Cosas familiares
Los Hombres Invisibles tenían mucho territorio para elegir; sin embargo, escogieron un pozo, y en el fondo de ese pozo abrieron calles, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio. En la ciudad de los Hombres Invisibles los ruidos chocaban contra las paredes, agigantándose, y las alimañas corrían en círculo siguiendo el rastro viscoso que otra había dejado luego de picar, o morder, rabiosa, porque no encontraba la salida, y en los días de calor, un viento ardiente confundía el sabor de los alimentos y desdibujaba el contorno de los objetos volviendo extrañas las cosas familiares. Durante una siesta de verano, la ciudad entera pareció extraña, y por extraña, enemiga. Los Hombres Invisibles la atacaron. El hombre descubre asombrado que en la base de la barranca, entre las copas de los árboles, se divisan algunas ruinas. Intenta fotografiarlas pero pisa mal y desde el borde donde se encuentra cae rodando hacia el fondo. Algo le impide volver a incorporarse, de modo que se arrastra hasta apoyar la espalda contra el tronco de una cina-cina. Cree que está solo, grita de dolor. Los Hombres Invisibles lo miran con furia: odian los ruidos. Y desde hace mucho tiempo eligieron olvidar: ya nadie recuerda la Universidad, ni las fábricas, ni aquel ritmo, ni el motivo del odio. Sólo el hambre los mantiene unidos. Para resolverlo, organizan interminables partidas de caza girando alrededor del único territorio que conocen. El jefe de la partida calcula que ese ser ruidoso que tiene enfrente es buena presa, ha de valer por cuarenta ratas gordas.
Traduction temporaire :
Choses familières
Les Hommes Invisibles disposaient d'un vaste territoire pour choisir ; pourtant, ils optèrent pour un puits, et, au fond de ce puits, ils percèrent des rues, et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent la ville fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études. Une ville au travail frénétique, dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme. Dans la ville des Hommes Invisibles, les bruits cognaient contre les murs, prenaient des proportions énormes, et les bêtes nuisibles couraient en cercle, suivant la trace visqueuse qu'une autre avait laissée après avoir piqué ou mordu, enragée, parce qu'elle ne trouvait pas la sortie, et les jours de chaleur, un vent brûlant fusionnait le goût des aliments et effaçait le contour des objets, rendant étrangères les choses familières. Lors d'une sieste estivale, la ville entière sembla étrangère et parce qu'étrangère, ennemie. Les Hommes invisibles l'attaquèrent. Étonné, l'homme découvre qu'au bord du précipice, on aperçoit quelques ruines entre les cimes des arbres. Il essaie de les prendre en photo, mais fait un faux-pas, et de là où il se tient, tombe et roule vers le fond. Quelque chose l'empêchant de se redresser, il se traîne jusqu'à appuyer son dos contre le tronc d'un margousier. Il croit être seul, il hurle de douleur. Les Hommes Invisibles lui lancent un regard furieux : ils détestent les bruits. D'ailleurs, il y a longtemps, ils choisirent d'oublier : personne ne se souvient plus de l'Université, ni des usines, ni de ce rythme-là, ni de la raison de leur haine. Seule la faim leur permet de rester unis. Pour résoudre le problème, ils organisent d'interminables parties de chasse où ils tournent autour du seul territoire qu'ils connaissent. Leur chef juge que l'être bruyant en face de lui est une bonne proie, qu'il doit valoir environ quarante gros rats.
Choses familières
Les Hommes Invisibles disposaient d'un vaste territoire pour choisir ; pourtant, ils optèrent pour un puits, et, au fond de ce puits, ils percèrent des rues, et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent la ville fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études. Une ville au travail frénétique, dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme. Dans la ville des Hommes Invisibles, les bruits cognaient contre les murs, prenaient des proportions énormes, et les bêtes nuisibles couraient en cercle, suivant la trace visqueuse qu'une autre avait laissée après avoir piqué ou mordu, enragée, parce qu'elle ne trouvait pas la sortie, et les jours de chaleur, un vent brûlant fusionnait le goût des aliments et effaçait le contour des objets, rendant étrangères les choses familières. Lors d'une sieste estivale, la ville entière sembla étrangère et parce qu'étrangère, ennemie. Les Hommes invisibles l'attaquèrent. Étonné, l'homme découvre qu'au bord du précipice, on aperçoit quelques ruines entre les cimes des arbres. Il essaie de les prendre en photo, mais fait un faux-pas, et de là où il se tient, tombe et roule vers le fond. Quelque chose l'empêchant de se redresser, il se traîne jusqu'à appuyer son dos contre le tronc d'un margousier. Il croit être seul, il hurle de douleur. Les Hommes Invisibles lui lancent un regard furieux : ils détestent les bruits. D'ailleurs, il y a longtemps, ils choisirent d'oublier : personne ne se souvient plus de l'Université, ni des usines, ni de ce rythme-là, ni de la raison de leur haine. Seule la faim leur permet de rester unis. Pour résoudre le problème, ils organisent d'interminables parties de chasse où ils tournent autour du seul territoire qu'ils connaissent. Leur chef juge que l'être bruyant en face de lui est une bonne proie, qu'il doit valoir environ quarante gros rats.
