Las mueve el viento
A mí y a mamá nos anda siguiendo una casa grande y vieja. Probamos a correr, a escondernos, pero no hay caso, sigue atrás. Para colmo, terminamos perdiéndonos. Yo creo que la casa también está perdida, así que eso no me preocupa, pero mamá se da vuelta, la señala con un dedo que le tiembla y abre mucho los ojos. “Castillo embrujado” dice, me lo dice en secreto, pero después grita: “Andate, no te conozco”, y los gritos son para la casa. A lo mejor sí la conoce, sólo que se olvidó. Me da lástima verla así a mamá. Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar. Las paredes de la casa seguro que raspan. Pienso que nos quiere decir algo, pero no sabe cómo tratar con la gente o no puede, porque por el lado de afuera está rota, llena de agujeros que no llevan a ninguna parte, si llevaran se vería lo de adentro, y no se ve. Pero aunque no se vea, yo sé que ese adentro existe. Sé que tiene muchos muebles de madera oscura adornada con dibujos, esos muebles altos y finos que mamá llama bargueños, y escritorios y roperos tan pesados que yo no podría moverlos. Tiene escaleras blancas escondidas detrás de unas telarañas tan viejas como la casa (las arañas se fueron hace mucho). Y debajo de los muebles y de las escaleras, tiene un montón de cosas moviéndose. “Explicame otra vez qué impulsa a las cosas”, pide mamá. “Las mueve el viento que entra por los fragmentos de puerta y de ventana y de techo que no están”, le contesto, pero es mentira y a mí me parece que mamá se ha dado cuenta, por eso pregunta a cada rato. Las cosas se mueven porque les gusta chocarse, terminar hechas pedazos. Lo roto quiere seguir rompiéndose. Ahora me doy cuenta, la casa nos eligió para que la ayudemos a morir. Que se la arregle como pueda, yo tengo que descubrir el camino que perdimos. Y tengo que cuidar a mamá. La llevo de la mano y siempre estoy mirando por dónde camina. Tengo terror de que tropiece y se lastime.
Traduction temporaire :
Elles bougent sous le vent
Maman et moi, nous sommes poursuivies par une grande et vielle maison. Nous essayons de courir, de nous cacher, rien à faire elle est toujours derrière nous. Pour couronner le tout, nous finissons par nous perdre. Je crois que la maison, elle aussi, est perdue, alors cela ne m'inquiète pas, mais maman, elle, elle se retourne, la désigne d'un doigt tremblant et ouvre de grands yeux. « Château ensorcelé », prévient-elle. Elle me le dit en secret, avant de crier :« Va-t'en, je ne te connais pas ! », et les cris sont destinés à la maison. Peut-être qu’en fait, si, elle la connaît, mais l’a simplement oubliée. Ça me fait de la peine de voir maman dans cet état. Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, et que sa jupe en tricot me gratte le visage, et là, je ne peux presque plus respirer. Les murs de la maison, sûr qu'ils grattent. Je pense qu'elle veut nous dire quelque chose, mais qu'elle ne sait pas comment s'adresser aux gens ou qu'elle ne peut pas, parce que de l'extérieur, elle est cassée, pleine de trous qui ne mènent nulle part, sinon, on verrait l'intérieur, or, on ne le voit pas. Mais bien qu'il soit invisible, moi, je sais que cet intérieur existe. Je sais qu'elle a beaucoup de meubles en bois foncé, orné de dessins. Ces meubles hauts et fins que maman appelle bargueños, bureaux, penderies, si lourds que je ne pourrais pas les déplacer. Elle a des escaliers blancs cachés derrière des toiles d'araignées aussi vieilles que la maison (les araignées sont parties depuis longtemps). Et sous les meubles et les escaliers, elle a un tas de choses qui bougent. « Réexplique-moi ce qui fait bouger les choses », demande maman. « Elles sont mues par le vent qui entre par les morceaux de portes, de fenêtres et de toit manquants », lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte, que c'est pour ça qu'elle repose sans cesse la question. Les choses bougent parce qu'elles aiment se cogner, finir en miettes.
Elles bougent sous le vent
Maman et moi, nous sommes poursuivies par une grande et vielle maison. Nous essayons de courir, de nous cacher, rien à faire elle est toujours derrière nous. Pour couronner le tout, nous finissons par nous perdre. Je crois que la maison, elle aussi, est perdue, alors cela ne m'inquiète pas, mais maman, elle, elle se retourne, la désigne d'un doigt tremblant et ouvre de grands yeux. « Château ensorcelé », prévient-elle. Elle me le dit en secret, avant de crier :« Va-t'en, je ne te connais pas ! », et les cris sont destinés à la maison. Peut-être qu’en fait, si, elle la connaît, mais l’a simplement oubliée. Ça me fait de la peine de voir maman dans cet état. Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, et que sa jupe en tricot me gratte le visage, et là, je ne peux presque plus respirer. Les murs de la maison, sûr qu'ils grattent. Je pense qu'elle veut nous dire quelque chose, mais qu'elle ne sait pas comment s'adresser aux gens ou qu'elle ne peut pas, parce que de l'extérieur, elle est cassée, pleine de trous qui ne mènent nulle part, sinon, on verrait l'intérieur, or, on ne le voit pas. Mais bien qu'il soit invisible, moi, je sais que cet intérieur existe. Je sais qu'elle a beaucoup de meubles en bois foncé, orné de dessins. Ces meubles hauts et fins que maman appelle bargueños, bureaux, penderies, si lourds que je ne pourrais pas les déplacer. Elle a des escaliers blancs cachés derrière des toiles d'araignées aussi vieilles que la maison (les araignées sont parties depuis longtemps). Et sous les meubles et les escaliers, elle a un tas de choses qui bougent. « Réexplique-moi ce qui fait bouger les choses », demande maman. « Elles sont mues par le vent qui entre par les morceaux de portes, de fenêtres et de toit manquants », lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte, que c'est pour ça qu'elle repose sans cesse la question. Les choses bougent parce qu'elles aiment se cogner, finir en miettes.
