Vaivén
Sus dedos pequeños y ágiles presionan tus ancas de madera, impulsándote. “¡Arre! ¡Arre caballito!”, grita. Vos te hamacás y él corre al ritmo del trote imaginario hasta que cesa tu vaivén. Se sienta a tu lado, acaricia tus veinte centímetros de alzada, te hace confidencias. Yacés sobre tu costado izquierdo, al fondo de la caja. Él busca un punto de apoyo, hace el esfuerzo de agacharse, te levanta. Limpia el polvo que te cubre (setenta años de polvo). Intenta pararte sobre una de sus palmas. Resbalás, caés sobre tu costado de siempre (como si los muchos años transcurridos en esa posición hubiesen creado hábito). Su mano semeja un nido tembloroso, frágil. Te mira. “Arre”, murmura.
Traduction temporaire :
Va-et-vient
Ses petits doigts agiles font pression sur ta croupe en bois, cherchant à t'aiguillonner. « Hue ! Hue, cheval à bascule ! » crie-t-il. Toi, tu bascules et, lui, il court au rythme du trot imaginaire, jusqu'à l'arrêt de ton va-et vient. Il s'assied à tes côtés, caresse tes vingt centimètres de hauteur au garrot, te fait des confidences. Tu gis sur ton flanc gauche, au fond de la boîte. Lui, il cherche un point d'appui, fait l'effort de se baisser, te relève. Il nettoie la poussière dont tu es recouvert (soixante-dix ans de poussière). Il essaie de te faire tenir en équilibre sur l'une de ses paumes. Tu glisses, tu tombes sur ton flanc, toujours le même, (comme si tes nombreuses années passées dans cette position avaient crée l'habitude). Sa main ressemble à un nid tremblant, fragile. Il te regarde. « Hue ! », murmure-t-il.
Va-et-vient
Ses petits doigts agiles font pression sur ta croupe en bois, cherchant à t'aiguillonner. « Hue ! Hue, cheval à bascule ! » crie-t-il. Toi, tu bascules et, lui, il court au rythme du trot imaginaire, jusqu'à l'arrêt de ton va-et vient. Il s'assied à tes côtés, caresse tes vingt centimètres de hauteur au garrot, te fait des confidences. Tu gis sur ton flanc gauche, au fond de la boîte. Lui, il cherche un point d'appui, fait l'effort de se baisser, te relève. Il nettoie la poussière dont tu es recouvert (soixante-dix ans de poussière). Il essaie de te faire tenir en équilibre sur l'une de ses paumes. Tu glisses, tu tombes sur ton flanc, toujours le même, (comme si tes nombreuses années passées dans cette position avaient crée l'habitude). Sa main ressemble à un nid tremblant, fragile. Il te regarde. « Hue ! », murmure-t-il.
28 commentaires:
Vaivén
Va-et-vient
Vaivén
Va-et-vient
OK.
Justine ?
Vaivén
Va-et-vient
Sus dedos pequeños y ágiles presionan tus ancas de madera, impulsándote. “¡Arre! ¡Arre caballito!”, grita.
Ses petits doigts agiles font pression sur ta croupe en bois, cherchant à te stimuler. « Hue ! Hue, cheval à bascule ! », crie-t-il.
Va-et-vient
Sus dedos pequeños y ágiles presionan tus ancas de madera, impulsándote. “¡Arre! ¡Arre caballito!”, grita.
Ses petits doigts agiles font pression sur ta croupe en bois, cherchant à te stimuler [j'hésite]. « Hue ! Hue, cheval à bascule ! » crie-t-il.
Va-et-vient
Sus dedos pequeños y ágiles presionan tus ancas de madera, impulsándote. “¡Arre! ¡Arre caballito!”, grita.
Ses petits doigts agiles font pression sur ta croupe en bois, cherchant à t'aiguillonner. « Hue ! Hue, cheval à bascule ! » crie-t-il.
Va-et-vient
Sus dedos pequeños y ágiles presionan tus ancas de madera, impulsándote. “¡Arre! ¡Arre caballito!”, grita.