82 commentaires:
Cosas familiares
Los Hombres Invisibles tenían mucho territorio para elegir; sin embargo, escogieron un pozo, y en el fondo de ese pozo abrieron calles,
Choses familières
Les Hommes Invisibles disposaient d'un vaste territoire pour choisir ; pourtant, ils optèrent pour un puits, et, au fond de ce puits, ils percèrent des rues,
Cosas familiares
Los Hombres Invisibles tenían mucho territorio para elegir; sin embargo, escogieron un pozo, y en el fondo de ese pozo abrieron calles,
Choses familières
Les Hommes Invisibles disposaient d'un vaste territoire pour choisir ; pourtant, ils optèrent pour un puits, et, au fond de ce puits, ils percèrent des rues,
OK.
Elena ? Chloé ?
Cosas familiares
Los Hombres Invisibles tenían mucho territorio para elegir; sin embargo, escogieron un pozo, y en el fondo de ese pozo abrieron calles,
Choses familières
Les Hommes Invisibles disposaient d'un vaste territoire pour choisir ; pourtant, ils optèrent pour un puits, et, au fond de ce puits, ils percèrent ["tracèrent" ?] des rues,
Choses familières
Les Hommes Invisibles disposaient d'un vaste territoire pour choisir ; pourtant, ils optèrent pour un puits, et, au fond de ce puits, ils percèrent des rues,
OK.
Elena, Justine : Mme B., c'est moi (Chloé). C'est le pseudo sous lequel je posterai mes commentaires désormais.
VPC.
Dans nos discussions en off, Elena proposait d'indiquer le nom scientifique des plantes en note. Qu'en penses-tu ?
cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad,
lorsque chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir son jacaranda, son margousier et son épine de Jérusalem, on déclara la ville fondée,
, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir, et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle réussit à devenir prospère, grâce à des maisons de hautes études et de travail frénétique, une ville dont le dynamisme poussa ses habitants à bouger à leur rythme.
Pourquoi des notes ?
Parce que ces arbres ont des variétés très différentes.
Non, mais là, des notes sont importantes pour comprendre ?
*** Pas forcément
, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle réussit à devenir prospère, grâce à sa maison de hautes études et au travail frénétique, une ville dont le dynamisme poussa ses habitants à bouger à leur rythme.
, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle réussit à devenir prospère, grâce à sa maison de hautes études et au travail frénétique, une ville dont le dynamisme poussa ses habitants à bouger à leur rythme.
, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle réussit à devenir prospère [est-ce qu'il y a vraiment la nuance de « réussir » ou est-ce juste : elle devint prospère ? À Elena de dire], grâce à sa maison de hautes études [peu clair] et au [?] travail frénétique, une ville dont le dynamisme poussa ses habitants à bouger à leur rythme [idem / manque de clarté et de fluidité].
, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle devint prospère, avec maison de hautes études et travail frénétique, une ville dont la vigueur mena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études et au travail frénétique, une ville dont la vigueur ammena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle devint prospère, avec [on ne comprend pas] maison de hautes études et travail frénétique, une ville dont la vigueur mena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études et au travail frénétique, une ville dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études et au [une maison consacré au travail frénétique ? Est-ce que dit le texte ?] travail frénétique, une ville dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études, et de travail frénétique, une ville dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
***Euh... 😥
, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études, et de [mais ça… ça va avec quoi dans ce qui précède ?] travail frénétique, une ville dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
***[mais ça… ça va avec quoi dans ce qui précède ? = J’HÉSITE..., à cause des virgules]
Option 1, avec "ville prospère" :
, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études, une ville au travail frénétique, dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
Option 2, avec "maison..." :
, y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle devint prospère, avec une maison au travail frénétique, consacrée aux hautes études, une ville dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
Je dirais avec « ville prospère » :
y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études, une ville au travail frénétique, dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent que la ville était [nécessaire ?] fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études, [point ?] une ville au travail frénétique, dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent la ville fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études. Une ville au travail frénétique, dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent la ville fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études. Une ville au travail frénétique, dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
OK.
y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent la ville fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études. Une ville au travail frénétique, dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
OK.
VPC.
Il faudrait coller, Caroline ;-)
y cuando cada calle tuvo su vereda y cada vereda sus jacarandas, sus paraísos y sus cina-cinas, declararon fundada la ciudad, la cual llegó a ser próspera, con casa de altos estudios y de trabajo frenético, una ciudad cuya pujanza llevó a sus habitantes a moverse con ritmo propio.
et, quand chaque rue eut son trottoir et chaque trottoir ses jacarandas, ses épines de Jérusalem et ses margousiers, ils déclarèrent la ville fondée ; elle devint prospère, avec une maison consacrée aux hautes études. Une ville au travail frénétique, dont la vigueur amena ses habitants à se bouger à leur propre rythme.
C'est fait, non ?
En la ciudad de los Hombres Invisibles los ruidos chocaban contra las paredes, agigantándose, y las alimañas corrían en círculo siguiendo el rastro viscoso que otra había dejado luego de picar, o morder, rabiosa, porque no encontraba la salida,
Dans la ville des Hommes Invisibles, les bruits cognaient contre les murs en s'agitant et les bêtes nuisibles courraient en cercle, suivant la trace qu'une autre avait laissée après avoir piqué ou mordu, de rage, parce qu'elle ne trouvait pas la sortie,
Oui, c'est bon !
VPC.
En la ciudad de los Hombres Invisibles los ruidos chocaban contra las paredes, agigantándose, y las alimañas corrían en círculo siguiendo el rastro viscoso que otra había dejado luego de picar, o morder, rabiosa, porque no encontraba la salida,
Dans la ville des Hommes Invisibles, les bruits cognaient contre les murs en s'agitant et les bêtes nuisibles courraient en cercle, suivant la trace qu'une autre avait laissée après avoir piqué ou mordu, de rage, parce qu'elle ne trouvait pas la sortie,
En la ciudad de los Hombres Invisibles los ruidos chocaban contra las paredes, agigantándose, y las alimañas corrían en círculo siguiendo el rastro viscoso que otra había dejado luego de picar, o morder, rabiosa, porque no encontraba la salida,
Dans la ville des Hommes Invisibles, les bruits cognaient contre les murs en s'agitant [FS / relis la V.O.] et les bêtes nuisibles courraient [ortho] en cercle, suivant la trace qu'une [?] autre avait laissée après avoir piqué ou mordu, de rage [avec l'adjectif, comme en V.O.], parce qu'elle ne trouvait pas la sortie,
En la ciudad de los Hombres Invisibles los ruidos chocaban contra las paredes, agigantándose, y las alimañas corrían en círculo siguiendo el rastro viscoso que otra había dejado luego de picar, o morder, rabiosa, porque no encontraba la salida,
Dans la ville des Hommes Invisibles, les bruits cognaient contre les murs en s'amplifiant et les bêtes nuisibles couraient en cercle, suivant la trace visqueuse que l'autre avait laissée après avoir piqué ou mordu, rageuse, parce qu'elle ne trouvait pas la sortie,
En la ciudad de los Hombres Invisibles los ruidos chocaban contra las paredes, agigantándose, y las alimañas corrían en círculo siguiendo el rastro viscoso que otra había dejado luego de picar, o morder, rabiosa, porque no encontraba la salida,
Dans la ville des Hommes Invisibles, les bruits cognaient contre les murs en s'amplifiant [plus près de la V.O. ?] et les bêtes nuisibles couraient en cercle, suivant la trace visqueuse que l'autre [laisse qu'une] avait laissée après avoir piqué ou mordu, rageuse [« enragée »], parce qu'elle ne trouvait pas la sortie,
En la ciudad de los Hombres Invisibles los ruidos chocaban contra las paredes, agigantándose, y las alimañas corrían en círculo siguiendo el rastro viscoso que otra había dejado luego de picar, o morder, rabiosa, porque no encontraba la salida,
Dans la ville des Hommes Invisibles, les bruits cognaient contre les murs en prenant des proportions énormes et les bêtes nuisibles couraient en cercle, suivant la trace visqueuse qu'une autre avait laissée après avoir piqué ou mordu, enragée, parce qu'elle ne trouvait pas la sortie,
En la ciudad de los Hombres Invisibles los ruidos chocaban contra las paredes, agigantándose, y las alimañas corrían en círculo siguiendo el rastro viscoso que otra había dejado luego de picar, o morder, rabiosa, porque no encontraba la salida,
Dans la ville des Hommes Invisibles, les bruits cognaient contre les murs, prenaient des proportions énormes, et les bêtes nuisibles couraient en cercle, suivant la trace visqueuse qu'une autre avait laissée après avoir piqué ou mordu, enragée, parce qu'elle ne trouvait pas la sortie,
Avec une ou deux modifs, OK.
