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HEIDY DAYANA OTAGRÍ RODRÍGUEZ
Está turca, solo así puede; camina por las calles, medita, las horas son inevitables. Llega al lugar y entra sin disimular; sube a la alcoba, se coloca su mejor máscara, cae la tormenta, es luna llena, ella cierra sus ojos mientras espera los centavos... Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
HEIDY DAYANA OTAGRÍ RODRÍGUEZ
Está turca, solo así puede; camina por las calles, medita, las horas son inevitables. Llega al lugar y entra sin disimular; sube a la alcoba, se coloca su mejor máscara, cae la tormenta, es luna llena, ella cierra sus ojos mientras espera los centavos... Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Traduction temporaire :
Heidy Dayana Otagrí Rodríguez
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Elle est ivre. Elle ne peut tenir que comme ça. Elle marche dans les rues, médite. Les heures passent, inévitablement. Elle arrive sur place et entre sans se cacher, monte dans la chambre, revêt [pour éviter la répétition de « met » un peu après] son plus beau masque. L’orage éclate, c’est la pleine lune, elle ferme les yeux en attendant les pièces de monnaie… Son corps se retrouve souillé quand l’âme se tait et le fric parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle se met du rouge à lèvres, elle réalise à quel point la vie l’a changée. Elle sort dans la rue, endure le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Heidy Dayana Otagrí Rodríguez
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Elle est ivre. Elle ne peut tenir que comme ça. Elle marche dans les rues, médite. Les heures passent, inévitablement. Elle arrive sur place et entre sans se cacher, monte dans la chambre, revêt [pour éviter la répétition de « met » un peu après] son plus beau masque. L’orage éclate, c’est la pleine lune, elle ferme les yeux en attendant les pièces de monnaie… Son corps se retrouve souillé quand l’âme se tait et le fric parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle se met du rouge à lèvres, elle réalise à quel point la vie l’a changée. Elle sort dans la rue, endure le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
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HEIDY DAYANA OTAGRÍ RODRÍGUEZ
Está turca, solo así puede; camina por las calles, medita, las horas son inevitables. Llega al lugar y entra sin disimular; sube a la alcoba, se coloca su mejor máscara, cae la tormenta, es luna llena, ella cierra sus ojos mientras espera los centavos...
Heidy Dayana Otagrí Rodríguez
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Elle est ivre. C’est la seule façon de tenir. Elle erre dans les rues, médite, les heures passent inévitablement. Elle arrive au lieu et entre sans se cacher, monte à la chambre, passe son plus beau masque, l’orage éclate, c’est la pleine lune, elle ferme les yeux en attendant l’argent…
Está turca, solo así puede; camina por las calles, medita, las horas son inevitables. Llega al lugar y entra sin disimular; sube a la alcoba, se coloca su mejor máscara, cae la tormenta, es luna llena, ella cierra sus ojos mientras espera los centavos...
Heidy Dayana Otagrí Rodríguez
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Elle est ivre. C’est la seule façon de tenir. Elle erre [pas moins « fort » en V.O. ? J'hésite… Comme tu veux… – je te donne juste la consigne : attention à la surtraduction. Si ici, tu penses que c'est bon, alors OK] dans les rues, médite, [point ?] les heures passent inévitablement. Elle arrive au lieu et entre sans se cacher, monte à [« dans »] la chambre, passe [« met » ?] son plus beau masque, l’orage éclate, c’est [tu en as un au début / débrouille-toi pour en avoir un seul] la pleine lune, elle ferme les yeux en attendant l’argent…
Heidy Dayana Otagrí Rodríguez
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Elle est ivre. C’est la seule façon de tenir. Elle marche dans les rues, médite. Les heures passent inévitablement. Elle arrive au lieu et entre sans se cacher, monte dans la chambre, met son plus beau masque, l’orage éclate, la pleine lune est là, elle ferme les yeux en attendant les pièces de monnaie [ je dois changer « argent », parce que j’en ai besoin plus loin] …
Heidy Dayana Otagrí Rodríguez
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Elle est ivre. C’est la seule façon de tenir. Elle marche dans les rues, médite. Les heures passent inévitablement. Elle arrive au lieu et entre sans se cacher, monte dans la chambre, met son plus beau masque, [point ?] l’orage éclate, la pleine lune est là [je pense que là, tu as besoin de « c'est » ; du coup, débrouille-toi pour le virer plus haut], elle ferme les yeux en attendant les pièces de monnaie…
Heidy Dayana Otagrí Rodríguez
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Elle est ivre. Elle ne peut tenir que comme ça. Elle marche dans les rues, médite. Les heures passent inévitablement. Elle arrive au lieu et entre sans se cacher, monte dans la chambre, met son plus beau masque. L’orage éclate, c’est la pleine lune, elle ferme les yeux en attendant les pièces de monnaie…
Heidy Dayana Otagrí Rodríguez
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Elle est ivre. Elle ne peut tenir que comme ça. Elle marche dans les rues, médite. Les heures passent, inévitablement. Elle arrive au lieu [après relecture, bof / « sur place » ?] et entre sans se cacher, monte dans la chambre, met son plus beau masque. L’orage éclate, c’est la pleine lune, elle ferme les yeux en attendant les pièces de monnaie…
Heidy Dayana Otagrí Rodríguez
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Elle est ivre. Elle ne peut tenir que comme ça. Elle marche dans les rues, médite. Les heures passent, inévitablement. Elle arrive sur place et entre sans se cacher, monte dans la chambre, met son plus beau masque. L’orage éclate, c’est la pleine lune, elle ferme les yeux en attendant les pièces de monnaie…
Heidy Dayana Otagrí Rodríguez
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Elle est ivre. Elle ne peut tenir que comme ça. Elle marche dans les rues, médite. Les heures passent, inévitablement. Elle arrive sur place et entre sans se cacher, monte dans la chambre, met son plus beau masque. L’orage éclate, c’est la pleine lune, elle ferme les yeux en attendant les pièces de monnaie…
