lundi 20 novembre 2017

Projet Justine / Elena – texte 151

Cáncer
—Despertate que me voy a morir —te dije aquella mañana de domingo. Los chicos estaban en el club.
—¿Qué?
—No ahora, ni esta tarde, pero de esto me muero. Nos sentamos en la cocina, yo lloraba, el dolor en los intestinos era insoportable, vos comenzaste a hablar.  Ahora aquel momento me recuerda a unas líneas del Señor de los Anillos, cuando Gandalf advierte a los compañeros: “el poder de un mago está en su voz”  Conversando acerca de cosas sin importancia, acerca de nada, me encantaste. Tu sortilegio detuvo tanto la diarrea, que ya me había hecho perder varios kilos en esas últimas semanas, como los horribles espasmos. Detuvo el miedo. Recuerdo la ternura y serenidad de tu tono, que no varió en las casi cuatro horas que tardaron los chicos en regresar a comer. El almuerzo fue preparado y la vida siguió su curso. Durante ciertos días me sentí mejor, otros no tanto, hasta que alguno de los muchos médicos que consulté dio en recetarme la pastilla que puso fin a un problema que resultó menor. Ocho años después, un cáncer de colon te mataba. Nunca me despertaste asustado, mucho menos llorando. Quizá alguna vez haga acopio de valor y te escriba sobre eso.

Traduction temporaire :

Cancer

— Réveille-toi, je vais mourir, t'ai-je dit ce dimanche matin-là. Les enfants étaient au club.
— Quoi ?
— Pas maintenant, ni cette après-midi, mais à coup sûr, j'en mourrai. Nous nous sommes assis dans la cuisine. Moi, je pleurais, mes douleurs intestinales étaient insupportables. Toi, tu t'es mis à parler. Aujourd'hui, ce moment précis me rappelle un passage du Seigneur des Anneaux, quand Gandalf prévient ses compagnons : « le pouvoir d'un magicien réside dans sa voix. » En discutant de choses sans importance, de riens, tu m'as jeté un sort. Ton sortilège a stoppé aussi bien la diarrhée, qui m'avait déjà fait perdre plusieurs kilos ces dernières semaines, que les horribles spasmes. Il a stoppé la peur. Je me souviens de la tendresse et de la sérénité de ta voix qui ne changea pas durant les presque quatre heures où on a attendu les enfants pour manger. Le déjeuner a été préparé et la vie a suivi son cours. Certains jours, je me suis sentie mieux. D'autres, pas tant que ça. Jusqu'à ce que l'un des nombreux médecins que j'ai consultés me prescrive les comprimés qui ont mis fin à un problème s'avérant moins grave. Huit ans plus tard, un cancer du colon te tuait. Tu ne m'as jamais réveillé parce que tu avais peur, encore moins parce que tu pleurais. Peut-être qu'un jour, je m'armerai de courage et t'écrirai à ce sujet.

40 commentaires:

Justine a dit…

Cáncer

—Despertate que me voy a morir —te dije aquella mañana de domingo. Los chicos estaban en el club. —¿Qué? —No ahora, ni esta tarde, pero de esto me muero.

Cancer

— Réveille-toi, je vais mourir, t'ai-je dit ce dimanche matin-là.
Les enfants étaient au club.
— Quoi ?
— Pas maintenant, ni cette après-midi, mais j'en mourrai.

Elena a dit…

Cancer

— Réveille-toi, je vais mourir, t'ai-je dit ce dimanche matin-là. Les enfants étaient au club.
— Quoi ?
— Pas maintenant, ni cette après-midi, mais j'en mourrai.

OK.

Tradabordo a dit…

Cancer

— Réveille-toi, je vais mourir, t'ai-je dit ce dimanche matin-là. Les enfants étaient au club.
— Quoi ?
— Pas maintenant, ni cette après-midi, mais j'en mourrai.

OK.

Chloé ?

Mme B. a dit…

Cáncer
— Despertate que me voy a morir —te dije aquella mañana de domingo. Los chicos estaban en el club. —¿Qué? —No ahora, ni esta tarde, pero de esto me muero.

Cancer

— Réveille-toi, je vais mourir, t'ai-je dit ce dimanche matin-là.
Les enfants étaient au club.
— Quoi ?
— Pas maintenant, ni cette après-midi, mais j'en mourrai [Ne devrait-on pas mettre du présent ici ? "J'en meurs"].

Elena a dit…

Cáncer
— Despertate que me voy a morir —te dije aquella mañana de domingo. Los chicos estaban en el club. —¿Qué? —No ahora, ni esta tarde, pero de esto me muero.