Elena ?
Dans la ville des Hommes Invisibles, les bruits cognaient contre les murs, prenaient des proportions énormes, et les bêtes nuisibles couraient en cercle, suivant la trace visqueuse qu'une autre avait laissée après avoir piqué ou mordu, enragée, parce qu'elle ne trouvait pas la sortie,
OK.
VPC.
y en los días de calor, un viento ardiente confundía el sabor de los alimentos y desdibujaba el contorno de los objetos volviendo extrañas las cosas familiares. Durante una siesta de verano, la ciudad entera pareció extraña, y por extraña, enemiga. Los Hombres Invisibles la atacaron.
et les jours de chaleur, un vent ardent confondait le goût des aliments et rendait le contour des objets flou, à tel point que les choses familières devenaient étrangères. Lors d'une sieste estivale, la ville entière sembla étrangère, et parce qu'étrangère, ennemie. Les Hommes Invisibles l'attaquèrent.
y en los días de calor, un viento ardiente confundía el sabor de los alimentos y desdibujaba el contorno de los objetos volviendo extrañas las cosas familiares.
et les jours de chaleur, un vent ardent [FS] confondait [assez clair ?] le goût des aliments et rendait le contour des objets flou [pas un verbe ?], à tel point que [ajout nécessaire ? Pas dans la réécriture ?] les choses familières devenaient étrangères.
y en los días de calor, un viento ardiente confundía el sabor de los alimentos y desdibujaba el contorno de los objetos volviendo extrañas las cosas familiares.
et les jours de chaleur, un vent brûlant fusionnait le goût des aliments et floutait le contour des objets, rendant étrangères les choses familières.
y en los días de calor, un viento ardiente confundía el sabor de los alimentos y desdibujaba el contorno de los objetos volviendo extrañas las cosas familiares.
et les jours de chaleur, un vent brûlant fusionnait le goût des aliments et floutait [« effaçait » ?] le contour des objets, rendant étrangères les choses familières.
y en los días de calor, un viento ardiente confundía el sabor de los alimentos y desdibujaba el contorno de los objetos volviendo extrañas las cosas familiares.
et les jours de chaleur, un vent brûlant fusionnait le goût des aliments et effaçait le contour des objets, rendant étrangères les choses familières.
y en los días de calor, un viento ardiente confundía el sabor de los alimentos y desdibujaba el contorno de los objetos volviendo extrañas las cosas familiares.
et les jours de chaleur, un vent brûlant fusionnait le goût des aliments et effaçait le contour des objets, rendant étrangères les choses familières.
OK.
Elena ?
et les jours de chaleur, un vent brûlant fusionnait le goût des aliments et effaçait le contour des objets, rendant étrangères les choses familières.
OK.
et les jours de chaleur, un vent brûlant fusionnait le goût des aliments et effaçait le contour des objets, rendant étrangères les choses familières.
OK.
VPC.
Durante una siesta de verano, la ciudad entera pareció extraña, y por extraña, enemiga. Los Hombres Invisibles la atacaron.
Lors d'une sieste estivale, la ville entière sembla étrangère et, parce qu'étrangère, ennemie. Les Hommes Invisibles l'attaquèrent.
