Uno sobre dos
Camina por las calles de Baltimore, busca a una mujer joven que se le ha perdido. Y un escarabajo de oro. Si pudiera recordar quién es, sabría dónde buscar; por eso camina sin rumbo. —Todo lo que necesito es un mapa —dice con voz aguardentosa. Hurga dentro de sus bolsillos. No los reconoce, como si las ropas que usa fuesen ajenas. Introduce las manos temblorosas dentro de la camisa, palpa su cuerpo magro, frío como el de un muerto. Ha bebido demasiado, ha bebido porque le gusta, aunque también es posible que le hayan obligado. Eso le pasa, si es que le pasó, por ser un pobre diablo. En Baltimore se sabe cómo los políticos sacan partido de pobres diablos como ése. Las rodillas se doblan contra el empedrado, pero logra apoyar las manos a tiempo para no golpearse el rostro. En esta noche oscura podría confundirse con un perro. Cuidadosamente, despacio, se recuesta. Siente que todo es una herida. Algo punza su mejilla derecha, una espina, un clavo, una piedra. Vomita cierto líquido amarillo. —Encontré al escarabajo. Falta ella.
Traduction temporaire :
Un sur deux
Il marche dans les rues de Baltimore, cherche une jeune femme qu'il a perdue. Et un scarabée d'or. S'il arrivait à se rappeler qui elle est, il saurait où chercher ; raison pour laquelle, il marche sans but. —Todo lo que necesito es un mapa —dice con voz aguardentosa. Hurga dentro de sus bolsillos. No los reconoce, como si las ropas que usa fuesen ajenas. — Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'une carte, déclare-t-il d'une voix imprégnée d'eau de vie. Il fouille dans ses poches. Ne les reconnait pas, comme si les vêtements qu'il porte appartenaient à quelqu'un d'autre. Il glisse ses mains tremblantes dans les poches de la chemise, palpe son corps maigre, froid comme celui d'un mort. Il a trop bu ; il a bu parce qu'il aime ça, bien qu'il soit possible aussi qu'on l'y ait obligé. Cela lui arrive, si tant est que cela lui soit arrivé, parce que c'est un pauvre diable. À Baltimore, on sait comment les politiques tirent profit de pauvres diables comme lui. Ses genoux plient sur les pavés, mais il parvient à prendre appui sur ses mains juste à temps pour lui permettre d'éviter de se cogner le visage. Dans cette nuit noire, on pourrait le confondre avec un chien. Il s'allonge lentement, précautionneusement. Il a la sensation que son corps n'est qu'une immense blessure. Quelque chose pique sa joue droite : une épine, un clou, une pierre. Il vomit un liquide jaune. — J'ai trouvé le scarabée. Il ne manque qu'elle.
Un sur deux
Il marche dans les rues de Baltimore, cherche une jeune femme qu'il a perdue. Et un scarabée d'or. S'il arrivait à se rappeler qui elle est, il saurait où chercher ; raison pour laquelle, il marche sans but. —Todo lo que necesito es un mapa —dice con voz aguardentosa. Hurga dentro de sus bolsillos. No los reconoce, como si las ropas que usa fuesen ajenas. — Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'une carte, déclare-t-il d'une voix imprégnée d'eau de vie. Il fouille dans ses poches. Ne les reconnait pas, comme si les vêtements qu'il porte appartenaient à quelqu'un d'autre. Il glisse ses mains tremblantes dans les poches de la chemise, palpe son corps maigre, froid comme celui d'un mort. Il a trop bu ; il a bu parce qu'il aime ça, bien qu'il soit possible aussi qu'on l'y ait obligé. Cela lui arrive, si tant est que cela lui soit arrivé, parce que c'est un pauvre diable. À Baltimore, on sait comment les politiques tirent profit de pauvres diables comme lui. Ses genoux plient sur les pavés, mais il parvient à prendre appui sur ses mains juste à temps pour lui permettre d'éviter de se cogner le visage. Dans cette nuit noire, on pourrait le confondre avec un chien. Il s'allonge lentement, précautionneusement. Il a la sensation que son corps n'est qu'une immense blessure. Quelque chose pique sa joue droite : une épine, un clou, une pierre. Il vomit un liquide jaune. — J'ai trouvé le scarabée. Il ne manque qu'elle.
46 commentaires:
Uno sobre dos
Camina por las calles de Baltimore, busca a una mujer joven que se le ha perdido. Y un escarabajo de oro. Si pudiera recordar quién es, sabría dónde buscar; por eso camina sin rumbo.
Un sur deux
Il marche dans les rues de Baltimore, cherche une jeune femme qu'il a perdue. Et un scarabée d'or. S'il arrivait à se rappeler qui elle est, il saurait où chercher ; raison pour laquelle, il marche sans but.
OK.