Cancer

— Réveille-toi, je vais mourir, t'ai-je dit ce dimanche matin-là.
Les enfants étaient au club.
— Quoi ?
— Pas maintenant, ni cette après-midi, mais j'en mourrai [Ne devrait-on pas mettre du présent ici ? "J'en meurs" // Je ne pense pas, on a les marqueurs de temps, peut-être ajouter une cheville : "à coup sûr" ?].

Tradabordo a dit…

Cáncer
— Despertate que me voy a morir —te dije aquella mañana de domingo. Los chicos estaban en el club. —¿Qué? —No ahora, ni esta tarde, pero de esto me muero.

Cancer

— Réveille-toi, je vais mourir, t'ai-je dit ce dimanche matin-là.
Les enfants étaient au club.
— Quoi ?
— Pas maintenant, ni cette après-midi, mais j'en mourrai [Ne devrait-on pas mettre du présent ici ? "J'en meurs" // Je ne pense pas, on a les marqueurs de temps, peut-être ajouter une cheville : "à coup sûr" ? OK… placé avant le verbe].

Elena a dit…

Cáncer
— Despertate que me voy a morir —te dije aquella mañana de domingo. Los chicos estaban en el club. —¿Qué? —No ahora, ni esta tarde, pero de esto me muero.

Cancer

— Réveille-toi, je vais mourir, t'ai-je dit ce dimanche matin-là.
Les enfants étaient au club.
— Quoi ?
— Pas maintenant, ni cette après-midi, mais à coup sûr, j'en mourrai.

Tradabordo a dit…

Cáncer
— Despertate que me voy a morir —te dije aquella mañana de domingo. Los chicos estaban en el club. —¿Qué? —No ahora, ni esta tarde, pero de esto me muero.

Cancer

— Réveille-toi, je vais mourir, t'ai-je dit ce dimanche matin-là.
Les enfants étaient au club.
— Quoi ?
— Pas maintenant, ni cette après-midi, mais à coup sûr, j'en mourrai.

OK.

Chloé ? Justine ?

Mme B. a dit…

Cancer

— Réveille-toi, je vais mourir, t'ai-je dit ce dimanche matin-là.
Les enfants étaient au club.
— Quoi ?
— Pas maintenant, ni cette après-midi, mais à coup sûr, j'en mourrai.

OK.

Justine a dit…

Cáncer
— Despertate que me voy a morir —te dije aquella mañana de domingo. Los chicos estaban en el club. —¿Qué? —No ahora, ni esta tarde, pero de esto me muero.

Cancer

— Réveille-toi, je vais mourir, t'ai-je dit ce dimanche matin-là.
Les enfants étaient au club.
— Quoi ?
— Pas maintenant, ni cette après-midi, mais à coup sûr, j'en mourrai.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Nos sentamos en la cocina, yo lloraba, el dolor en los intestinos era insoportable, vos comenzaste a hablar. Ahora aquel momento me recuerda a unas líneas del Señor de los Anillos, cuando Gandalf advierte a los compañeros: “el poder de un mago está en su voz”

Nous nous sommes assis dans la cuisine, moi, je pleurais, mes douleurs intestinales étaient insupportables, toi, tu t'es mis à parler. Désormais, ce moment précis me rappelle quelques lignes du Seigneur des Anneaux, quand Gandalf prévient ses compagnons : « le pouvoir d'un magicien réside dans sa voix. »

Tradabordo a dit…

Nos sentamos en la cocina, yo lloraba, el dolor en los intestinos era insoportable, vos comenzaste a hablar. Ahora aquel momento me recuerda a unas líneas del Señor de los Anillos, cuando Gandalf advierte a los compañeros: “el poder de un mago está en su voz”

Nous nous sommes assis dans la cuisine, [point ?] moi, je pleurais, mes douleurs intestinales étaient insupportables, [point ?] toi, tu t'es mis à parler. Désormais [« Aujourd'hui » ?], ce moment précis me rappelle quelques lignes [« un passage » ?] du Seigneur des Anneaux, quand Gandalf prévient ses compagnons : « le pouvoir d'un magicien réside dans sa voix. »

Justine a dit…

Nos sentamos en la cocina, yo lloraba, el dolor en los intestinos era insoportable, vos comenzaste a hablar. Ahora aquel momento me recuerda a unas líneas del Señor de los Anillos, cuando Gandalf advierte a los compañeros: “el poder de un mago está en su voz”

Nous nous sommes assis dans la cuisine. Moi, je pleurais, mes douleurs intestinales étaient insupportables. Toi, tu t'es mis à parler. Aujourd'hui, ce moment précis me rappelle un passage du Seigneur des Anneaux, quand Gandalf prévient ses compagnons : « le pouvoir d'un magicien réside dans sa voix. »

Tradabordo a dit…

Nos sentamos en la cocina, yo lloraba, el dolor en los intestinos era insoportable, vos comenzaste a hablar. Ahora aquel momento me recuerda a unas líneas del Señor de los Anillos, cuando Gandalf advierte a los compañeros: “el poder de un mago está en su voz”

Nous nous sommes assis dans la cuisine. Moi, je pleurais, mes douleurs intestinales étaient insupportables. Toi, tu t'es mis à parler. Aujourd'hui, ce moment précis me rappelle un passage du Seigneur des Anneaux, quand Gandalf prévient ses compagnons : « le pouvoir d'un magicien réside dans sa voix. »

OK.