OK.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Pendant que l’âme se tait et l’argent parle, son corps se sali. Dans la salle de bain, alors qu’elle passe le rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, supporte le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Pendant que l’âme se tait et l’argent parle, son corps se sali [grammaire + tu ne crois pas que ce serait mieux plus littéral ?]. Dans la salle de bain, alors qu’[ah, en gros, tu construis cette phrase et celle d'avant pareil… Du coup, comme dans la première, c'était déjà de rééceriture, change…]elle passe le rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, supporte le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Son corps se salit peu à peu pendant que l’âme se tait et l’argent parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle passe le rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, supporte le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Son corps se salit peu à peu [pour moi, ce qu'il fallait garder la de la V.O., ça n'était pas l'idée de progression, mais de résultat]
pendant que l’âme se tait et l’argent parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle passe le rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, supporte le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Son corps est souillé pendant que l’âme se tait et l’argent parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle passe le rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, supporte le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Son corps est [« se retrouve »] souillé pendant que [pourquoi pas « quand » ? C'est vraiment le lien de cause a effet] l’âme se tait et l’argent parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle passe le rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, supporte le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Son corps se retrouve souillé quand l’âme se tait et l’argent parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle passe le rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, supporte le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Son corps se retrouve souillé quand l’âme se tait et l’argent [« fric » ?] parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle passe le [?????] rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, supporte le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Son corps se retrouve souillé quand l’âme se tait et le fric parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle passe du rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, supporte le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Son corps se retrouve souillé quand l’âme se tait et le fric parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle passe [« met » ?] du rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, supporte [« endure » ?] le froid, commande le [possessif ?] premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Son corps se retrouve souillé quand l’âme se tait et le fric parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle passe [« met » ? // on a "met" juste avant pour le masque] du rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, endure le froid, commande le [possessif ? // ça ne fait pas répétition avec le "son" qui suit? ] premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Son corps se retrouve souillé quand l’âme se tait et le fric parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle passe [« met » ? // on a "met" juste avant pour le masque… Oui, mais j'ai vraiment l'impression que « passe » n'est pas naturel ; fais des vérifications de fréquence d'usage avec les guillemets sur Google] du rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, endure le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Son corps se retrouve souillé quand l’âme se tait et le fric parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle passe [« met » ? // on a "met" juste avant pour le masque… Oui, mais j'ai vraiment l'impression que « passe » n'est pas naturel ; fais des vérifications de fréquence d'usage avec les guillemets sur Google // "passer du rouge sur ses lèvres" existe, mais moins fréquent que "mettre", plus littéraire. J'ai aussi : Dans la salle de bain, alors qu'elle se maquille les lèvres...] du rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, endure le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Son corps se retrouve souillé quand l’âme se tait et le fric parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle passe [« met » ? // on a "met" juste avant pour le masque… Oui, mais j'ai vraiment l'impression que « passe » n'est pas naturel ; fais des vérifications de fréquence d'usage avec les guillemets sur Google // "passer du rouge sur ses lèvres" existe, mais moins fréquent que "mettre", plus littéraire. J'ai aussi : Dans la salle de bain, alors qu'elle se maquille les lèvres... ///// « Met » est le mieux, à mon avis] du rouge sur ses lèvres, elle pense à combien sa vie a changé. Elle sort dans la rue, endure le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Elsa, je prends la suite de ton texte et la traduction que tu as proposée, comme l’a demandé Caroline :
Está turca, solo así puede; camina por las calles, medita, las horas son inevitables. Llega al lugar y entra sin disimular; sube a la alcoba, se coloca su mejor máscara, cae la tormenta, es luna llena, ella cierra sus ojos mientras espera los centavos...
Elle est ivre. Elle ne peut tenir que comme ça. Elle marche dans les rues, médite. Les heures passent, inévitablement. Elle arrive sur place et entre sans se cacher, monte dans la chambre, revêt [pour éviter la répétition de « met » un peu après] son plus beau masque. L’orage éclate, c’est la pleine lune, elle ferme les yeux en attendant les pièces de monnaie…
Su cuerpo queda manchado cuando el alma calla y la plata habla. En el baño, mientras el labial se aplica, piensa cómo la vida le ha cambiado. Sale a la calle, soporta el frio, pide el primer tinto de la noche, ese que su vagina ha pagado.
Son corps se retrouve souillé quand l’âme se tait et le fric parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle se met du rouge à lèvres, elle réalise à quel point la vie l’a changée. Elle sort dans la rue, endure le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
Está turca, solo así puede; camina por las calles, medita, las horas son inevitables. Llega al lugar y entra sin disimular; sube a la alcoba, se coloca su mejor máscara, cae la tormenta, es luna llena, ella cierra sus ojos mientras espera los centavos...
Elle est ivre. Elle ne peut tenir que comme ça. Elle marche dans les rues, médite. Les heures passent, inévitablement. Elle arrive sur place et entre sans se cacher, monte dans la chambre, revêt [pour éviter la répétition de « met » un peu après] son plus beau masque. L’orage éclate, c’est la pleine lune, elle ferme les yeux en attendant les pièces de monnaie… Son corps se retrouve souillé quand l’âme se tait et le fric parle. Dans la salle de bain, alors qu’elle se met du rouge à lèvres, elle réalise à quel point la vie l’a changée. Elle sort dans la rue, endure le froid, commande le premier verre de vin de la soirée, celui que son vagin a payé.
OK.
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