Durante una siesta de verano, la ciudad entera pareció extraña, y por extraña, enemiga. Los Hombres Invisibles la atacaron.
Lors d'une sieste estivale, la ville entière sembla étrangère et, parce qu'étrangère, ennemie. Les Hommes Invisibles l'attaquèrent.
OK.
Elena ?
Lors d'une sieste estivale, la ville entière sembla étrangère et, parce qu'étrangère, ennemie. Les Hommes Invisibles l'attaquèrent.
OK.
VPC.
El hombre descubre asombrado que en la base de la barranca, entre las copas de los árboles, se divisan algunas ruinas. Intenta fotografiarlas pero pisa mal y desde el borde donde se encuentra cae rodando hacia el fondo.
L'homme découvre étonné que sur le penchant du précipice, entre les cimes des arbres, on aperçoit quelques ruines, il essaie de les prendre en photo, mais il fait un faux-pas, et du bord où il se trouve, il tombe en roulant vers le fond.
El hombre descubre asombrado que en la base de la barranca, entre las copas de los árboles, se divisan algunas ruinas. Intenta fotografiarlas pero pisa mal y desde el borde donde se encuentra cae rodando hacia el fondo.
L'homme découvre étonné [« avec étonnement » ?] que sur le penchant [?] du précipice, entre les cimes des arbres, on aperçoit quelques ruines [je m'interroge sur la syntaxe],
il essaie de les prendre en photo, mais il fait un faux-pas, et du bord où il se trouve, il tombe en roulant vers le fond.
El hombre descubre asombrado que en la base de la barranca, entre las copas de los árboles, se divisan algunas ruinas. Intenta fotografiarlas pero pisa mal y desde el borde donde se encuentra cae rodando hacia el fondo.
L'homme découvre avec étonnement que sur le penchant [? / c'était pour éviter la répétition de « bord »] du précipice,qu'on aperçoit quelques ruines entre les cimes des arbres, il essaie de les prendre en photo, mais il fait un faux-pas, et du bord où il se trouve, il tombe en roulant vers le fond.
El hombre descubre asombrado que en la base de la barranca, entre las copas de los árboles, se divisan algunas ruinas. Intenta fotografiarlas pero pisa mal y desde el borde donde se encuentra cae rodando hacia el fondo.
L'homme découvre avec étonnement que sur le penchant [? / c'était pour éviter la répétition de « bord » /// dans ce cas : ok pour « étonné », mais mets-le au début de la phrase] du précipice,[espace]qu'on aperçoit quelques ruines entre les cimes des arbres, il essaie de les prendre en photo, mais il [nécessaire ?] fait un faux-pas, et du bord où il se trouve [« tient » ?], il tombe en roulant [juste : « il roule »] vers le fond.
El hombre descubre asombrado que en la base de la barranca, entre las copas de los árboles, se divisan algunas ruinas. Intenta fotografiarlas pero pisa mal y desde el borde donde se encuentra cae rodando hacia el fondo.
Étonné, l'homme découvre que sur le penchant du précipice, on aperçoit quelques ruines entre les cimes des arbres, il essaie de les prendre en photo, mais fait un faux-pas, et du bord où il se tient, tombe et roule vers le fond.
El hombre descubre asombrado que en la base de la barranca, entre las copas de los árboles, se divisan algunas ruinas. Intenta fotografiarlas pero pisa mal y desde el borde donde se encuentra cae rodando hacia el fondo.
Étonné, l'homme découvre que sur le penchant du précipice, on aperçoit quelques ruines entre les cimes des arbres, il essaie de les prendre en photo, mais fait un faux-pas, et du bord où il se tient, tombe et roule vers le fond.
El hombre descubre asombrado que en la base de la barranca, entre las copas de los árboles, se divisan algunas ruinas. Intenta fotografiarlas pero pisa mal y desde el borde donde se encuentra cae rodando hacia el fondo.
Étonné, l'homme découvre que sur le penchant [« bord »] du précipice, on aperçoit quelques ruines entre les cimes des arbres, [point] il essaie de les prendre en photo, mais fait un faux-pas, et du bord [« de là »] où il se tient, tombe et roule vers le fond.
El hombre descubre asombrado que en la base de la barranca, entre las copas de los árboles, se divisan algunas ruinas. Intenta fotografiarlas pero pisa mal y desde el borde donde se encuentra cae rodando hacia el fondo.
