mercredi 4 février 2015

Projet Morgane 12 – phrases 123-125

El día que me topé de frente con el Quemado, y él bajó la cabeza servilmente, no lo reconocí. A Abraham le parecía chistoso observarlo domesticado, se sentía agradecido con los matones del General, hablaba de justicia divina, y le sorprendía y enfadaba mi silenciosa indolencia. Aunque ambos lo sabíamos, ni Penélope ni yo mencionamos la intervención de los guardaespaldas de su padre.

Traduction temporaire :
Le jour où je tombai sur le Cramé, qui baissa la tête servilement, je ne le reconnus pas. Abraham trouvait drôle de le voir domestiqué : il était reconnaissant envers les cerbères du Général, il parlait de justice divine et ma silencieuse indolence le surprenait et le mettait en colère. Et bien que nous le sachions tous les deux, ni Penélope ni moi ne mentionnâmes l'intervention des gardes du corps de son père.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Le jour où je tombai sur le Cramé, qui baissa la tête servilement, je ne le reconnus pas. Abraham trouvait drôle de le voir domestiqué, il était reconnaissant envers les cerbères du Général, il parlait de justice divine et ma silencieuse indolence le surprenait et le mettait en colère. Et bien que nous le sachions tous les deux, ni Penélope ni moi ne mentionnâmes l'intervention des gardes du corps de son père.

Tradabordo a dit…

Le jour où je tombai sur le Cramé, qui baissa la tête servilement, je ne le reconnus pas. Abraham trouvait drôle de le voir domestiqué, [ponctuation ? deux points ?] il était reconnaissant envers les cerbères du Général, il parlait de justice divine et ma silencieuse indolence le surprenait et le mettait en colère. Et bien que nous le sachions tous les deux, ni Penélope ni moi ne mentionnâmes l'intervention des gardes du corps de son père.

Unknown a dit…

Le jour où je tombai sur le Cramé, qui baissa la tête servilement, je ne le reconnus pas. Abraham trouvait drôle de le voir domestiqué,[selon moi, on parle toujours d'Abraham dans la suite de la phrase donc les deux-points induiraient un faux-sens] il était également reconnaissant envers les cerbères du Général, il parlait de justice divine et ma silencieuse indolence le surprenait et le mettait en colère. Et bien que nous le sachions tous les deux, ni Penélope ni moi ne mentionnâmes l'intervention des gardes du corps de son père.

Tradabordo a dit…

Le jour où je tombai sur le Cramé, qui baissa la tête servilement, je ne le reconnus pas. Abraham trouvait drôle de le voir domestiqué, il était également [non, parce que la suite, c'est le détail de « domestiqué »] reconnaissant envers les cerbères du Général, il parlait de justice divine et ma silencieuse indolence le surprenait et le mettait en colère. Et bien que nous le sachions tous les deux, ni Penélope ni moi ne mentionnâmes l'intervention des gardes du corps de son père.

Unknown a dit…

Le jour où je tombai sur le Cramé, qui baissa la tête servilement, je ne le reconnus pas. Abraham trouvait drôle de le voir domestiqué : il était reconnaissant envers les cerbères du Général, il parlait de justice divine et ma silencieuse indolence le surprenait et le mettait en colère. Et bien que nous le sachions tous les deux, ni Penélope ni moi ne mentionnâmes l'intervention des gardes du corps de son père.

Tradabordo a dit…

Le jour où je tombai sur le Cramé, qui baissa la tête servilement, je ne le reconnus pas. Abraham trouvait drôle de le voir domestiqué : il était reconnaissant envers les cerbères du Général, il parlait de justice divine et ma silencieuse indolence le surprenait et le mettait en colère. Et bien que nous le sachions tous les deux, ni Penélope ni moi ne mentionnâmes l'intervention des gardes du corps de son père.

OK.