Nada se mueve. Silencio. Se inquieta. Regresa a la casa y llama a Julia. Nadie responde. Llama a Cabrera y lo mismo. Llama a la madre al sobrino al cuñado a la amante al terapeuta al videoclub al servicio de lavandería. Agota el directorio. No consigue ni una sola voz. Julio leyó el párrafo. Tampoco le gustó.
Traduction temporaire :
Rien ne bouge. Silence. Il s’inquiète. Il rentre chez lui et téléphone à Julia. Personne ne répond. Il appelle Cabrera, même chose. Il appelle sa mère, son neveu, son beau-frère, sa maîtresse, son médecin, le vidéoclub, la laverie. Il arrive au bout du répertoire. Il n’obtient aucune réponse. Julio lut le paragraphe. Il ne l’aima pas non plus.
Rien ne bouge. Silence. Il s’inquiète. Il rentre chez lui et téléphone à Julia. Personne ne répond. Il appelle Cabrera, même chose. Il appelle sa mère, son neveu, son beau-frère, sa maîtresse, son médecin, le vidéoclub, la laverie. Il arrive au bout du répertoire. Il n’obtient aucune réponse. Julio lut le paragraphe. Il ne l’aima pas non plus.
4 commentaires:
Projet Odile 2 – phrases 21-29
Rien ne bouge. Silence. Il s’inquiète. Il rentre chez lui et téléphone à Julia. Personne ne répond. Il appelle Cabrera et c’est pareil. Il appelle sa mère, son neveu, son beau-frère, sa maîtresse, le médecin, le vidéoclub, la laverie. Il vient à bout du répertoire. Il ne parvient à entendre aucune voix.
Julio lut le paragraphe. Il ne lui convint pas non plus.
Rien ne bouge. Silence. Il s’inquiète. Il rentre chez lui et téléphone à Julia. Personne ne répond. Il appelle Cabrera et c’est [ou avec une simple virgule, pour économiser un « c'est » ? Essaie… et vois si c'est viable] pareil. Il appelle sa mère, son neveu, son beau-frère, sa maîtresse, le [possessif ?] médecin, le vidéoclub, la laverie. Il vient à bout [« Il arrive au bout du » ?] du répertoire. Il ne parvient à entendre aucune voix [naturel ?].
Julio lut le paragraphe. Il ne lui convint pas [pourquoi pas plus près de la V.O. ?] non plus.
Projet Odile 2 – phrases 21-29
« Il appelle Cabrera, pareil » : Je trouve qu’il manque vraiment le « c’est ». En parlant, personnellement, il m’arrive d’employer « pareil » de cette façon, mais à l’écriture ce n’est pas terrible. Je me décide, sans enthousiasme, pour « même chose ».
Rien ne bouge. Silence. Il s’inquiète. Il rentre chez lui et téléphone à Julia. Personne ne répond. Il appelle Cabrera, même chose. Il appelle sa mère, son neveu, son beau-frère, sa maîtresse, son médecin, le vidéoclub, la laverie. Il arrive au bout du répertoire. Il n’obtient aucune réponse.
Julio lut le paragraphe. Il ne l’aima pas non plus.
Rien ne bouge. Silence. Il s’inquiète. Il rentre chez lui et téléphone à Julia. Personne ne répond. Il appelle Cabrera, même chose. Il appelle sa mère, son neveu, son beau-frère, sa maîtresse, son médecin, le vidéoclub, la laverie. Il arrive au bout du répertoire. Il n’obtient aucune réponse.
Julio lut le paragraphe. Il ne l’aima pas non plus.
OK.
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