El relato avanza con algunos cortes de edición. Giovanna enciende un cigarrillo, lo olvida en el cenicero. Su mano tiembla. Contiene el llanto por momentos, aunque más de una vez su cara aparece bañada en lágrimas. “Cuando me separé de Lorenzo, Olaf tenía dos años. Vivía encerrado en el lavadero. Le tiraba comida dos veces por día. Entraba con la escoba en la mano, para defenderme y para barrer los excrementos.
Traduction temporaire :
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Elle a beau régulièrement retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais, le balai à la main, pour me défendre et pour nettoyer ses excréments. »
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Elle a beau régulièrement retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais, le balai à la main, pour me défendre et pour nettoyer ses excréments. »
18 commentaires:
Le récit progresse avec quelques coupures d'enregistrement. Giovanna allume une cigarette et l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Par moments, elle retient ses sanglots, bien qu'à plusieurs reprises son visage apparaisse couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais à manger deux fois par jour. J'entrais avec le balai dans la main, pour me défendre et pour balayer les excréments.»
« »
Le récit progresse avec quelques coupures d'enregistrement [ça se dit ? Je ne dis pas que c'est faux, mais vérifiez]. Giovanna allume une cigarette et [une simple virgule ?] l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Par moments [c'est bien au pluriel ?], elle retient ses sanglots, bien qu'à plusieurs reprises son visage apparaisse couvert de larmes [à partir du "bien que", ça manque de naturel / je fais mal les guillemets parce que je suis sur un PC antédiluvien de la fac ;-)]. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais à manger [pourquoi pas littéral ?] deux fois par jour. J'entrais avec le balai dans [à ?] la main, pour me défendre et pour balayer les [possessif ?] excréments.[espace]»
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Par moments, elle retient ses sanglots, mais à plusieurs reprises son visage apparaît couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais avec le balai à la main, pour me défendre et pour balayer ses excréments. »
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Par moments, elle retient ses sanglots, mais [est-ce que ce ne serait pas mieux de construire cette phrase avec « avoir beau » ? Essayez et voyez ce que ça donne] à plusieurs reprises [pas très naturel] son visage apparaît couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais avec [nécessaire ?] le balai à la main, pour me défendre et pour balayer [un autre verbe, pour éviter balai + balayer ?] ses excréments. »
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Elle a beau retenir ses sanglots par moments, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais, le balai à la main, pour me défendre et pour nettoyer ses excréments. »
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Elle a beau retenir ses sanglots par moments [pas génial, décidément, ce « par moments »], son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais, le balai à la main, pour me défendre et pour nettoyer ses excréments. »
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Elle a beau par moments retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais, le balai à la main, pour me défendre et pour nettoyer ses excréments. »
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Elle a beau par moments [pas du tout naturel… syntaxe ou / et formulation] retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais, le balai à la main, pour me défendre et pour nettoyer ses excréments. »
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Elle a beau de temps en temps retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais, le balai à la main, pour me défendre et pour nettoyer ses excréments. »
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Elle a beau de temps en temps [« Régulièrement » et placé au début ?] retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais, le balai à la main, pour me défendre et pour nettoyer ses excréments. »
Avec" régulièrement" , je trouve ça encore moins naturel.
Régulièrement, elle a beau retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes.
Elle a beau régulièrement retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes.
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Elle a beau de temps en temps retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais, le balai à la main, pour me défendre et pour nettoyer ses excréments. »
Et avec « parfois » ?
Oui j'y ai pensé mais ds la phrase suivante il y a déjà "plusieurs fois",j'ai pensé que vous me reprocheriez la répétition.
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Elle a beau par instants retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais, le balai à la main, pour me défendre et pour nettoyer ses excréments. »
Ah, je me souvenais pas.
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Elle a beau par instants [non, décidément ça ne va pas ; pas fluide… Que c'est agaçant ! Franchement, je pense que c'est ça le moins pire : Elle a beau régulièrement retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. ] retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais, le balai à la main, pour me défendre et pour nettoyer ses excréments. »
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Elle a beau régulièrement retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais, le balai à la main, pour me défendre et pour nettoyer ses excréments. »
Le récit progresse avec quelques coupures dans l'enregistrement. Giovanna allume une cigarette, l'oublie dans le cendrier. Sa main tremble. Elle a beau régulièrement retenir ses sanglots, son visage apparaît plusieurs fois couvert de larmes. « Quand je me suis séparée de Lorenzo, Olaf avait deux ans. Il vivait enfermé dans la buanderie. Je lui jetais la nourriture deux fois par jour. J'entrais, le balai à la main, pour me défendre et pour nettoyer ses excréments. »
OK.
Florence ?
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