Justamente hoy, el día de mi cumpleaños. Cómo iba yo a imaginarme que lo que más me importa en el mundo desaparecería así, de ese cuarto descolorido pero nuestro.
Se llevó la oveja que le regalé. También se llevó mi libertad.
Hoy no puedo dormirme. No sé hacerlo sin mi espejo, al que amo. Pero qué puedo hacer.
Solo deseo pedir un favor a la maldita soledad, la única que de verdad y sin variaciones llega cuando todos se van, la única con la que puedo llorar: que lo busque y lo ame como a ninguno, para que logre sentir lo que siento.
Y yo solo le prometo que nunca más volveré a adorar así, a ningún espejo.
Traduction temporaire :
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment aurais-je pu imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre pour autant ? Il a emporté la brebis que je lui avais offerte. Il a aussi emporté ma liberté. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je changer ? J'ai juste une faveur à demander à cette maudite solitude, la seule qui survient vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il ressente ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais aucun miroir comme ça.
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment aurais-je pu imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre pour autant ? Il a emporté la brebis que je lui avais offerte. Il a aussi emporté ma liberté. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je changer ? J'ai juste une faveur à demander à cette maudite solitude, la seule qui survient vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il ressente ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais aucun miroir comme ça.
16 commentaires:
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment j'aurais pu imaginer, moi, que ce qui m'importait le plus au monde disparaîtrait comme ça, de cette chambre décolorée mais nôtre. Il a pris la brebis que je lui avais offerte. Il a pris ma liberté aussi. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je faire ? Je souhaite seulement demander une faveur à la maudite solitude, la seule qui reste vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il puisse ressentir ce que je ressens. Et moi, je le lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais comme ça, aucun miroir.
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment j'aurais pu imaginer, moi [nécessaire ?], que ce qui m'importait [temps] le plus au monde disparaîtrait comme ça, [j'hésite sur la virgule] de cette chambre décolorée mais nôtre [naturel ?].
Faisons déjà ça.
Il a pris la brebis que je lui avais offerte. Il a pris ma liberté aussi. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je faire ? Je souhaite seulement demander une faveur à la maudite solitude, la seule qui reste vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il puisse ressentir ce que je ressens. Et moi, je le lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais comme ça, aucun miroir.
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment j'aurais pu imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre ?
Il a pris la brebis que je lui avais offerte. Il a pris ma liberté aussi. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je faire ? Je souhaite seulement demander une faveur à la maudite solitude, la seule qui reste vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il puisse ressentir ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais comme ça, aucun miroir.
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment j'aurais pu [« aurais-je pu » ?] imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre ? Il a pris [« emporté » ?] la brebis que je lui avais offerte. Il a pris [idem ?] ma liberté aussi [pas très bien placé]. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je faire [un moyen de ne pas répéter « faire » ?] ? Je souhaite seulement demander une faveur à la maudite solitude [le début manque de naturel], la seule qui reste vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il puisse ressentir ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais comme ça, aucun miroir.
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment aurais-je pu imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre ? Il a emporté la brebis que je lui avais offerte. Il a emporté aussi ma liberté. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je changer ? J'ai seulement une faveur à demander à la maudite solitude, la seule qui reste vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il puisse ressentir ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais comme ça, aucun miroir.
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment aurais-je pu imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre [cheville : « pour autant » ou inutile ?] ? Il a emporté la brebis que je lui avais offerte. Il a emporté aussi [avant ?] ma liberté. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je changer ? J'ai seulement une faveur à demander à la [« cette » ?] maudite solitude, la seule qui reste vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il puisse [nécessaire ?] ressentir ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais comme ça, aucun miroir.
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment aurais-je pu imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre pour autant (vive les fioritures ;). Il a emporté la brebis que je lui avais offerte. Il a aussi emporté ma liberté. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je changer ? J'ai seulement une faveur à demander à cette maudite solitude, la seule qui reste vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il ressente ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais comme ça, aucun miroir.
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment aurais-je pu imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre pour autant. Il a emporté la brebis que je lui avais offerte. Il a aussi emporté ma liberté. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je changer [pas un trop gros changement par rapport à la V.O. ?] ? J'ai seulement une faveur à demander à cette maudite solitude, la seule qui reste vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il ressente ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais comme ça, aucun miroir.
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment aurais-je pu imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre pour autant. Il a emporté la brebis que je lui avais offerte. Il a aussi emporté ma liberté. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je changer [pas un trop gros changement par rapport à la V.O. ? C'est pour éviter la répétition de "faire", on a aussi "accomplir" ? ou "tenter" ? Mais je trouvais que "changer" allait plus dans le sens de la phrase] ? J'ai seulement une faveur à demander à cette maudite solitude, la seule qui reste vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il ressente ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais comme ça, aucun miroir.
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment aurais-je pu imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre pour autant. Il a emporté la brebis que je lui avais offerte. Il a aussi emporté ma liberté. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je changer ? J'ai seulement une faveur à demander à cette maudite solitude, la seule qui reste vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il ressente ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais comme ça, aucun miroir [mets-le avant].
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment aurais-je pu imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre pour autant ? Il a emporté la brebis que je lui avais offerte. Il a aussi emporté ma liberté. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je changer ? J'ai seulement une faveur à demander à cette maudite solitude, la seule qui reste vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il ressente ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais aucun miroir comme ça.
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment aurais-je pu imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre pour autant ? Il a emporté la brebis que je lui avais offerte. Il a aussi emporté ma liberté. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je changer ? J'ai seulement [« juste », pour éviter « seulement » + « seule » ?] une faveur à demander à cette maudite solitude, la seule qui reste [tu changes ; nécessaire ?] vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il ressente ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais aucun miroir comme ça.
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment aurais-je pu imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre pour autant ? Il a emporté la brebis que je lui avais offerte. Il a aussi emporté ma liberté. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je changer ? J'ai juste une faveur à demander à cette maudite solitude, la seule qui survient vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il ressente ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais aucun miroir comme ça.
Précisément aujourd'hui, le jour de mon anniversaire. Comment aurais-je pu imaginer que ce qui m'importe le plus au monde disparaîtrait comme ça de cette chambre décolorée mais pas moins nôtre pour autant ? Il a emporté la brebis que je lui avais offerte. Il a aussi emporté ma liberté. Aujourd'hui, je n'arrive pas à m'endormir. Je ne sais pas le faire sans mon miroir, que j'aime. Mais que puis-je changer ? J'ai juste une faveur à demander à cette maudite solitude, la seule qui survient vraiment et sans variations quand tous s'en vont, la seule avec laquelle je peux pleurer : qu'elle le cherche et qu'elle l'aime comme personne, pour qu'il ressente ce que je ressens. Et moi, je lui promets seulement que plus jamais je n'adorerais aucun miroir comme ça.
OK.
Si je ne me trompe pas, le texte est fini. Tu peux relire – un travail de fond, pas seulement pour chasser les coquilles. D'autant que comme on l'a travaillé sur une longue période, tu auras sans doute à faire une harmonisation + assure-toi bien qu'il ne manque pas des phrases.
Envoie par par quand c'est prêt.
OK :-)
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