106 commentaires:
Las mueve el viento
Elles bougent grâce au vent
Las mueve el viento
Elles bougent grâce au vent [le sens y est, mais ça ne rend pas la « légèreté » de la V.O.]
Las mueve el viento
Le vent les fait bouger.
Ou : elles bougent sous le vent ?
Elles bougent sous le vent.
Ok pour moi.
Elles bougent sous le vent
A mí y a mamá nos anda siguiendo una casa grande y vieja. Probamos a correr, a escondernos, pero no hay caso, sigue atrás. Para colmo, terminamos perdiéndonos.
Maman et moi sommes poursuivies par une grande et vielle maison. Nous essayons de courir, de nous cacher, en vain, elle est toujours derrière nous. Pour couronner le tout, nous finissons par nous perdre.
Elles bougent sous le vent
A mí y a mamá nos anda siguiendo una casa grande y vieja. Probamos a correr, a escondernos, pero no hay caso, sigue atrás. Para colmo, terminamos perdiéndonos.
Maman et moi [ajout de : « , nous » ?] sommes poursuivies par une grande et vielle maison. Nous essayons de courir, de nous cacher, en vain [ou : « rien à faire » ? D'après ce que je comprends, c'est une enfant qui parle…], elle est toujours derrière nous. Pour couronner le tout, nous finissons par nous perdre.
Elles bougent sous le vent
A mí y a mamá nos anda siguiendo una casa grande y vieja. Probamos a correr, a escondernos, pero no hay caso, sigue atrás. Para colmo, terminamos perdiéndonos.
Maman et moi, nous sommes poursuivies par une grande et vielle maison. Nous essayons de courir, de nous cacher, rien à faire elle est toujours derrière nous. Pour couronner le tout, nous finissons par nous perdre.
Elles bougent sous le vent
A mí y a mamá nos anda siguiendo una casa grande y vieja. Probamos a correr, a escondernos, pero no hay caso, sigue atrás. Para colmo, terminamos perdiéndonos.
Maman et moi, nous sommes poursuivies par une grande et vielle maison. Nous essayons de courir, de nous cacher, rien à faire elle est toujours derrière nous. Pour couronner le tout, nous finissons par nous perdre.
OK.
Chloé / Elena ?
OK.
Chloé ?
Ok.
Remettez la bonne propo quand vous validez… sinon, ça m'oblige à remonter dans les commentaires pour aller la chercher ; en plus, on risque les erreurs.
Yo creo que la casa también está perdida, así que eso no me preocupa, pero mamá se da vuelta, la señala con un dedo que le tiembla y abre mucho los ojos. “Castillo embrujado” dice, me lo dice en secreto, pero después grita:
Je crois que la maison, elle aussi, est perdue, donc cela ne m'inquiète pas, mais maman se retourne, la désigne d'un doigt tremblant et ouvre grand les yeux. « Château ensorcelé », prévient-elle, elle me le dit en secret, avant de crier :
Yo creo que la casa también está perdida, así que eso no me preocupa, pero mamá se da vuelta, la señala con un dedo que le tiembla y abre mucho los ojos. “Castillo embrujado” dice, me lo dice en secreto, pero después grita:
Je crois que la maison, elle aussi, est perdue, donc [« alors » / registre ; comme indiqué plus haut, une petite fille…………] cela ne m'inquiète pas, mais maman [« , elle, elle »] se retourne, la désigne d'un doigt tremblant et ouvre grand les yeux. « Château ensorcelé », prévient-elle, [point] elle me le dit en secret, avant de crier :
Yo creo que la casa también está perdida, así que eso no me preocupa, pero mamá se da vuelta, la señala con un dedo que le tiembla y abre mucho los ojos. “Castillo embrujado” dice, me lo dice en secreto, pero después grita:
Je crois que la maison, elle aussi, est perdue, alors cela ne m'inquiète pas, mais maman, elle, elle se retourne, la désigne d'un doigt tremblant et ouvre grand les yeux. « Château ensorcelé », prévient-elle. Elle me le dit en secret, avant de crier :
Yo creo que la casa también está perdida, así que eso no me preocupa, pero mamá se da vuelta, la señala con un dedo que le tiembla y abre mucho los ojos. “Castillo embrujado” dice, me lo dice en secreto, pero después grita:
Je crois que la maison, elle aussi, est perdue, alors cela ne m'inquiète pas, mais maman, elle, elle se retourne, la désigne d'un doigt tremblant et ouvre de grands yeux. « Château ensorcelé », prévient-elle. Elle me le dit en secret, avant de crier :
Yo creo que la casa también está perdida, así que eso no me preocupa, pero mamá se da vuelta, la señala con un dedo que le tiembla y abre mucho los ojos. “Castillo embrujado” dice, me lo dice en secreto, pero después grita:
Je crois que la maison, elle aussi, est perdue, alors cela ne m'inquiète pas, mais maman, elle, elle se retourne, la désigne d'un doigt tremblant et ouvre de grands yeux. « Château ensorcelé », prévient-elle. Elle me le dit en secret, avant de crier :
OK.