Elena ? Chloé ?

Elena a dit…

Nous nous sommes assis dans la cuisine. Moi, je pleurais, mes douleurs intestinales étaient insupportables. Toi, tu t'es mis à parler. Aujourd'hui, ce moment précis me rappelle un passage du Seigneur des Anneaux, quand Gandalf prévient ses compagnons : « le pouvoir d'un magicien réside dans sa voix. »

OK.

Mme B. a dit…

Nous nous sommes assis dans la cuisine. Moi, je pleurais, mes douleurs intestinales étaient insupportables. Toi, tu t'es mis à parler. Aujourd'hui, ce moment précis me rappelle un passage du Seigneur des Anneaux, quand Gandalf prévient ses compagnons : « le pouvoir d'un magicien réside dans sa voix. »

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Conversando acerca de cosas sin importancia, acerca de nada, me encantaste. Tu sortilegio detuvo tanto la diarrea, que ya me había hecho perder varios kilos en esas últimas semanas, como los horribles espasmos.

En discutant de choses sans importance, de rien, tu m'as jeté un sort. Ton sortilège a aussi bien stoppé la diarrhée, qui m'avait déjà fait perdre plusieurs kilos ces dernières semaines, que les horribles spasmes.

Tradabordo a dit…

Conversando acerca de cosas sin importancia, acerca de nada, me encantaste. Tu sortilegio detuvo tanto la diarrea, que ya me había hecho perder varios kilos en esas últimas semanas, como los horribles espasmos.

En discutant de choses sans importance, de rien [au pluriel ? J'hésite… Comme vous voulez], tu m'as jeté un sort. Ton sortilège a aussi bien stoppé [syntaxe] la diarrhée, qui m'avait déjà fait perdre plusieurs kilos ces dernières semaines, que les horribles spasmes.

Justine a dit…

Conversando acerca de cosas sin importancia, acerca de nada, me encantaste. Tu sortilegio detuvo tanto la diarrea, que ya me había hecho perder varios kilos en esas últimas semanas, como los horribles espasmos.

En discutant de choses sans importance, de riens, tu m'as jeté un sort. Ton sortilège a stoppé aussi bien la diarrhée, qui m'avait déjà fait perdre plusieurs kilos ces dernières semaines, que les horribles spasmes.

Tradabordo a dit…

Conversando acerca de cosas sin importancia, acerca de nada, me encantaste. Tu sortilegio detuvo tanto la diarrea, que ya me había hecho perder varios kilos en esas últimas semanas, como los horribles espasmos.

En discutant de choses sans importance, de riens, tu m'as jeté un sort. Ton sortilège a stoppé aussi bien la diarrhée, qui m'avait déjà fait perdre plusieurs kilos ces dernières semaines, que les horribles spasmes.

OK.

Elena ? Chloé ?

Elena a dit…

En discutant de choses sans importance, de riens, tu m'as jeté un sort. Ton sortilège a stoppé aussi bien la diarrhée, qui m'avait déjà fait perdre plusieurs kilos ces dernières semaines, que les horribles spasmes.

OK.

Tradabordo a dit…

En discutant de choses sans importance, de riens, tu m'as jeté un sort. Ton sortilège a stoppé aussi bien la diarrhée, qui m'avait déjà fait perdre plusieurs kilos ces dernières semaines, que les horribles spasmes.

Chloé ?

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Detuvo el miedo. Recuerdo la ternura y serenidad de tu tono, que no varió en las casi cuatro horas que tardaron los chicos en regresar a comer. El almuerzo fue preparado y la vida siguió su curso.

Il a stoppé la peur. Je me souviens de la tendresse et de la sérénité du ton de ta voix qui ne changea pas au cours des presque quatre heures de retard des enfants pour rentrer manger. Le déjeuner a été préparé et la vie a suivi son cours.

Tradabordo a dit…

Detuvo el miedo. Recuerdo la ternura y serenidad de tu tono, que no varió en las casi cuatro horas que tardaron los chicos en regresar a comer. El almuerzo fue preparado y la vida siguió su curso.