Un sur deux
Il marche dans les rues de Baltimore, cherche une jeune femme qu'il a perdue. Et un scarabée d'or. S'il arrivait à se rappeler qui elle est, il saurait où chercher ; raison pour laquelle, il marche sans but.
OK.
VPC.
—Todo lo que necesito es un mapa —dice con voz aguardentosa.
Hurga dentro de sus bolsillos. No los reconoce, como si las ropas que usa fuesen ajenas.
— Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'une carte, déclare-t-il d'une voix âpre.
Il fouille dans ses poches. Ne les reconnait pas, comme si les vêtements appartenaient à quelqu'un d'autre.
—Todo lo que necesito es un mapa —dice con voz aguardentosa.
Hurga dentro de sus bolsillos. No los reconoce, como si las ropas que usa fuesen ajenas.
— Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'une carte, déclare-t-il d'une voix âpre [Elena ?].
Il fouille dans ses poches. Ne les reconnait pas, comme si les vêtements [« qu'ils portent »] appartenaient à quelqu'un d'autre.
—Todo lo que necesito es un mapa —dice con voz aguardentosa.
Hurga dentro de sus bolsillos. No los reconoce, como si las ropas que usa fuesen ajenas.
— Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'une carte, déclare-t-il d'une voix âpre [Elena ? / "imprégnée d'eau de vie" ?].
Il fouille dans ses poches. Ne les reconnait pas, comme si les vêtements qu'il porte appartenaient à quelqu'un d'autre.
—Todo lo que necesito es un mapa —dice con voz aguardentosa.
Hurga dentro de sus bolsillos. No los reconoce, como si las ropas que usa fuesen ajenas.
— Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'une carte, déclare-t-il d'une voix âpre [Elena ? / "imprégnée d'eau de vie" ? OK].
Il fouille dans ses poches. Ne les reconnait pas, comme si les vêtements qu'il porte appartenaient à quelqu'un d'autre.
—Todo lo que necesito es un mapa —dice con voz aguardentosa.
Hurga dentro de sus bolsillos. No los reconoce, como si las ropas que usa fuesen ajenas.
— Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'une carte, déclare-t-il d'une voix imprégnée d'eau de vie.
Il fouille dans ses poches. Ne les reconnait pas, comme si les vêtements qu'il porte appartenaient à quelqu'un d'autre.
—Todo lo que necesito es un mapa —dice con voz aguardentosa.
Hurga dentro de sus bolsillos. No los reconoce, como si las ropas que usa fuesen ajenas.
— Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'une carte, déclare-t-il d'une voix imprégnée d'eau de vie.
Il fouille dans ses poches. Ne les reconnait pas, comme si les vêtements qu'il porte appartenaient à quelqu'un d'autre.
OK.
Justine ?
Blogger Tradabordo a dit...
—Todo lo que necesito es un mapa —dice con voz aguardentosa.
Hurga dentro de sus bolsillos. No los reconoce, como si las ropas que usa fuesen ajenas.
— Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'une carte, déclare-t-il d'une voix imprégnée d'eau de vie.
Il fouille dans ses poches. Ne les reconnait pas, comme si les vêtements qu'il porte appartenaient à quelqu'un d'autre.
OK.
VPC.
Introduce las manos temblorosas dentro de la camisa, palpa su cuerpo magro, frío como el de un muerto. Ha bebido demasiado, ha bebido porque le gusta, aunque también es posible que le hayan obligado.
Il glisse ses mains tremblantes dans les poches de la chemise, palpe son corps maigre, froid comme celui d'un mort. Il a trop bu, il a bu parce qu'il aime ça, bien qu'il soit possible aussi qu'on l'y ait obligé.
Introduce las manos temblorosas dentro de la camisa, palpa su cuerpo magro, frío como el de un muerto. Ha bebido demasiado, ha bebido porque le gusta, aunque también es posible que le hayan obligado.
Il glisse ses mains tremblantes dans les poches de la chemise, palpe son corps maigre, froid comme celui d'un mort. Il a trop bu, [point-virgule ? Comme tu veux] il a bu parce qu'il aime ça, bien qu'il soit possible aussi qu'on l'y ait obligé.
Introduce las manos temblorosas dentro de la camisa, palpa su cuerpo magro, frío como el de un muerto. Ha bebido demasiado, ha bebido porque le gusta, aunque también es posible que le hayan obligado.
Il glisse ses mains tremblantes dans les poches de la chemise, palpe son corps maigre, froid comme celui d'un mort. Il a trop bu ; il a bu parce qu'il aime ça, bien qu'il soit possible aussi qu'on l'y ait obligé.
Introduce las manos temblorosas dentro de la camisa, palpa su cuerpo magro, frío como el de un muerto. Ha bebido demasiado, ha bebido porque le gusta, aunque también es posible que le hayan obligado.