Elena ? Chloé ?
Yo creo que la casa también está perdida, así que eso no me preocupa, pero mamá se da vuelta, la señala con un dedo que le tiembla y abre mucho los ojos. “Castillo embrujado” dice, me lo dice en secreto, pero después grita:
Je crois que la maison, elle aussi, est perdue, alors cela ne m'inquiète pas, mais maman, elle, elle se retourne, la désigne d'un doigt tremblant et ouvre de grands yeux. « Château ensorcelé », prévient-elle. Elle me le dit en secret, avant de crier :
Chloé ?
Yo creo que la casa también está perdida, así que eso no me preocupa, pero mamá se da vuelta, la señala con un dedo que le tiembla y abre mucho los ojos. “Castillo embrujado” dice, me lo dice en secreto, pero después grita:
Je crois que la maison, elle aussi, est perdue, alors cela ne m'inquiète pas, mais maman, elle, elle se retourne, la désigne d'un doigt tremblant et ouvre de grands yeux. « Château ensorcelé », prévient-elle. Elle me le dit en secret, avant de crier :
Ok.
Vous pouvez continuer.
“Andate, no te conozco”, y los gritos son para la casa. A lo mejor sí la conoce, sólo que se olvidó.
« Va-t'en, je ne te connais pas », et les cris sont destinés à la maison. Peut-être qu’en fait, elle la connaît, mais elle l’a simplement oubliée.
“Andate, no te conozco”, y los gritos son para la casa. A lo mejor sí la conoce, sólo que se olvidó. Me da lástima verla así a mamá.
« Va t'en, je te connais pas ! » et ses cris sont adressés à la maison. Il se peut qu'elle la connaisse, qu'elle l'ait juste oubliée. Ça me fait de la peine de voir maman dans cet état.
“Andate, no te conozco”, y los gritos son para la casa. A lo mejor sí la conoce, sólo que se olvidó.
« Va-t'en, je ne te connais pas », et les cris sont destinés à la maison. Peut-être qu’en fait, [cheville : « si, » ?] elle la connaît, mais elle [le « elle » est-il nécessaire ?] l’a simplement oubliée.
“Andate, no te conozco”, y los gritos son para la casa. A lo mejor sí la conoce, sólo que se olvidó.
« Va-t'en, je ne te connais pas », et les cris sont destinés à la maison. Peut-être qu’en fait, si, elle la connaît, mais l’a simplement oubliée.
"Andate, no te conozco”, y los gritos son para la casa. A lo mejor sí la conoce, sólo que se olvidó.
« Va-t'en, je ne te connais pas ! », et les cris sont destinés à la maison. Peut-être qu’en fait, si, elle la connaît, mais l’a simplement oubliée.
"Andate, no te conozco”, y los gritos son para la casa. A lo mejor sí la conoce, sólo que se olvidó.
« Va-t'en, je ne te connais pas ! », et les cris sont destinés à la maison. Peut-être qu’en fait, si, elle la connaît, mais l’a simplement oubliée.
OK.
Justine ? Elena ?
« Va-t'en, je ne te connais pas ! », et les cris sont destinés à la maison. Peut-être qu’en fait, si, elle la connaît, mais l’a simplement oubliée.
OK.
Justine, j'ai vu que dans l'intervalle, tu avais OK.
VPC.
Me da lástima verla así a mamá.
Ça me fait de la peine de voir maman dans cet état.
Me da lástima verla así a mamá.
Ça me fait de la peine de voir maman dans cet état.
OK.
Chloé ? Elena ?
Ça me fait de la peine de voir maman dans cet état.
OK.
Ça me fait de la peine de voir maman dans cet état.
Chloé ?
Ça me fait de la peine de voir maman dans cet état.
Ok.
