Podría haberme llevado donde se te hubiese ocurrido y terminar de romper el poco de ropa que me dejaron encima el agua y las cosas que arrastraba chocando entre sí y contra nosotros; podría haberme dicho cualquier cosa y le habría creído. Pero me trajo hasta aquí y se sonrojó cuando le pregunté sí era igual de valiente para otras cosas. Ahora me mira a medías y juega a lucirse solapadamente, intentando hacerse el interesante, todo ondulado, envolvente, parece jugar con los colores como un camaleón. Sí tuviese que darle alguno sería morado; morado, envolvente, elástico y duro, apretado como la imagen de sus glúteos llenos de vello moreno y ensortijado.
Traduction temporaire :
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader l'air de rien, essayant de faire l'intéressant, se dandinant, enjôleur, il semble jouer avec les couleurs, tel un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, irradiant, élastique et raide, serré comme l'image de son fessier couvert d'un duvet brun et frisé.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader l'air de rien, essayant de faire l'intéressant, se dandinant, enjôleur, il semble jouer avec les couleurs, tel un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, irradiant, élastique et raide, serré comme l'image de son fessier couvert d'un duvet brun et frisé.
34 commentaires:
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait et finir de déchirer le peu de vêtement qu'il me restait au dessus de l'eau, emporter les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous, il aurait pu me dire n'importe quoi et je l'aurais cru. Mais il m'avait emmené ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé si il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader sournoisement, essayant de faire l'intéressant en ondulant, en tournant, et semble jouer avec les couleurs comme un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, enveloppant, élastique et rigide, boudiné comme l'image de ses fesses pleines de poils bruns et frisés.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait [en espagnol, c'est « te » ; coquille ?] et finir de déchirer le peu de vêtement qu'il me restait au dessus de l'eau, emporter les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous, il aurait pu me dire n'importe quoi et je l'aurais cru. Mais il m'avait emmené ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé si il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader sournoisement, essayant de faire l'intéressant en ondulant, en tournant, et semble jouer avec les couleurs comme un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, enveloppant, élastique et rigide, boudiné comme l'image de ses fesses pleines de poils bruns et frisés.
Il aurait pu m'emmener où bon te semblait et finir de déchirer le peu de vêtement qu'il me restait au dessus de l'eau, emporter les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous, il aurait pu me dire n'importe quoi et je l'aurais cru. Mais il m'avait emmené ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé si il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader sournoisement, essayant de faire l'intéressant en ondulant, en tournant, et semble jouer avec les couleurs comme un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, enveloppant, élastique et rigide, boudiné comme l'image de ses fesses pleines de poils bruns et frisés.
Il aurait pu m'emmener où bon te semblait et finir de déchirer le peu de vêtement [pluriel] qu'il me restait [pas vraiment ce que dit l'espagnol] au dessus [un tiret ? Vérifiez] de l'eau, emporter les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous, il aurait pu me dire n'importe quoi et je l'aurais cru.
Faisons déjà ça. C'est un peu fumeux pour moi, parce que dans l'intervalle, j'ai oublié de quoi parle votre texte. Je compte donc sur vous pour bien déterminer qui fait quoi dans ce magma ;-)
Mais il m'avait emmené ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé si il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader sournoisement, essayant de faire l'intéressant en ondulant, en tournant, et semble jouer avec les couleurs comme un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, enveloppant, élastique et rigide, boudiné comme l'image de ses fesses pleines de poils bruns et frisés.
Il aurait pu m'emmener où bon te semblait et finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau, emporter les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous, il aurait pu me dire n'importe quoi et je l'aurais cru.
Il aurait pu m'emmener où bon te semblait et finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau, emporter [vous êtes certaine que ça n'est pas la suite de l'énumération : les vêtements + las cosas ? Je vous laisse regarder…] les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous, [mettez le point-virgule, comme en V.O. // la phrase est assez compliquée comme ça] il aurait pu me dire n'importe quoi et je l'aurais cru.
Il aurait pu m'emmener où bon te semblait et finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau, les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi et je l'aurais cru.
Il aurait pu m'emmener où bon te semblait et [virgule ici et « et » avant les choses, pour être bien clair ? Essayez et dites-moi] finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau, les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi et je l'aurais cru.
Il aurait pu m'emmener où bon te semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi et je l'aurais cru.
Il aurait pu m'emmener où bon te semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient [ou avec « cogner » ? Comme vous voulez] entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi et [avec une virgule, ce sera sans doute mieux] je l'aurais cru.
Il aurait pu m'emmener où bon te semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru.
Il aurait pu m'emmener où bon te semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru.
OK. Vous pouvez ajouter la suite – en laissant le début. Ne mettez peut-être pas tout… Vu que c'est difficile, autant avancer pas à pas. Je vous laisse doser.
Il aurait pu m'emmener où bon te semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmené ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé si il était aussi courageux pour d'autres choses.
Il aurait pu m'emmener où bon te semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmené [1) sûre que c'est masculin pour « emmené » ? À vous de me dire. 2) sûr pour le PQP ?] ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé [idem ? J'hésite sur le temps] si il était aussi courageux pour d'autres choses.
Il aurait pu m'emmener où bon te semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé si il était aussi courageux pour d'autres choses.
Il aurait pu m'emmener où bon te [j'insiste : vous ne croyez pas que c'est une coquille ? Que c'est « le » en esp. En fait, ça dépend et c'est à vous de me dire : est-ce que depuis le début le narrateur / je s'adresse à un « tu » ?] semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé si il [si + il = ?] était aussi courageux pour d'autres choses.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses.
OK. Ajoutez la suite. Vous vous débrouillez pas mal du tout. Dommage que votre partenaire soit aussi peu investie.
Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader soirnoisement, essayant de faire l'interressant, ondulant, tournoyant, il semble jouer avec les couleurs tel un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, se serait le violet ; violet, enveloppant, élastique et raide, comprimé comme l'image de son fessiers couvert d'un duvé brun et frissé.
Il faut remettre le début quand même – je rappelle ce que j'ai dit plusieurs fois en cours : comme à la fin, je fais le copier-coller, je ne peux pas m'amuser à remonter tous les posts à la recherche des bonnes versions des différentes sections du passage.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader soirnoisement, essayant de faire l'interressant, ondulant, tournoyant, il semble jouer avec les couleurs tel un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, se serait le violet ; violet, enveloppant, élastique et raide, comprimé comme l'image de son fessiers couvert d'un duvé brun et frissé.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader
beaucoup de coquilles dans la suite. Relisez-vous.
soirnoisement, essayant de faire l'interressant, ondulant, tournoyant, il semble jouer avec les couleurs tel un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, se serait le violet ; violet, enveloppant, élastique et raide, comprimé comme l'image de son fessiers couvert d'un duvé brun et frissé.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader sournoisement, essayant de faire l'intéressant, ondulant, tournoyant, il semble jouer avec les couleurs tels un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, enveloppant, élastique et raide, comprimé comme l'image de son fessiers couvert d'un duvet brun et frisé.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader sournoisement [regardez qd même dans le dico unilingue, car j'ai un petit doute. Là, vous avez juste pris la trad dans Wordreference ; or, je me demande si c'est exactement cela // je ne dis pas que c'est faux, mais je pense que ça mérite qu'on creuse un peu], essayant de faire l'intéressant, ondulant, tournoyant, il semble jouer avec les couleurs tels un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, enveloppant, élastique et raide, comprimé comme l'image de son fessiers couvert d'un duvet brun et frisé.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader fièrement, essayant de faire l'intéressant, ondulant, tournoyant, il semble jouer avec les couleurs tels un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, enveloppant, élastique et raide, comprimé comme l'image de son fessiers couvert d'un duvet brun et frisé.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader fièrement [ou dans le sens « l'air de rien » ? Vérifiez si ça pourrait fonctionner], essayant de faire l'intéressant, ondulant [bof // pour un homme ?], tournoyant [FS], il semble jouer avec les couleurs tels [grammaire ! Que c'est mal relu //// Je m'arrête là et je vous demande de reprendre la suite pour faire encore le ménage éventuellement nécessaire] un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, enveloppant, élastique et raide, comprimé comme l'image de son fessiers couvert d'un duvet brun et frisé.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader l'air de rien, essayant de faire l'intéressant, se dandinant, séduisant, il semble jouer avec les couleurs tel un caméléon. Si je devais lui attribuer une couleur, ce serait le violet ; violet, enveloppant, élastique et raide, ardu comme l'image de son fessiers couvert d'un duvet brun et frisé.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader l'air de rien, essayant de faire l'intéressant, se dandinant, séduisant [pas exactement ; il faut regarder dans le dico unilingue ; le DRAE], il semble jouer avec les couleurs [virgule] tel un caméléon. Si je devais lui attribuer une couleur [en esp. ça n'est pas répété ; essayez de faire pareil en français], ce serait le violet ; violet, enveloppant [ah, le revoilà // la question est la suivante : la répétition est-elle volontaire, selon vous ? Si non, regardez dans le dico des synonymes : le CRISCO], élastique et raide, ardu [sûre ?] comme l'image de son fessiers [relisez-vous !!!!!] couvert d'un duvet brun et frisé.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader l'air de rien, essayant de faire l'intéressant, se dandinant, enjôleur, il semble jouer avec les couleurs, tel un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, irradiant, élastique et raide, comprimé comme l'image de son fessier couvert d'un duvet brun et frisé.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader l'air de rien, essayant de faire l'intéressant, se dandinant, enjôleur, il semble jouer avec les couleurs, tel un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, irradiant, élastique et raide, comprimé [« serré » ? J'hésite ?] comme l'image de son fessier couvert d'un duvet brun et frisé.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader l'air de rien, essayant de faire l'intéressant, se dandinant, enjôleur, il semble jouer avec les couleurs, tel un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, irradiant, élastique et raide, serré comme l'image de son fessier couvert d'un duvet brun et frisé.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader l'air de rien, essayant de faire l'intéressant, se dandinant, enjôleur, il semble jouer avec les couleurs, tel un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, irradiant, élastique et raide, serré comme l'image de son fessier couvert d'un duvet brun et frisé [au fait, pas plutôt « emmêlé » ? Vérifiez…].
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader l'air de rien, essayant de faire l'intéressant, se dandinant, enjôleur, il semble jouer avec les couleurs, tel un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, irradiant, élastique et raide, serré comme l'image de son fessier couvert d'un duvet brun et frisé.
Il aurait pu m'emmener où bon lui semblait, finir de déchirer le peu de vêtements qu'on m'avait laissé au-dessus de l'eau et les choses qui se heurtaient entre elles et contre nous ; il aurait pu me dire n'importe quoi, je l'aurais cru. Mais il m'avait emmenée ici et avait rougi lorsque je lui avais demandé s'il était aussi courageux pour d'autres choses. Maintenant, il me regarde en coin, s'amuse à parader l'air de rien, essayant de faire l'intéressant, se dandinant, enjôleur, il semble jouer avec les couleurs, tel un caméléon. Si je devais lui en attribuer une, ce serait le violet ; violet, irradiant, élastique et raide, serré comme l'image de son fessier couvert d'un duvet brun et frisé.
OK.
Laura ?
Enregistrer un commentaire