Il glisse ses mains tremblantes dans les poches de la chemise, palpe son corps maigre, froid comme celui d'un mort. Il a trop bu ; il a bu parce qu'il aime ça, bien qu'il soit possible aussi qu'on l'y ait obligé.
OK.
Elena ?
Il glisse ses mains tremblantes dans les poches de la chemise, palpe son corps maigre, froid comme celui d'un mort. Il a trop bu ; il a bu parce qu'il aime ça, bien qu'il soit possible aussi qu'on l'y ait obligé.
OK.
VPC.
Eso le pasa, si es que le pasó, por ser un pobre diablo.
Cela lui arrive, si tant est que cela lui soit arrivé, parce que c'est un pauvre diable.
Eso le pasa, si es que le pasó, por ser un pobre diablo.
Cela lui arrive, si tant est que cela lui soit arrivé, parce que c'est un pauvre diable.
OK.
Elena ?
Cela lui arrive, si tant est que cela lui soit arrivé, parce que c'est un pauvre diable.
OK.
Blogger Elena a dit...
Cela lui arrive, si tant est que cela lui soit arrivé, parce que c'est un pauvre diable.
OK.
VPC.
En Baltimore se sabe cómo los políticos sacan partido de pobres diablos como ése. Las rodillas se doblan contra el empedrado, pero logra apoyar las manos a tiempo para no golpearse el rostro.
À Baltimore, on sait comment les politiques tirent profit de pauvres diables comme lui. Ses genoux plient sur les pavés, mais il parvient à prendre appui sur ses mains à temps pour éviter d'y heurter son visage.
En Baltimore se sabe cómo los políticos sacan partido de pobres diablos como ése. Las rodillas se doblan contra el empedrado, pero logra apoyar las manos a tiempo para no golpearse el rostro.
À Baltimore, on sait comment les politiques tirent profit de pauvres diables comme lui. Ses genoux plient sur les pavés, mais il parvient à prendre appui sur ses mains [« juste »] à temps pour [« lui permettre d' »] éviter d'y [pas nécessaire] heurter son visage [bof].
En Baltimore se sabe cómo los políticos sacan partido de pobres diablos como ése. Las rodillas se doblan contra el empedrado, pero logra apoyar las manos a tiempo para no golpearse el rostro.
À Baltimore, on sait comment les politiques tirent profit de pauvres diables comme lui. Ses genoux plient sur les pavés, mais il parvient à prendre appui sur ses mains juste à temps pour lui permettre d'éviter de s'écorcher le visage.
En Baltimore se sabe cómo los políticos sacan partido de pobres diablos como ése. Las rodillas se doblan contra el empedrado, pero logra apoyar las manos a tiempo para no golpearse el rostro.
À Baltimore, on sait comment les politiques tirent profit de pauvres diables comme lui. Ses genoux plient sur les pavés, mais il parvient à prendre appui sur ses mains juste à temps pour lui permettre d'éviter de s'écorcher [« se cogner » ?] le visage.
En Baltimore se sabe cómo los políticos sacan partido de pobres diablos como ése. Las rodillas se doblan contra el empedrado, pero logra apoyar las manos a tiempo para no golpearse el rostro.
À Baltimore, on sait comment les politiques tirent profit de pauvres diables comme lui. Ses genoux plient sur les pavés, mais il parvient à prendre appui sur ses mains juste à temps pour lui permettre d'éviter de se cogner le visage.
En Baltimore se sabe cómo los políticos sacan partido de pobres diablos como ése. Las rodillas se doblan contra el empedrado, pero logra apoyar las manos a tiempo para no golpearse el rostro.
À Baltimore, on sait comment les politiques tirent profit de pauvres diables comme lui. Ses genoux plient sur les pavés, mais il parvient à prendre appui sur ses mains juste à temps pour lui permettre d'éviter de se cogner le visage.
OK.
Elena ?
À Baltimore, on sait comment les politiques tirent profit de pauvres diables comme lui. Ses genoux plient sur les pavés, mais il parvient à prendre appui sur ses mains juste à temps pour lui permettre d'éviter de se cogner le visage.
OK.
Elena a dit...
À Baltimore, on sait comment les politiques tirent profit de pauvres diables comme lui. Ses genoux plient sur les pavés, mais il parvient à prendre appui sur ses mains juste à temps pour lui permettre d'éviter de se cogner le visage.
OK.
VPC.
En esta noche oscura podría confundirse con un perro.
Dans cette nuit noire, on pourrait le confondre avec un chien.
En esta noche oscura podría confundirse con un perro.
Dans cette nuit noire, on pourrait le confondre avec un chien.
OK.
Elena ?
Dans cette nuit noire, on pourrait le confondre avec un chien.
OK.
Elena a dit...