VPC.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je la laisse me serrer contre elle, pourtant je n'aime pas ça, parce qu'elle me tire les cheveux, tressés, et, en plein visage, elle me colle sa jupe à petits points qui grattent, et, là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je la laisse me serrer contre elle [tu te mets à travailler trop vite ; prends le temps… sinon, ça ne nous fait pas avancer plus vite], pourtant je n'aime pas ça, parce qu'elle me tire les cheveux, tressés, et, en plein visage, elle me colle sa jupe à petits points qui grattent, et, là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, pourtant je n'aime pas ça, parce qu'elle me tire les cheveux qui sont dans ma tresse sans le faire exprès, et sa jupe à petits points qui grattent se colle à mon visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, pourtant [« alors (même) que »] je n'aime pas ça, parce qu'elle me tire les cheveux qui sont dans ma tresse sans le faire exprès [mal placé], et sa jupe à petits points qui grattent se colle à mon visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que, sans le faire exprès, elle me tire les cheveux qui sont dans ma tresse, et sa jupe à petits points qui grattent se colle à mon visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que, sans le faire exprès, elle me tire les cheveux qui sont dans [juste : « de »] ma tresse, et [« sans compter »] sa jupe à petits points [?] qui grattent se colle à mon visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que, sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, sans compter jupe à petits pois qui grattent se colle à mon visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que, sans le faire exprès, elle me tire les cheveux de ma tresse e, sans compter que sa jupe feutrée qui gratte se colle à mon visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que, sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, sans compter jupe [????] à petits pois qui grattent se colle à mon visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que, sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, sans compter sa jupe à petits pois qui grattent se colle à mon visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que, sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, sans compter que sa jupe à petits pois qui grattent se colle à mon visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que, sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, sans compter sa jupe à petits pois qui grattent se colle [relis-toi !] à mon visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Je ne suis pas sûre pour "sa jupe à petits pois" ("su pollera de puntitos") : ne serait-ce pas, plutôt, une jupe en tricot? "Hacer punto" = faire du tricot. Cela expliquerait pourquoi ça lui gratte la figure.
Elena, Justine : Mme B., c'est moi (Chloé). C'est le pseudo sous lequel je posterai mes commentaires désormais.
Elena ? Justine ? Votre avis sur la remarque de Chloé – de nouveau, Chloé, remets la version avec TA demande de modif.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que, sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse et me colle le visage contre sa jupe qui gratte, et là, je ne peux presque plus respirer.
***Je suis d'accord avec Chloé, voilà pourquoi j'avais proposé plus haut :
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que, sans le faire exprès, elle me tire les cheveux de ma tresse e, sans compter que sa jupe [" feutrée "] qui gratte se colle à mon visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Je vous laisse me proposer une trad commune à partir de vos deux coms.
Elena : serais-tu d'accord pour opter plutôt pour "sa jupe en laine" (le feutre ne s'utilise pas pour les vêtements) ? Ce qui donnerait, en reprenant ta proposition :
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que, sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, sans compter que sa jupe en laine me gratte le visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
*** Caroline, finalement nous nous sommes mises d'accord sur cette proposition :
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que, sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, sans compter que sa jupe en tricot me gratte le visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, sans [ennuyeux, ces deux « sans » – moins la répétition en soi que la mise sur un même plan de choses différentes] compter que sa jupe en tricot me gratte le visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, et que sa jupe en tricot me gratte le visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Tanta lástima que dejo que me apriete la cabeza contra ella y eso que no me gusta porque sin querer me tira los pelos que están metidos adentro de la trenza y la cara se me pega a su pollera de puntitos que raspan y casi ni puedo respirar.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, et que sa jupe en tricot me gratte le visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
OK.
Justine ? Chloé ?
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, et que sa jupe en tricot me gratte le visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
OK.
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, et que sa jupe en tricot me gratte le visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
Justine ?
Tellement de peine que je lui permets de serrer ma tête contre elle, alors que je n'aime pas ça, parce que sans le faire exprès, elle tire les cheveux de ma tresse, et que sa jupe en tricot me gratte le visage, et là, je ne peux presque plus respirer.
OK.
VPC.
Las paredes de la casa seguro que raspan. Pienso que nos quiere decir algo, pero no sabe cómo tratar con la gente o no puede, porque por el lado de afuera está rota,
Les murs de la maison sûrement qu’ils grattent aussi. Je pense qu’elle veut nous dire quelque chose, mais elle ne sait pas comment s’adresser aux gens ou n’y arrive pas, parce qu’elle est cassée du côté extérieur,
Las paredes de la casa seguro que raspan. Pienso que nos quiere decir algo, pero no sabe cómo tratar con la gente o no puede, porque por el lado de afuera está rota, llena de agujeros que no llevan a ninguna parte, si llevaran se vería lo de adentro, y no se ve. Pero aunque no se vea, yo sé que ese adentro existe.
Bien sur que les murs de la maison grattent. Je pense qu'elle veut nous dire quelque chose, mais qu'elle ne sait pas comment aborder les gens ou qu'elle ne peut pas, parce que de l'extérieur, elle est cassée, pleine de trous qui ne mènent nulle part, sinon, on verrait l'intérieur, or, on ne le voit pas. Mais bien qu'il soit invisible, moi, je sais que cet intérieur existe.