Étonné, l'homme découvre qu'au bord du précipice, on aperçoit quelques ruines entre les cimes des arbres. Il essaie de les prendre en photo, mais fait un faux-pas, et de là où il se tient, tombe et roule vers le fond.
El hombre descubre asombrado que en la base de la barranca, entre las copas de los árboles, se divisan algunas ruinas. Intenta fotografiarlas pero pisa mal y desde el borde donde se encuentra cae rodando hacia el fondo.
Étonné, l'homme découvre qu'au bord du précipice, on aperçoit quelques ruines entre les cimes des arbres. Il essaie de les prendre en photo, mais fait un faux-pas, et de là où il se tient, tombe et roule vers le fond.
OK.
Elena ?
Étonné, l'homme découvre qu'au bord du précipice, on aperçoit quelques ruines entre les cimes des arbres. Il essaie de les prendre en photo, mais fait un faux-pas, et de là où il se tient, tombe et roule vers le fond.
OK.
Elena a dit...
Étonné, l'homme découvre qu'au bord du précipice, on aperçoit quelques ruines entre les cimes des arbres. Il essaie de les prendre en photo, mais fait un faux-pas, et de là où il se tient, tombe et roule vers le fond.
OK.
VPC.
Algo le impide volver a incorporarse, de modo que se arrastra hasta apoyar la espalda contra el tronco de una cina-cina. Cree que está solo, grita de dolor. Los Hombres Invisibles lo miran con furia: odian los ruidos.
Quelque chose l'empêchant de se redresser, il se traîne jusqu'à appuyer son dos contre le tronc d'un margousier. Il croit être seul, il hurle de douleur. Les Hommes Invisibles lui lancent un regard furieux : ils détestent les bruits.
Algo le impide volver a incorporarse, de modo que se arrastra hasta apoyar la espalda contra el tronco de una cina-cina. Cree que está solo, grita de dolor. Los Hombres Invisibles lo miran con furia: odian los ruidos.
Quelque chose l'empêchant de se redresser, il se traîne jusqu'à appuyer son dos contre le tronc d'un margousier. Il croit être seul, il hurle de douleur. Les Hommes Invisibles lui lancent un regard furieux : ils détestent les bruits.
OK.
Elena ?
Quelque chose l'empêchant de se redresser, il se traîne jusqu'à appuyer son dos contre le tronc d'un margousier. Il croit être seul, il hurle de douleur. Les Hommes Invisibles lui lancent un regard furieux : ils détestent les bruits.
OK.
VPC.
Y desde hace mucho tiempo eligieron olvidar: ya nadie recuerda la Universidad, ni las fábricas, ni aquel ritmo, ni el motivo del odio. Sólo el hambre los mantiene unidos.
D'ailleurs, il y a longtemps, ils choisirent d'oublier : personne ne se souvient plus de l'Université, ni des usines, ni de ce rythme-là, ni du motif de leur haine. Il ne sont unis que dans la faim.
Y desde hace mucho tiempo eligieron olvidar: ya nadie recuerda la Universidad, ni las fábricas, ni aquel ritmo, ni el motivo del odio. Sólo el hambre los mantiene unidos.
D'ailleurs, il y a longtemps, ils choisirent d'oublier : personne ne se souvient plus de l'Université, ni des usines, ni de ce rythme-là, ni du motif [ou avec « raison » ? J'hésite] de leur haine. Il ne sont [tu n'as pas l'idée contenue dans « mantiene »] unis que dans la faim.
Y desde hace mucho tiempo eligieron olvidar: ya nadie recuerda la Universidad, ni las fábricas, ni aquel ritmo, ni el motivo del odio. Sólo el hambre los mantiene unidos.
D'ailleurs, il y a longtemps, ils choisirent d'oublier : personne ne se souvient plus de l'Université, ni des usines, ni de ce rythme-là, ni de la raison de leur haine. Ils ne restent unis que dans la faim.
Y desde hace mucho tiempo eligieron olvidar: ya nadie recuerda la Universidad, ni las fábricas, ni aquel ritmo, ni el motivo del odio. Sólo el hambre los mantiene unidos.
D'ailleurs, il y a longtemps, ils choisirent d'oublier : personne ne se souvient plus de l'Université, ni des usines, ni de ce rythme-là, ni de la raison de leur haine. Ils ne restent unis que dans la faim [je me demande si on traduit exactement la même chose. Elena, ton avis ?].