Ses petits doigts agiles font pression sur ta croupe en bois, cherchant à te faire avancer. « Hue ! Hue, cheval à bascule ! » crie-t-il.
Va-et-vient
Sus dedos pequeños y ágiles presionan tus ancas de madera, impulsándote. “¡Arre! ¡Arre caballito!”, grita.
Ses petits doigts agiles font pression sur ta croupe en bois, pour te donner de l'élan. « Hue ! Hue, cheval à bascule ! » crie-t-il.
Va-et-vient
Sus dedos pequeños y ágiles presionan tus ancas de madera, impulsándote. “¡Arre! ¡Arre caballito!”, grita.
Ses petits doigts agiles font pression sur ta croupe en bois, cherchant à t'aiguillonner. « Hue ! Hue, cheval à bascule ! » crie-t-il.
OK.
Elena ?
*** Pour "impulsándote", je comprends que c'est dans le sens de "pousser" : le petit fait pression, en s'appuyant sur la croupe du cheval à bascule pour qu'il bouge.
J'ai trouvé : Prendre de l'élan, son élan. Se donner ou recevoir l'impulsion nécessaire pour accomplir quelque chose.
P. méton. (au sing. ou au plur.). Mouvement brusque, rapide, vers l'avant. Cheval qui ne va que par élans (Ac.).Synon. bond.
Je ne sais pas si "aiguillonner" peut correspondre. Vous me dites ;-)
Vos te hamacás y él corre al ritmo del trote imaginario hasta que cesa tu vaivén. Se sienta a tu lado, acaricia tus veinte centímetros de alzada, te hace confidencias.
Toi, tu te balances et, lui, il court au rythme du trot imaginaire, jusqu'à ce que cesse ton va-et vient. Il s'assied à côté de toi, caresse tes vingt centimètres de hauteur au garrot, te fait des confidences.
Vos te hamacás y él corre al ritmo del trote imaginario hasta que cesa tu vaivén. Se sienta a tu lado, acaricia tus veinte centímetros de alzada, te hace confidencias.
Toi, tu te balances [Elena ?] et, lui, il court au rythme du trot imaginaire, jusqu'à ce que cesse ton va-et vient [syntaxe N]. Il s'assied à côté de toi, caresse tes vingt centimètres de hauteur au garrot, te fait des confidences.
Vos te hamacás y él corre al ritmo del trote imaginario hasta que cesa tu vaivén. Se sienta a tu lado, acaricia tus veinte centímetros de alzada, te hace confidencias.
Toi, tu bascules et, lui, il court au rythme du trot imaginaire, jusqu'à l'arrêt de ton va-et vient. Il s'assied à tes côtés, caresse tes vingt centimètres de hauteur au garrot, te fait des confidences.
Vos te hamacás y él corre al ritmo del trote imaginario hasta que cesa tu vaivén. Se sienta a tu lado, acaricia tus veinte centímetros de alzada, te hace confidencias.
Toi, tu te balances [Elena ?] et, lui, jusqu'à ce que ton va-et-vient cesse, il court au rythme du trot imaginaire. Il s'assied à côté de toi, caresse tes vingt centimètres de hauteur au garrot, te fait des confidences.
Vos te hamacás y él corre al ritmo del trote imaginario hasta que cesa tu vaivén. Se sienta a tu lado, acaricia tus veinte centímetros de alzada, te hace confidencias.
Toi, tu bascules et, lui, il court au rythme du trot imaginaire, jusqu'à l'arrêt de ton va-et vient. Il s'assied à tes côtés, caresse tes vingt centimètres de hauteur au garrot, te fait des confidences.
Vos te hamacás y él corre al ritmo del trote imaginario hasta que cesa tu vaivén. Se sienta a tu lado, acaricia tus veinte centímetros de alzada, te hace confidencias.
Toi, tu bascules et, lui, il court au rythme du trot imaginaire, jusqu'à l'arrêt de ton va-et vient. Il s'assied à tes côtés, caresse tes vingt centimètres de hauteur au garrot, te fait des confidences.