Las paredes de la casa seguro que raspan. Pienso que nos quiere decir algo, pero no sabe cómo tratar con la gente o no puede, porque por el lado de afuera está rota,
Les murs de la maison sûrement qu’ils grattent aussi [syntaxe + naturel ?]. Je pense qu’elle veut nous dire quelque chose, mais [« qu' » ?] elle ne sait pas comment s’adresser aux gens ou n’y arrive pas, parce qu’elle est cassée du côté extérieur,
Las paredes de la casa seguro que raspan. Pienso que nos quiere decir algo, pero no sabe cómo tratar con la gente o no puede, porque por el lado de afuera está rota, llena de agujeros que no llevan a ninguna parte, si llevaran se vería lo de adentro, y no se ve. Pero aunque no se vea, yo sé que ese adentro existe.
Bien sûr que les murs de la maison grattent. Je pense qu'elle veut nous dire quelque chose, mais qu'elle ne sait pas comment s'adresser aux gens ou qu'elle ne peut pas, parce que de l'extérieur, elle est cassée, pleine de trous qui ne mènent nulle part, sinon, on verrait l'intérieur, or, on ne le voit pas. Mais bien qu'il soit invisible, moi, je sais que cet intérieur existe.
Las paredes de la casa seguro que raspan. Pienso que nos quiere decir algo, pero no sabe cómo tratar con la gente o no puede, porque por el lado de afuera está rota,
Les murs de la maison grattent surement. Je pense qu’elle veut nous dire quelque chose, mais qu'elle ne sait pas comment s’adresser aux gens ou n’y arrive pas, parce qu’elle est cassée du côté extérieur,
Las paredes de la casa seguro que raspan. Pienso que nos quiere decir algo, pero no sabe cómo tratar con la gente o no puede, porque por el lado de afuera está rota,
Les murs de la maison grattent surement [ou : …, sûr qu'ils grattent]. Je pense qu’elle veut nous dire quelque chose, mais qu'elle ne sait pas comment s’adresser aux gens ou n’y arrive pas, parce qu’elle est cassée du côté extérieur,
Las paredes de la casa seguro que raspan. Pienso que nos quiere decir algo, pero no sabe cómo tratar con la gente o no puede, porque por el lado de afuera está rota, llena de agujeros que no llevan a ninguna parte, si llevaran se vería lo de adentro, y no se ve. Pero aunque no se vea, yo sé que ese adentro existe.
Les murs de la maison, sûr qu'ils grattent. Je pense qu'elle veut nous dire quelque chose, mais qu'elle ne sait pas comment s'adresser aux gens ou qu'elle ne peut pas, parce que de l'extérieur, elle est cassée, pleine de trous qui ne mènent nulle part, sinon, on verrait l'intérieur, or, on ne le voit pas. Mais bien qu'il soit invisible, moi, je sais que cet intérieur existe.
Las paredes de la casa seguro que raspan. Pienso que nos quiere decir algo, pero no sabe cómo tratar con la gente o no puede, porque por el lado de afuera está rota, llena de agujeros que no llevan a ninguna parte, si llevaran se vería lo de adentro, y no se ve. Pero aunque no se vea, yo sé que ese adentro existe.
Les murs de la maison, sûr qu'ils grattent. Je pense qu'elle veut nous dire quelque chose, mais qu'elle ne sait pas comment s'adresser aux gens ou qu'elle ne peut pas, parce que de l'extérieur, elle est cassée, pleine de trous qui ne mènent nulle part, sinon, on verrait l'intérieur, or, on ne le voit pas. Mais bien qu'il soit invisible, moi, je sais que cet intérieur existe.
OK.
Elena ? Chloé ?
Les murs de la maison, sûr qu'ils grattent. Je pense qu'elle veut nous dire quelque chose, mais qu'elle ne sait pas comment s'adresser aux gens ou qu'elle ne peut pas, parce que de l'extérieur, elle est cassée, pleine de trous qui ne mènent nulle part, sinon, on verrait l'intérieur, or, on ne le voit pas. Mais bien qu'il soit invisible, moi, je sais que cet intérieur existe.
OK.
Les murs de la maison, sûr qu'ils grattent. Je pense qu'elle veut nous dire quelque chose, mais qu'elle ne sait pas comment s'adresser aux gens ou qu'elle ne peut pas, parce que de l'extérieur, elle est cassée, pleine de trous qui ne mènent nulle part, sinon, on verrait l'intérieur, or, on ne le voit pas. Mais bien qu'il soit invisible, moi, je sais que cet intérieur existe.
Chloé ?
VPC.
Sé que tiene muchos muebles de madera oscura adornada con dibujos, esos muebles altos y finos que mamá llama bargueños, y escritorios y roperos tan pesados que yo no podría moverlos. Tiene escaleras blancas escondidas detrás de unas telarañas tan viejas como la casa (las arañas se fueron hace mucho). Y debajo de los muebles y de las escaleras, tiene un montón de cosas moviéndose.
Je sais qu'elle a beaucoup de meubles en bois sombre avec des dessins ouvragés, ces meubles hauts et fins que maman appelle commodes, bureaux, penderies, si lourds que je ne pourrais pas les déplacer. Elle a des escaliers blancs, cachés derrière des toiles d'araignées aussi vieilles que la maison (les araignées sont parties depuis longtemps). Et sous les meubles et les escaliers, elle a un tas de choses qui bougent.
