El “factor humano”, como solía llamarlo Olaf en algunos de sus discursos, fue reducido a la esclavitud, especialmente en los casos de quienes oponían una resistencia activa al régimen felino y canino. No sucedió con todos de la misma manera, ya que una elevada proporción de la población aceptó de buen grado su nuevo destino de mascotas. Algunos porque lo consideraban justo o inevitable, después de los miles de años de dominación humana.
Traduction temporaire :
Le « facteur humain », comme Olaf avait coutume de l'appeler dans quelques-uns de ses discours, fut réduit en esclavage, s'agissant particulièrement de ceux qui opposaient une résistance active à l'ordre félin et canin. Il n'en fut pas de même pour tout le monde, étant donné une proportion élevée de la population ayant accepté de bonne grâce son nouveau destin d'animaux de compagnie. Certains parce qu'ils le considéraient juste et inévitable, après les milliers d'années de domination humaine.
Le « facteur humain », comme Olaf avait coutume de l'appeler dans quelques-uns de ses discours, fut réduit en esclavage, s'agissant particulièrement de ceux qui opposaient une résistance active à l'ordre félin et canin. Il n'en fut pas de même pour tout le monde, étant donné une proportion élevée de la population ayant accepté de bonne grâce son nouveau destin d'animaux de compagnie. Certains parce qu'ils le considéraient juste et inévitable, après les milliers d'années de domination humaine.
6 commentaires:
Le « facteur humain », comme Olaf avait coutume de l'appeler dans certains de ses discours, fut réduit en esclavage, particulièrement dans le cas de ceux qui opposaient une résistance active au régime félin et canin. Il n'en fut pas de même pour tout le monde, étant donné qu'une proportion élevée de la population avait accepté de bonne grâce son nouveau destin d'animaux de compagnie. Certains parce qu'ils le considéraient juste et inévitable, après les milliers d'années de domination humaine.
Le « facteur humain », comme Olaf avait coutume de l'appeler dans certains de ses discours, fut réduit en esclavage, particulièrement dans le cas [« s'agissant » ?] de ceux qui opposaient une résistance active au régime [« à l'ordre » pour lever l'ambiguïté sur la nourriture ou c'est moi qui surinterprètes ?] félin et canin. Il n'en fut pas de même pour tout le monde, étant donné qu'[pas besoin]une proportion élevée de la population avait [« ayant »] accepté de bonne grâce son nouveau destin d'animaux de compagnie. Certains [vous en avez un au début de ce fragment ; essayez de ne pas répéter] parce qu'ils le considéraient juste et inévitable, après les milliers d'années de domination humaine.
Le « facteur humain », comme Olaf avait coutume de l'appeler dans quelques uns de ses discours, fut réduit en esclavage, s'agissant particulièrement de ceux qui opposaient une résistance active à l'ordre félin et canin. Il n'en fut pas de même pour tout le monde, étant donné une proportion élevée de la population ayant accepté de bonne grâce son nouveau destin d'animaux de compagnie. Certains parce qu'ils le considéraient juste et inévitable, après les milliers d'années de domination humaine.
Le « facteur humain », comme Olaf avait coutume de l'appeler dans quelques uns [tiret] de ses discours, fut réduit en esclavage, s'agissant particulièrement de ceux qui opposaient une résistance active à l'ordre félin et canin. Il n'en fut pas de même pour tout le monde, étant donné une proportion élevée de la population ayant accepté [relisez-vous] de bonne grâce son nouveau destin d'animaux de compagnie. Certains parce qu'ils le considéraient juste et inévitable, après les milliers d'années de domination humaine.
Le « facteur humain », comme Olaf avait coutume de l'appeler dans quelques-uns de ses discours, fut réduit en esclavage, s'agissant particulièrement de ceux qui opposaient une résistance active à l'ordre félin et canin. Il n'en fut pas de même pour tout le monde, étant donné une proportion élevée de la population ayant accepté [relisez-vous***] de bonne grâce son nouveau destin d'animaux de compagnie. Certains parce qu'ils le considéraient juste et inévitable, après les milliers d'années de domination humaine.
***Ça m'ennuie car je ne vois pas ce qui cloche!! J'ai beau me relire, est-ce la ponctuation ?
Lecture trop rapide de ma part – désolée si je vous ai (involontairement) fait tourner en bourrique :P Vivement les vacances…………
Le « facteur humain », comme Olaf avait coutume de l'appeler dans quelques-uns de ses discours, fut réduit en esclavage, s'agissant particulièrement de ceux qui opposaient une résistance active à l'ordre félin et canin. Il n'en fut pas de même pour tout le monde, étant donné une proportion élevée de la population ayant accepté de bonne grâce son nouveau destin d'animaux de compagnie. Certains parce qu'ils le considéraient juste et inévitable, après les milliers d'années de domination humaine.
OK.
Florence ?
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