Ríos
“—¿Quién es? —pregunta aterrada, aunque no espera respuesta. Los golpes en la precaria puerta continúan; es el viento, la tormenta. Sabe que la creciente arrasará su choza e intuye que ha ocupado demasiados minutos procurando salvar sus míseras pertenencias; el río, esta vez, no le dará tiempo”. Marca con un doblez la página del libro con el que intenta distraer esa rabia angustiosa que la domina. —Como un río manso —piensa, mientras escucha los redobles de tambor de la manifestación que avanza. Desde el tercer piso donde está ubicado el departamento que alquila, mira pasar hombres, mujeres y niños. Son los trabajadores y sus familias. Trabajadores porque quisieran trabajar, pero están desocupados. —Como un río que crece minuto a minuto sin herir ni amenazar a nadie, al contrario: él es el perjudicado. Aunque no se cuenta entre los que han recibido el odioso telegrama de despido, sabe que debería estar allí abajo, con ellos, apoyando. Desconoce qué forma de inacción o cobardía la mantiene inmóvil. La mantuvo inmóvil, porque ya se apresura en tomar campera y paraguas (una llovizna persistente, helada, moja la ciudad). El timbre del portero eléctrico interrumpe la tarea de subir el cierre al abrigo. —¿Quién es? —pregunta son una sonrisa. Supone se trata de la broma inocente de alguno de los niños. —Correo Argentino —gruñe una voz desconocida.
Traduction temporaire :
Fleuves
« — Qui est-ce ? demande-t-elle terrifiée, bien qu'elle n'attende pas de réponse. Les coups contre la porte précaire continuent ; c'est le vent, l'orage. Elle sait que la crue emportera sa hutte et devine qu'elle a perdu trop de minutes à tenter de sauver ses misérables possessions ; cette fois, le fleuve ne lui laissera pas de temps. » Elle corne la page du livre grâce auquel elle essaie de détourner cette rage angoissante qui s'empare d'elle. — Comme un fleuve tranquille, se dit-elle en écoutant les roulements de tambour du cortège de manifestants qui avance. De l'appartement qu'elle loue au troisième étage, elle regarde passer des hommes, des femmes et des enfants. Ce sont les travailleurs et leurs familles. Travailleurs parce qu'ils voudraient travailler, mais ils sont au chômage. — Comme un fleuve qui grossit minute par minute sans blesser ni menacer personne ; au contraire, c'est lui la victime." Bien qu'elle ne compte pas parmi ceux qui ont reçu l'odieux télégramme de licenciement, elle sait qu'elle devrait être en bas, avec eux, pour les soutenir. Elle ignore quelle forme d'inaction ou de lâcheté la maintient immobile. Enfin, l'avait maintenue immobile, parce qu'elle se dépêche déjà d'attraper son blouson et son parapluie (une bruine persistante, glacée, mouille la ville). La sonnette de l'interphone l'interrompt alors qu'elle monte la fermeture éclair de son manteau. — Qui est-ce ? demande-t-elle avec un sourire. Elle imagine qu'il s'agit de la blague innocente d'un des enfants. — Le facteur, grogne une voix inconnue.
Fleuves
« — Qui est-ce ? demande-t-elle terrifiée, bien qu'elle n'attende pas de réponse. Les coups contre la porte précaire continuent ; c'est le vent, l'orage. Elle sait que la crue emportera sa hutte et devine qu'elle a perdu trop de minutes à tenter de sauver ses misérables possessions ; cette fois, le fleuve ne lui laissera pas de temps. » Elle corne la page du livre grâce auquel elle essaie de détourner cette rage angoissante qui s'empare d'elle. — Comme un fleuve tranquille, se dit-elle en écoutant les roulements de tambour du cortège de manifestants qui avance. De l'appartement qu'elle loue au troisième étage, elle regarde passer des hommes, des femmes et des enfants. Ce sont les travailleurs et leurs familles. Travailleurs parce qu'ils voudraient travailler, mais ils sont au chômage. — Comme un fleuve qui grossit minute par minute sans blesser ni menacer personne ; au contraire, c'est lui la victime." Bien qu'elle ne compte pas parmi ceux qui ont reçu l'odieux télégramme de licenciement, elle sait qu'elle devrait être en bas, avec eux, pour les soutenir. Elle ignore quelle forme d'inaction ou de lâcheté la maintient immobile. Enfin, l'avait maintenue immobile, parce qu'elle se dépêche déjà d'attraper son blouson et son parapluie (une bruine persistante, glacée, mouille la ville). La sonnette de l'interphone l'interrompt alors qu'elle monte la fermeture éclair de son manteau. — Qui est-ce ? demande-t-elle avec un sourire. Elle imagine qu'il s'agit de la blague innocente d'un des enfants. — Le facteur, grogne une voix inconnue.
68 commentaires:
Ríos
“—¿Quién es? —pregunta aterrada, aunque no espera respuesta. Los golpes en la precaria puerta continúan; es el viento, la tormenta. Sabe que la creciente arrasará su choza e intuye que ha ocupado demasiados minutos procurando salvar sus míseras pertenencias; el río, esta vez, no le dará tiempo”.
Fleuves
« — Qui est-ce ? demande t-elle terrifiée, bien qu'elle n'attende pas de réponse. Les coups contre la porte de fortune continuent ; c'est le vent, l'orage. Elle sait que la crue détruira sa hutte et devine qu'elle a perdu de trop de minutes à tenter de sauver ses maigres affaires ; cette fois, le fleuve ne lui laissera pas le temps ».