Tu en mets trop long. Je préfère être sur 20 textes en même temps, mais avec des courtes sections que des gros blocs sur quelques textes.
Sé que tiene muchos muebles de madera oscura adornada con dibujos, esos muebles altos y finos que mamá llama bargueños, y escritorios y roperos tan pesados que yo no podría moverlos.
Je sais qu'elle a beaucoup de meubles en bois sombre avec des dessins ouvragés, ces meubles hauts et fins que maman appelle commodes, bureaux, penderies, si lourds que je ne pourrais pas les déplacer.
Sé que tiene muchos muebles de madera oscura adornada con dibujos, esos muebles altos y finos que mamá llama bargueños, y escritorios y roperos tan pesados que yo no podría moverlos.
Je sais qu'elle a beaucoup de meubles en bois sombre [« foncé »] avec des dessins ouvragés [pas ce que dit la V.O.], []point ? ces meubles hauts et fins que maman appelle commodes, bureaux, penderies, si lourds que je ne pourrais pas les déplacer.
Sé que tiene muchos muebles de madera oscura adornada con dibujos, esos muebles altos y finos que mamá llama bargueños, y escritorios y roperos tan pesados que yo no podría moverlos.
Je sais qu'elle a beaucoup de meubles en bois foncé, orné de dessins. Ces meubles hauts et fins que maman appelle commodes, bureaux, penderies, si lourds que je ne pourrais pas les déplacer.
Sé que tiene muchos muebles de madera oscura adornada con dibujos, esos muebles altos y finos que mamá llama bargueños, y escritorios y roperos tan pesados que yo no podría moverlos.
Je sais qu'elle a beaucoup de meubles en bois foncé, orné de dessins. Ces meubles hauts et fins que maman appelle commodes, bureaux, penderies, si lourds que je ne pourrais pas les déplacer.
OK.
Elena ?
Sé que tiene muchos muebles de madera oscura adornada con dibujos, esos muebles altos y finos que mamá llama bargueños, y escritorios y roperos tan pesados que yo no podría moverlos.
Je sais qu'elle a beaucoup de meubles en bois foncé décoré avec des dessins. Ces meubles hauts et fins que maman appelle bargueños et ces bureaux et ces armoires si lourdes que je ne pourrais pas les déplacer.
Voici ma proposition, on ne traduit pas "bargueños", c'est un meuble espagnol d'époque
Qui n'a pas d'équivalent ? Avec une note, alors ?
J'ai fait quelques recherches et je l'ai trouvé dans l'état ou alors francisé, sans le ñ. Mais on peut mettre une note, ou en italique... Je pense que par le contexte on comprend. Comme vous voulez.
ok pour italique.
***OK. Je remets ma proposition
Sé que tiene muchos muebles de madera oscura adornada con dibujos, esos muebles altos y finos que mamá llama bargueños, y escritorios y roperos tan pesados que yo no podría moverlos.
Je sais qu'elle a beaucoup de meubles en bois foncé décoré avec des dessins. Ces meubles hauts et fins que maman appelle bargueños et ces bureaux et ces armoires si lourdes que je ne pourrais pas les déplacer.
Sé que tiene muchos muebles de madera oscura adornada con dibujos, esos muebles altos y finos que mamá llama bargueños, y escritorios y roperos tan pesados que yo no podría moverlos.
Je sais qu'elle a beaucoup de meubles en bois foncé, orné de dessins. Ces meubles hauts et fins que maman appelle bargueños, bureaux, penderies, si lourds que je ne pourrais pas les déplacer.
OK.
VPC.
Tiene escaleras blancas escondidas detrás de unas telarañas tan viejas como la casa (las arañas se fueron hace mucho). Y debajo de los muebles y de las escaleras, tiene un montón de cosas moviéndose.
Elle a des escaliers blancs, cachés derrière des toiles d'araignées aussi vieilles que la maison (les araignées sont parties depuis longtemps). Et sous les meubles et les escaliers, elle a un tas de choses qui bougent.
Tiene escaleras blancas escondidas detrás de unas telarañas tan viejas como la casa (las arañas se fueron hace mucho). Y debajo de los muebles y de las escaleras, tiene un montón de cosas moviéndose.
Elle a des escaliers blancs, [pas besoin de la virgule] cachés derrière des toiles d'araignées aussi vieilles que la maison (les araignées sont parties depuis longtemps). Et sous les meubles et les escaliers, elle a un tas de choses qui bougent.
Tiene escaleras blancas escondidas detrás de unas telarañas tan viejas como la casa (las arañas se fueron hace mucho). Y debajo de los muebles y de las escaleras, tiene un montón de cosas moviéndose.
Elle a des escaliers blancs cachés derrière des toiles d'araignées aussi vieilles que la maison (les araignées sont parties depuis longtemps). Et sous les meubles et les escaliers, elle a un tas de choses qui bougent.
Tiene escaleras blancas escondidas detrás de unas telarañas tan viejas como la casa (las arañas se fueron hace mucho). Y debajo de los muebles y de las escaleras, tiene un montón de cosas moviéndose.