Il a stoppé la peur. Je me souviens de la tendresse et de la sérénité du ton [nécessaire, du coup ?] de ta voix qui ne changea pas au cours des presque quatre heures de retard des enfants pour rentrer manger [manque de fluidité]. Le déjeuner a été préparé et la vie a suivi son cours.

Justine a dit…

Detuvo el miedo. Recuerdo la ternura y serenidad de tu tono, que no varió en las casi cuatro horas que tardaron los chicos en regresar a comer. El almuerzo fue preparado y la vida siguió su curso.

Il a stoppé la peur. Je me souviens de la tendresse et de la sérénité de ta voix qui ne changea pas durant les presque quatre heures où on a attendu les enfants pour manger. Le déjeuner a été préparé et la vie a suivi son cours.

Tradabordo a dit…

Detuvo el miedo. Recuerdo la ternura y serenidad de tu tono, que no varió en las casi cuatro horas que tardaron los chicos en regresar a comer. El almuerzo fue preparado y la vida siguió su curso.

Il a stoppé la peur. Je me souviens de la tendresse et de la sérénité de ta voix qui ne changea pas durant les presque quatre heures où on a attendu les enfants pour manger. Le déjeuner a été préparé et la vie a suivi son cours.

OK.

Elena ?

Elena a dit…


Il a stoppé la peur. Je me souviens de la tendresse et de la sérénité de ta voix qui ne changea pas durant les presque quatre heures où on a attendu les enfants pour manger. Le déjeuner a été préparé et la vie a suivi son cours.

OK.

Justine a dit…

Durante ciertos días me sentí mejor, otros no tanto, hasta que alguno de los muchos médicos que consulté dio en recetarme la pastilla que puso fin a un problema que resultó menor. Ocho años después, un cáncer de colon te mataba.

Certains jours, je me suis sentie mieux. D'autres, pas tant que ça, jusqu'à ce que l'un des nombreux médecins que j'ai consulté me prescrive les comprimés qui ont mis fin à un problème moins grave. Huit ans plus tard, un cancer du colon te tuait.

Tradabordo a dit…

Durante ciertos días me sentí mejor, otros no tanto, hasta que alguno de los muchos médicos que consulté dio en recetarme la pastilla que puso fin a un problema que resultó menor. Ocho años después, un cáncer de colon te mataba.

Certains jours, je me suis sentie mieux. D'autres, pas tant que ça, [point ?] jusqu'à ce que l'un des nombreux médecins que j'ai consulté [grammaire] me prescrive les comprimés qui ont mis fin à un problème [que resultó ?] moins grave. Huit ans plus tard, un cancer du colon te tuait.

Justine a dit…

Durante ciertos días me sentí mejor, otros no tanto, hasta que alguno de los muchos médicos que consulté dio en recetarme la pastilla que puso fin a un problema que resultó menor. Ocho años después, un cáncer de colon te mataba.

Certains jours, je me suis sentie mieux. D'autres, pas tant que ça. Jusqu'à ce que l'un des nombreux médecins que j'ai consultés me prescrive les comprimés qui ont mis fin à un problème s'avérant moins grave. Huit ans plus tard, un cancer du colon te tuait.

Tradabordo a dit…

Durante ciertos días me sentí mejor, otros no tanto, hasta que alguno de los muchos médicos que consulté dio en recetarme la pastilla que puso fin a un problema que resultó menor. Ocho años después, un cáncer de colon te mataba.

Certains jours, je me suis sentie mieux. D'autres, pas tant que ça. Jusqu'à ce que l'un des nombreux médecins que j'ai consultés me prescrive les comprimés qui ont mis fin à un problème s'avérant moins grave. Huit ans plus tard, un cancer du colon te tuait.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Certains jours, je me suis sentie mieux. D'autres, pas tant que ça. Jusqu'à ce que l'un des nombreux médecins que j'ai consultés me prescrive les comprimés qui ont mis fin à un problème s'avérant moins grave. Huit ans plus tard, un cancer du colon te tuait.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Nunca me despertaste asustado, mucho menos llorando. Quizá alguna vez haga acopio de valor y te escriba sobre eso.

Tu ne m'as jamais réveillé parce que tu avais peur, encore moins parce que tu pleurais. Peut-être qu'un jour, je m'armerai de courage et t'écrirai à ce sujet.

Tradabordo a dit…

Nunca me despertaste asustado, mucho menos llorando. Quizá alguna vez haga acopio de valor y te escriba sobre eso.

Tu ne m'as jamais réveillé parce que tu avais peur, encore moins parce que tu pleurais. Peut-être qu'un jour, je m'armerai de courage et t'écrirai à ce sujet.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Tu ne m'as jamais réveillé parce que tu avais peur, encore moins parce que tu pleurais. Peut-être qu'un jour, je m'armerai de courage et t'écrirai à ce sujet.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.