussi déconcerté de découvrir que la déception l'avait transpersé. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient à la loterie, il ne pourrait jamais posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il était content : ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne n'allait le priver [ou avec « priverait » + cheville : « du plaisir » ou trop ?] de la voir tous les jours. Mais il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient [on ne dit pas « gagner à » ? Vérifiez la fréquence d'usage] la loterie, il ne pourrait jamais posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il dit tout à coup :
Ludivine, nos commentaires se sont croisés. Voyez ce que j'ai dit à Elise et aménagez.
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il était content : ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne ne le priverait du plaisir de la voir tous les jours. Mais il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il ne pourrait jamais posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il était content : ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne ne le priverait du plaisir de la voir tous les jours. Mais il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il ne pourrait jamais posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il dit [temps] tout à coup [des tirets ? Vérifiez] :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il était content : ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne ne le priverait du plaisir de la voir tous les jours. Mais il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il ne pourrait jamais posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il était content : ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne ne le priverait du plaisir de la voir tous les jours. Mais [« d'un autre côté » – pour faire le parallèle avec la phrase d'avant ? Je vous laisse regarder…] il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il ne pourrait jamais posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il était content : ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne ne le priverait du plaisir de la voir tous les jours. Mais d'un autre côté il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il ne pourrait jamais posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il était content : ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne ne le priverait du plaisir de la voir tous les jours. Mais d'un autre côté, il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il ne pourrait jamais posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il était content : ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne ne le priverait du plaisir de la voir tous les jours. Mais d'un autre côté il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il ne pourrait jamais posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
Je prends la première solution postée – comme d'habitude.
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il était content : [bof, pour les deux points. D'autant qu'après, pour l'autre côté, vous n'adoptez pas le même système] ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne ne le priverait du plaisir de la voir tous les jours. Mais d'un autre côté [virgule puisque ça n'est pas le sujet !] il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il ne pourrait jamais posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il se réjouissait, ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne ne le priverait du plaisir de la voir tous les jours. Mais d'un autre côté, il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il ne pourrait jamais posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il se réjouissait, [point ?] ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne ne le priverait du plaisir de la voir tous les jours. Mais d'un autre côté, il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il ne pourrait jamais posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
+ au fait, pas beaucoup de « pouvoir » ? Voyez s'il est quand même possible de faire un peu de ménage.
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il se réjouissait. Ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne ne le priverait du plaisir de la voir tous les jours. Mais d'un autre côté, il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il n'arriverait jamais à posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il se réjouissait. Ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne ne le priverait du plaisir de la voir tous les jours. Mais d'un autre côté, il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il n'arriverait jamais à posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il se réjouissait. Ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter, personne [ou « ni » à la place de la répétition ? Je vous laisse voir ce qui est mieux] ne le priverait du plaisir de la voir tous les jours. Mais d'un autre côté, il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il n'arriverait jamais à posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il se réjouissait. Ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter ni le priver du plaisir de la voir tous les jours. Mais d'un autre côté, il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il n'arriverait jamais à posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
Roberto ne savait pas quoi dire. D'un côté, il se réjouissait. Ainsi, personne ne pourrait jamais l'emporter ni le priver du plaisir de la voir tous les jours. Mais d'un autre côté, il était déconcerté de découvrir qu'il éprouvait aussi de la déception. Il aurait beau économiser, même s'il grandissait et gagnait beaucoup d'argent, même si ses parents remportaient la loterie, il n'arriverait jamais à posséder cette voiture. Jamais de la vie, jamais.
L'homme avait semblé lire dans ses pensées, parce qu'il avait dit tout à coup :
OK.
Élise ?
Cette traduction me convient.
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