Elle a des escaliers blancs cachés derrière des toiles d'araignées aussi vieilles que la maison (les araignées sont parties depuis longtemps). Et sous les meubles et les escaliers, elle a un tas de choses qui bougent.
Tiene escaleras blancas escondidas detrás de unas telarañas tan viejas como la casa (las arañas se fueron hace mucho). Y debajo de los muebles y de las escaleras, tiene un montón de cosas moviéndose.
Elle a des escaliers blancs cachés derrière des toiles d'araignées aussi vieilles que la maison (les araignées sont parties depuis longtemps). Et sous les meubles et les escaliers, elle a un tas de choses qui bougent.
OK.
Elena ?
Elle a des escaliers blancs cachés derrière des toiles d'araignées aussi vieilles que la maison (les araignées sont parties depuis longtemps). Et sous les meubles et les escaliers, elle a un tas de choses qui bougent.
OK.
Elle a des escaliers blancs cachés derrière des toiles d'araignées aussi vieilles que la maison (les araignées sont parties depuis longtemps). Et sous les meubles et les escaliers, elle a un tas de choses qui bougent.
OK.
VPC.
“Explicame otra vez qué impulsa a las cosas”, pide mamá. “Las mueve el viento que entra por los fragmentos de puerta y de ventana y de techo que no están”, le contesto, pero es mentira y a mí me parece que mamá se ha dado cuenta, por eso pregunta a cada rato. Las cosas se mueven porque les gusta chocarse, terminar hechas pedazos.
« Réexplique-moi ce qui pousse les choses », demande maman. « Elles bougent sous le vent s'infiltrant par les passages laissés par les portes, les fenêtres et le toit qui ne sont plus là », lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte, voilà pourquoi elle repose sans cesse la question. Si les choses bougent, c'est parce qu'elles aiment se heurter, finir en morceaux.
“Explicame otra vez qué impulsa a las cosas”, pide mamá. “Las mueve el viento que entra por los fragmentos de puerta y de ventana y de techo que no están”, le contesto, pero es mentira y a mí me parece que mamá se ha dado cuenta, por eso pregunta a cada rato. Las cosas se mueven porque les gusta chocarse, terminar hechas pedazos.
« Réexplique-moi ce qui pousse les choses [pas très clair, par rapport à la V.O.] », demande maman. « Elles bougent [passe par mues]
sous le vent s'infiltrant par les passages laissés par les portes, les fenêtres et le toit qui ne sont plus là », lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte, voilà pourquoi elle repose sans cesse la question. Si les choses bougent, c'est parce qu'elles aiment se heurter, finir en morceaux.
“Explicame otra vez qué impulsa a las cosas”, pide mamá. “Las mueve el viento que entra por los fragmentos de puerta y de ventana y de techo que no están”, le contesto, pero es mentira y a mí me parece que mamá se ha dado cuenta, por eso pregunta a cada rato. Las cosas se mueven porque les gusta chocarse, terminar hechas pedazos.
« Réexplique-moi ce qui fait bouger les choses», demande maman. « Elles sont mues [dans ce cas il faudra modifier le titre, c'était « Las mueve el viento », qu'on avait traduit par « Elles bougent sous le vent] par le vent s'infiltrant dans les passages laissés par les portes, les fenêtres et le toit qui ne sont plus là », lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte, voilà pourquoi elle repose sans cesse la question. Si les choses bougent, c'est parce qu'elles aiment se heurter, finir en morceaux.
“Explicame otra vez qué impulsa a las cosas”, pide mamá. “Las mueve el viento que entra por los fragmentos de puerta y de ventana y de techo que no están”, le contesto, pero es mentira y a mí me parece que mamá se ha dado cuenta, por eso pregunta a cada rato. Las cosas se mueven porque les gusta chocarse, terminar hechas pedazos.
« Réexplique-moi ce qui fait bouger les choses », demande maman. « Elles sont mues [dans ce cas il faudra modifier le titre, c'était « Las mueve el viento » [OK… du coup, quand on en sera à valider cette section, tu remettras tout depuis le début… je changerai le bloc dans le post]] par le vent s'infiltrant dans les passages laissés par les portes [tu réécris],
les fenêtres et le toit qui ne sont plus là », lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte, voilà pourquoi elle repose sans cesse la question. Si les choses bougent, c'est parce qu'elles aiment se heurter, finir en morceaux.
“Explicame otra vez qué impulsa a las cosas”, pide mamá. “Las mueve el viento que entra por los fragmentos de puerta y de ventana y de techo que no están”, le contesto, pero es mentira y a mí me parece que mamá se ha dado cuenta, por eso pregunta a cada rato. Las cosas se mueven porque les gusta chocarse, terminar hechas pedazos.
« Réexplique-moi ce qui fait bouger les choses», demande maman. « Elles sont mues par le vent qui entre par les morceaux de portes, de fenêtres et de toit manquants», lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte, voilà pourquoi elle repose sans cesse la question. Si les choses bougent, c'est parce qu'elles aiment se heurter, finir en morceaux.
