Llevaba conmigo el pomo de veneno, que me causaba un gran bienestar apenas turbado por la curiosidad de la muerte.
El agua fresca y la obscuridad, me devolvieron a las voluptuosidades de mi existencia de rico que acababa de concluir. Hundido hasta el cuello, el regocijo de la limpieza y una dulce impresión de domesticidad, acabaron de serenarme.
Oía afuera el huracán de fuego. Comenzaban otra vez a caer escombros. De la bodega no llegaba un solo rumor. Percibí en eso un reflejo de llamas que entraban por la puerta del sótano, el característico tufo urinoso... Llevé el pomo a mis labios, y...
FIN
Traduction temporaire :
J’avais sur moi le flacon de poison, source [« pour moi » ? répétition avec "sur moi"] d’un profond bien-être, à peine troublé par la curiosité de la mort. L’eau fraîche et l’obscurité me rendirent aux voluptés de mon existence de riche, qui venait de s’achever. Tandis que j’étais immergé jusqu’au cou, la joie de la propreté et une douce impression de me sentir chez moi finirent de m’apaiser. J’entendais l’ouragan de feu dehors. Des décombres recommencèrent à tomber. Depuis la cave ne me parvenait plus aucun bruit. Sur ce, je perçus un reflet des flammes qui entraient par la porte, le relent d’urine caractéristique… Je portai le flacon à mes lèvres, et…
FIN
Traduction temporaire :
J’avais sur moi le flacon de poison, source [« pour moi » ? répétition avec "sur moi"] d’un profond bien-être, à peine troublé par la curiosité de la mort. L’eau fraîche et l’obscurité me rendirent aux voluptés de mon existence de riche, qui venait de s’achever. Tandis que j’étais immergé jusqu’au cou, la joie de la propreté et une douce impression de me sentir chez moi finirent de m’apaiser. J’entendais l’ouragan de feu dehors. Des décombres recommencèrent à tomber. Depuis la cave ne me parvenait plus aucun bruit. Sur ce, je perçus un reflet des flammes qui entraient par la porte, le relent d’urine caractéristique… Je portai le flacon à mes lèvres, et…
FIN
5 commentaires:
J’avais avec moi le flacon de poison, source d’un profond bien-être à peine troublé par la curiosité de la mort.
L’eau fraîche et l’obscurité me rendirent les voluptés de mon existence de riche, qui venait de s’achever. Tandis que j’étais immergé jusqu’au cou, la joie de la propreté et une douce impression de retrouver ce qui m’était familier finirent de m’apaiser.
J’entendais l’ouragan de feu au dehors. Des décombres recommencèrent à tomber. De la cave ne me parvenait plus aucun bruit. Sur ce, je perçus un reflet de flammes qui entraient par la porte, le relent d’urine caractéristique… Je portai le flacon à mes lèvres, et…
J’avais avec [« sur » ? Comme tu veux…] moi le flacon de poison, source [« pour moi » ?] d’un profond bien-être [virgule ?] à peine troublé par la curiosité de la mort.
L’eau fraîche et l’obscurité me rendirent les [« aux » ?] voluptés de mon existence de riche, qui venait de s’achever. Tandis que j’étais immergé jusqu’au cou, la joie de la propreté et une douce impression de retrouver ce qui m’était familier [sûre ?] finirent de m’apaiser.
J’entendais l’ouragan de feu au dehors [bof]. Des décombres recommencèrent à tomber. De [« Depuis » ?] la cave ne me parvenait plus aucun bruit. Sur ce, je perçus un reflet de [« des » ?] flammes qui entraient par la porte, le relent d’urine caractéristique… Je portai le flacon à mes lèvres, et…
J’avais sur moi le flacon de poison, source [« pour moi » ? répétition avec "sur moi"] d’un profond bien-être, à peine troublé par la curiosité de la mort.
L’eau fraîche et l’obscurité me rendirent aux voluptés de mon existence de riche, qui venait de s’achever. Tandis que j’étais immergé jusqu’au cou, la joie de la propreté et une douce impression de me sentir chez moi finirent de m’apaiser.
J’entendais l’ouragan de feu dehors. Des décombres recommencèrent à tomber. Depuis la cave ne me parvenait plus aucun bruit. Sur ce, je perçus un reflet des flammes qui entraient par la porte, le relent d’urine caractéristique… Je portai le flacon à mes lèvres, et…
J’avais sur moi le flacon de poison, source d’un profond bien-être, à peine troublé par la curiosité de la mort.
L’eau fraîche et l’obscurité me rendirent aux voluptés de mon existence de riche, qui venait de s’achever. Tandis que j’étais immergé jusqu’au cou, la joie de la propreté et une douce impression de me sentir chez moi finirent de m’apaiser.
J’entendais l’ouragan de feu dehors. Des décombres recommencèrent à tomber. Depuis la cave ne me parvenait plus aucun bruit. Sur ce, je perçus un reflet des flammes qui entraient par la porte, le relent d’urine caractéristique… Je portai le flacon à mes lèvres, et…
OK.
Tu peux relire. Assure-toi bien qu'il ne manque pas des phrases ici ou là.
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