Dans cette nuit noire, on pourrait le confondre avec un chien.
OK.
VPC.
Cuidadosamente, despacio, se recuesta. Siente que todo es una herida. Algo punza su mejilla derecha, una espina, un clavo, una piedra. Vomita cierto líquido amarillo. —Encontré al escarabajo. Falta ella.
Précautionneusement, doucement il s'allonge. Il sent que son corps n'est que blessure. Quelque chose pique sa joue droite : une épine, un clou, une pierre ? Il vomit un liquide jaune.
— J'ai trouvé le scarabée. Il ne manque plus qu'elle.
Cuidadosamente, despacio, se recuesta. Siente que todo es una herida. Algo punza su mejilla derecha, una espina, un clavo, una piedra. Vomita cierto líquido amarillo. —Encontré al escarabajo. Falta ella.
Précautionneusement, doucement, il s'allonge. Il sent que son corps n'est que blessure. Quelque chose pique sa joue droite : une épine, un clou, une pierre ? Il vomit un liquide jaune.
— J'ai trouvé le scarabée. Il ne manque plus qu'elle.
Cuidadosamente, despacio, se recuesta. Siente que todo es una herida. Algo punza su mejilla derecha, una espina, un clavo, una piedra. Vomita cierto líquido amarillo. —Encontré al escarabajo. Falta ella.
Précautionneusement, doucement [ambigu ici] il s'allonge [syntaxe ?]. Il sent que son corps n'est que blessure [ou : n'est qu'une immense blessure / pour justifier le singulier]. Quelque chose pique sa joue droite : une épine, un clou, une pierre ? [pas de ? en V.O.] Il vomit un liquide jaune.
— J'ai trouvé le scarabée. Il ne manque plus [nécessaire ?] qu'elle.
Cuidadosamente, despacio, se recuesta. Siente que todo es una herida. Algo punza su mejilla derecha, una espina, un clavo, una piedra. Vomita cierto líquido amarillo. —Encontré al escarabajo. Falta ella.
Précautionneusement, il s'allonge lentement. Il sent que son corps n'est qu'une immense blessure. Quelque chose pique sa joue droite : une épine, un clou, une pierre. Il vomit un liquide jaune.
— J'ai trouvé le scarabée. Il ne manque qu'elle.
Cuidadosamente, despacio, se recuesta. Siente que todo es una herida. Algo punza su mejilla derecha, una espina, un clavo, una piedra. Vomita cierto líquido amarillo. —Encontré al escarabajo. Falta ella.
Précautionneusement [mets les deux adverbes ensemble, sans doute à la fin], il s'allonge lentement. Il sent [« a la sensation »] que son corps n'est qu'une immense blessure. Quelque chose pique sa joue droite : une épine, un clou, une pierre. Il vomit un liquide jaune.
— J'ai trouvé le scarabée. Il ne manque qu'elle.
Cuidadosamente, despacio, se recuesta. Siente que todo es una herida. Algo punza su mejilla derecha, una espina, un clavo, una piedra. Vomita cierto líquido amarillo. —Encontré al escarabajo. Falta ella.
Il s'allonge lentement, précautionneusement. Il a la sensation que son corps n'est qu'une immense blessure. Quelque chose pique sa joue droite : une épine, un clou, une pierre. Il vomit un liquide jaune.
— J'ai trouvé le scarabée. Il ne manque qu'elle.
Cuidadosamente, despacio, se recuesta. Siente que todo es una herida. Algo punza su mejilla derecha, una espina, un clavo, una piedra. Vomita cierto líquido amarillo. —Encontré al escarabajo. Falta ella.
Il s'allonge lentement, précautionneusement. Il a la sensation que son corps n'est qu'une immense blessure. Quelque chose pique sa joue droite : une épine, un clou, une pierre. Il vomit un liquide jaune.
— J'ai trouvé le scarabée. Il ne manque qu'elle.
OK.
Elena ?
Tradabordo a dit...
Cuidadosamente, despacio, se recuesta. Siente que todo es una herida. Algo punza su mejilla derecha, una espina, un clavo, una piedra. Vomita cierto líquido amarillo. —Encontré al escarabajo. Falta ella.
Il s'allonge lentement, précautionneusement. Il a la sensation que son corps n'est qu'une immense blessure. Quelque chose pique sa joue droite : une épine, un clou, une pierre. Il vomit un liquide jaune.
— J'ai trouvé le scarabée. Il ne manque qu'elle.
OK.
Elena ?
Il s'allonge lentement, précautionneusement. Il a la sensation que son corps n'est qu'une immense blessure. Quelque chose pique sa joue droite : une épine, un clou, une pierre. Il vomit un liquide jaune.
— J'ai trouvé le scarabée. Il ne manque qu'elle.
OK.
VPC.
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