“Explicame otra vez qué impulsa a las cosas”, pide mamá. “Las mueve el viento que entra por los fragmentos de puerta y de ventana y de techo que no están”, le contesto, pero es mentira y a mí me parece que mamá se ha dado cuenta, por eso pregunta a cada rato. Las cosas se mueven porque les gusta chocarse, terminar hechas pedazos.
« Réexplique-moi ce qui fait bouger les choses[espace / je l'avais déjà rétablis la fois précédente]», demande maman. « Elles sont mues par le vent qui entre par les morceaux de portes, de fenêtres et de toit manquants[espace]», lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte, voilà pourquoi [« que c'est pour ça qu' »] elle repose sans cesse la question. Si les choses bougent, c'est parce qu'elles aiment se heurter [ou avec « cogner » ?] [du coup, tu commenceras par : les choses bougent parce que…………], finir en morceaux.
“Explicame otra vez qué impulsa a las cosas”, pide mamá. “Las mueve el viento que entra por los fragmentos de puerta y de ventana y de techo que no están”, le contesto, pero es mentira y a mí me parece que mamá se ha dado cuenta, por eso pregunta a cada rato. Las cosas se mueven porque les gusta chocarse, terminar hechas pedazos.
« Réexplique-moi ce qui fait bouger les choses », demande maman. « Elles sont mues par le vent qui entre par les morceaux de portes, de fenêtres et de toit manquants », lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte et que c'est pour ça qu'elle repose sans cesse la question. Les choses bougent parce qu'elles aiment se cogner, finir en morceaux.
“Explicame otra vez qué impulsa a las cosas”, pide mamá. “Las mueve el viento que entra por los fragmentos de puerta y de ventana y de techo que no están”, le contesto, pero es mentira y a mí me parece que mamá se ha dado cuenta, por eso pregunta a cada rato. Las cosas se mueven porque les gusta chocarse, terminar hechas pedazos.
« Réexplique-moi ce qui fait bouger les choses », demande maman. « Elles sont mues par le vent qui entre par les morceaux de portes, de fenêtres et de toit manquants », lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte, que c'est pour ça qu'elle repose sans cesse la question. Les choses bougent parce qu'elles aiment se cogner, finir en morceaux.
OK, mais la répétition de « morceaux » m'ennuie.
“Explicame otra vez qué impulsa a las cosas”, pide mamá. “Las mueve el viento que entra por los fragmentos de puerta y de ventana y de techo que no están”, le contesto, pero es mentira y a mí me parece que mamá se ha dado cuenta, por eso pregunta a cada rato. Las cosas se mueven porque les gusta chocarse, terminar hechas pedazos.
« Réexplique-moi ce qui fait bouger les choses », demande maman. « Elles sont mues par le vent qui entre par les morceaux de portes, de fenêtres et de toit manquants », lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte et que c'est pour ça qu'elle repose sans cesse la question. Les choses bougent parce qu'elles aiment se cogner, finir en débris.
Option 2 :
“Explicame otra vez qué impulsa a las cosas”, pide mamá. “Las mueve el viento que entra por los fragmentos de puerta y de ventana y de techo que no están”, le contesto, pero es mentira y a mí me parece que mamá se ha dado cuenta, por eso pregunta a cada rato. Las cosas se mueven porque les gusta chocarse, terminar hechas pedazos.
« Réexplique-moi ce qui fait bouger les choses », demande maman. « Elles sont mues par le vent qui entre par les fragments de portes, de fenêtres et de toit manquants », lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte et que c'est pour ça qu'elle repose sans cesse la question. Les choses bougent parce qu'elles aiment se cogner, finir en morceaux.
"Explicame otra vez qué impulsa a las cosas”, pide mamá. “Las mueve el viento que entra por los fragmentos de puerta y de ventana y de techo que no están”, le contesto, pero es mentira y a mí me parece que mamá se ha dado cuenta, por eso pregunta a cada rato. Las cosas se mueven porque les gusta chocarse, terminar hechas pedazos.
« Réexplique-moi ce qui fait bouger les choses », demande maman. « Elles sont mues par le vent qui entre par les morceaux de portes, de fenêtres et de toit manquants », lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte, que c'est pour ça qu'elle repose sans cesse la question. Les choses bougent parce qu'elles aiment se cogner, finir en miettes.
"Explicame otra vez qué impulsa a las cosas”, pide mamá. “Las mueve el viento que entra por los fragmentos de puerta y de ventana y de techo que no están”, le contesto, pero es mentira y a mí me parece que mamá se ha dado cuenta, por eso pregunta a cada rato. Las cosas se mueven porque les gusta chocarse, terminar hechas pedazos.
« Réexplique-moi ce qui fait bouger les choses », demande maman. « Elles sont mues par le vent qui entre par les morceaux de portes, de fenêtres et de toit manquants », lui réponds-je, mais, c'est un mensonge et j'ai l’impression que maman s'en est rendu compte, que c'est pour ça qu'elle repose sans cesse la question. Les choses bougent parce qu'elles aiment se cogner, finir en miettes.
OK.
VPC.
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