Y desde hace mucho tiempo eligieron olvidar: ya nadie recuerda la Universidad, ni las fábricas, ni aquel ritmo, ni el motivo del odio. Sólo el hambre los mantiene unidos.
D'ailleurs, il y a longtemps, ils choisirent d'oublier : personne ne se souvient plus de l'Université, ni des usines, ni de ce rythme-là, ni de la raison de leur haine. Uniquement la faim les maintient unis.
Y desde hace mucho tiempo eligieron olvidar: ya nadie recuerda la Universidad, ni las fábricas, ni aquel ritmo, ni el motivo del odio. Sólo el hambre los mantiene unidos.
D'ailleurs, il y a longtemps, ils choisirent d'oublier : personne ne se souvient plus de l'Université, ni des usines, ni de ce rythme-là, ni de la raison de leur haine. Uniquement [charabia :-) / « Seule »] la faim les maintient [sans doute mieux avec « garde » ou mieux : « leur permet de rester »] unis.
Y desde hace mucho tiempo eligieron olvidar: ya nadie recuerda la Universidad, ni las fábricas, ni aquel ritmo, ni el motivo del odio. Sólo el hambre los mantiene unidos.
D'ailleurs, il y a longtemps, ils choisirent d'oublier : personne ne se souvient plus de l'Université, ni des usines, ni de ce rythme-là, ni de la raison de leur haine. Seule la faim leur permet de rester unis.
Y desde hace mucho tiempo eligieron olvidar: ya nadie recuerda la Universidad, ni las fábricas, ni aquel ritmo, ni el motivo del odio. Sólo el hambre los mantiene unidos.
D'ailleurs, il y a longtemps, ils choisirent d'oublier : personne ne se souvient plus de l'Université, ni des usines, ni de ce rythme-là, ni de la raison de leur haine. Seule la faim leur permet de rester unis.
OK.
VPC.
Para resolverlo, organizan interminables partidas de caza girando alrededor del único territorio que conocen. El jefe de la partida calcula que ese ser ruidoso que tiene enfrente es buena presa, ha de valer por cuarenta ratas gordas.
Pour résoudre le problème, ils organisent d'interminables parties de chasse où ils tournent autour du seul territoire qu'ils connaissent. Leur chef de groupe estime que l'être bruyant qui lui fait face est une bonne proie, il doit valoir environ quarante gros rats.
Para resolverlo, organizan interminables partidas de caza girando alrededor del único territorio que conocen. El jefe de la partida calcula que ese ser ruidoso que tiene enfrente es buena presa, ha de valer por cuarenta ratas gordas.
Pour résoudre le problème, ils organisent d'interminables parties de chasse où ils tournent autour du seul territoire qu'ils connaissent. Leur chef de groupe [nécessaire ?] estime [« juge » ? Comme tu veux] que l'être bruyant qui lui fait face [« en face de lui » ?] est une bonne proie, [« qu' » ?] il doit valoir environ quarante gros rats.
Para resolverlo, organizan interminables partidas de caza girando alrededor del único territorio que conocen. El jefe de la partida calcula que ese ser ruidoso que tiene enfrente es buena presa, ha de valer por cuarenta ratas gordas.
Pour résoudre le problème, ils organisent d'interminables parties de chasse où ils tournent autour du seul territoire qu'ils connaissent. Leur chef juge que l'être bruyant en face de lui est une bonne proie, qu'il doit valoir environ quarante gros rats.
Para resolverlo, organizan interminables partidas de caza girando alrededor del único territorio que conocen. El jefe de la partida calcula que ese ser ruidoso que tiene enfrente es buena presa, ha de valer por cuarenta ratas gordas.
Pour résoudre le problème, ils organisent d'interminables parties de chasse où ils tournent autour du seul territoire qu'ils connaissent. Leur chef juge que l'être bruyant en face de lui est une bonne proie, qu'il doit valoir environ quarante gros rats.
OK.
Elena ?
Pour résoudre le problème, ils organisent d'interminables parties de chasse où ils tournent autour du seul territoire qu'ils connaissent. Leur chef juge que l'être bruyant en face de lui est une bonne proie, qu'il doit valoir environ quarante gros rats.
OK.
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