OK.
VPC.
Yacés sobre tu costado izquierdo, al fondo de la caja. Él busca un punto de apoyo, hace el esfuerzo de agacharse, te levanta.
Tu gis sur ton flanc gauche, au fond de la boîte. Lui, il cherche un point d'appui, fait l'effort de se baisser, te relève.
Yacés sobre tu costado izquierdo, al fondo de la caja. Él busca un punto de apoyo, hace el esfuerzo de agacharse, te levanta.
Tu gis sur ton flanc gauche, au fond de la boîte. Lui, il cherche un point d'appui, fait l'effort de se baisser, te relève.
OK.
Elena ?
Tu gis sur ton flanc gauche, au fond de la boîte. Lui, il cherche un point d'appui, fait l'effort de se baisser, te relève.
OK.
VPC.
Limpia el polvo que te cubre (setenta años de polvo). Intenta pararte sobre una de sus palmas.
Il nettoie la poussière dont tu es recouvert (soixante-dix ans de poussière).Il essaie de te faire tenir en équilibre sur l'une de ses paumes.
Limpia el polvo que te cubre (setenta años de polvo). Intenta pararte sobre una de sus palmas.
Il nettoie la poussière dont tu es recouvert (soixante-dix ans de poussière). Il essaie de te faire tenir en équilibre sur l'une de ses paumes [Elena ?].
Limpia el polvo que te cubre (setenta años de polvo). Intenta pararte sobre una de sus palmas.
Il nettoie la poussière dont tu es recouvert (soixante-dix ans de poussière). Il essaie de te faire tenir en équilibre sur l'une de ses paumes [Elena ? / Oui, ou "sur la paume d'une main" ?].
VPC.
Resbalás, caés sobre tu costado de siempre (como si los muchos años transcurridos en esa posición hubiesen creado hábito). Su mano semeja un nido tembloroso, frágil.
Te mira. “Arre”, murmura.
Tu glisses, tu tombes sur ton flanc, toujours le même, (comme si tes nombreuses années dans cette position avaient crée l'habitude). Sa main ressemble à un nid chancelant, fragile.
Il te regarde. « Hue ! », murmure-t-il.
Resbalás, caés sobre tu costado de siempre (como si los muchos años transcurridos en esa posición hubiesen creado hábito). Su mano semeja un nido tembloroso, frágil.
Te mira. “Arre”, murmura.
Tu glisses, tu tombes sur ton flanc, toujours le même, (comme si tes nombreuses années [« passées » ?] dans cette position avaient crée l'habitude). Sa main ressemble à un nid chancelant [texte ?], fragile.
Il te regarde. « Hue ! », murmure-t-il.
Resbalás, caés sobre tu costado de siempre (como si los muchos años transcurridos en esa posición hubiesen creado hábito). Su mano semeja un nido tembloroso, frágil.
Te mira. “Arre”, murmura.
Tu glisses, tu tombes sur ton flanc, toujours le même, (comme si tes nombreuses années passées dans cette position avaient crée l'habitude). Sa main ressemble à un nid tremblant, fragile.
Il te regarde. « Hue ! », murmure-t-il.
Resbalás, caés sobre tu costado de siempre (como si los muchos años transcurridos en esa posición hubiesen creado hábito). Su mano semeja un nido tembloroso, frágil.
Te mira. “Arre”, murmura.
Tu glisses, tu tombes sur ton flanc, toujours le même, (comme si tes nombreuses années passées dans cette position avaient crée l'habitude). Sa main ressemble à un nid tremblant, fragile.
Il te regarde. « Hue ! », murmure-t-il.
OK.
Elena ?
Tu glisses, tu tombes sur ton flanc, toujours le même, (comme si tes nombreuses années passées dans cette position avaient crée l'habitude). Sa main ressemble à un nid tremblant, fragile.
Il te regarde. « Hue ! », murmure-t-il.
OK.
Texte fini.
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