Ríos
“—¿Quién es? —pregunta aterrada, aunque no espera respuesta. Los golpes en la precaria puerta continúan; es el viento, la tormenta. Sabe que la creciente arrasará su choza e intuye que ha ocupado demasiados minutos procurando salvar sus míseras pertenencias; el río, esta vez, no le dará tiempo”.
Fleuves
« — [« + — ?????]Qui est-ce ? demande [tiret] t-elle [virgule] terrifiée, bien qu'elle n'attende pas de réponse. Les coups contre la porte de fortune [pas ce que dit la V.O.] continuent ;
c'est le vent, l'orage. Elle sait que la crue détruira sa hutte et devine qu'elle a perdu de trop de minutes à tenter de sauver ses maigres affaires ; cette fois, le fleuve ne lui laissera pas le temps ».
Ríos
“—¿Quién es? —pregunta aterrada, aunque no espera respuesta. Los golpes en la precaria puerta continúan; es el viento, la tormenta. Sabe que la creciente arrasará su choza e intuye que ha ocupado demasiados minutos procurando salvar sus míseras pertenencias; el río, esta vez, no le dará tiempo”.
Fleuves
« Qui est-ce ? demande-t-elle terrifiée, bien qu'elle n'attende pas de réponse. Les coups contre la porte précaire continuent ; c'est le vent, l'orage. Elle sait que la crue détruira sa hutte et devine qu'elle a perdu de trop de minutes à tenter de sauver ses maigres affaires ; cette fois, le fleuve ne lui laissera pas de temps ».
Ríos
“—¿Quién es? —pregunta aterrada, aunque no espera respuesta. Los golpes en la precaria puerta continúan; es el viento, la tormenta. Sabe que la creciente arrasará su choza e intuye que ha ocupado demasiados minutos procurando salvar sus míseras pertenencias; el río, esta vez, no le dará tiempo”.
Fleuves
« Qui est-ce ? demande-t-elle terrifiée, bien qu'elle n'attende pas de réponse. Les coups contre la porte précaire continuent ; c'est le vent, l'orage. Elle sait que la crue détruira [« emportera » ?] sa hutte et devine qu'elle a perdu de trop de minutes à tenter de sauver ses maigres affaires [« biens » / « possessions » ?] ; cette fois, le fleuve ne lui laissera pas de temps ».
Ríos
“—¿Quién es? —pregunta aterrada, aunque no espera respuesta. Los golpes en la precaria puerta continúan; es el viento, la tormenta. Sabe que la creciente arrasará su choza e intuye que ha ocupado demasiados minutos procurando salvar sus míseras pertenencias; el río, esta vez, no le dará tiempo”.
Fleuves
« Qui est-ce ? demande-t-elle terrifiée, bien qu'elle n'attende pas de réponse. Les coups contre la porte précaire continuent ; c'est le vent, l'orage. Elle sait que la crue emportera sa hutte et devine qu'elle a perdu trop de minutes à tenter de sauver ses maigres effets personnels ; cette fois, le fleuve ne lui laissera pas de temps ».
Fleuves
« — Qui est-ce ? demande-t-elle terrifiée, bien qu'elle n'attende pas de réponse. Les coups contre la porte précaire continuent ; c'est le vent, l'orage. Elle sait que la crue emportera sa hutte et devine qu'elle a perdu de trop de minutes à tenter de sauver ses misérables possessions ; cette fois, le fleuve ne lui laissera pas de temps. »
***Cette partie est la citation du livre que le narrateur lit
Et donc, quoi ?
***Il y a un tiret en début de phrase.
Fleuves
« — Qui est-ce ? demande-t-elle terrifiée, bien qu'elle n'attende pas de réponse. Les coups contre la porte précaire continuent ; c'est le vent, l'orage. Elle sait que la crue emportera sa hutte et devine qu'elle a perdu de trop de minutes à tenter de sauver ses misérables possessions ; cette fois, le fleuve ne lui laissera pas de temps. »
Je crois que c'était pour expliquer les guillemets plus le tiret.
Fleuves
« — Qui est-ce ? demande-t-elle terrifiée, bien qu'elle n'attende pas de réponse. Les coups contre la porte précaire continuent ; c'est le vent, l'orage. Elle sait que la crue emportera sa hutte et devine qu'elle a perdu trop de minutes à tenter de sauver ses misérables biens ; cette fois, le fleuve ne lui laissera pas de temps. »
« — Qui est-ce ? demande-t-elle terrifiée, bien qu'elle n'attende pas de réponse. Les coups contre la porte précaire continuent ; c'est le vent, l'orage. Elle sait que la crue emportera sa hutte et devine qu'elle a perdu de trop de minutes à tenter de sauver ses misérables possessions ; cette fois, le fleuve ne lui laissera pas de temps. »
OK.
Justine ?
« — Qui est-ce ? demande-t-elle terrifiée, bien qu'elle n'attende pas de réponse. Les coups contre la porte précaire continuent ; c'est le vent, l'orage. Elle sait que la crue emportera sa hutte et devine qu'elle a perdu trop de minutes à tenter de sauver ses misérables possessions ; cette fois, le fleuve ne lui laissera pas de temps. »
OK.
VPC.
Marca con un doblez la página del libro con el que intenta distraer esa rabia angustiosa que la domina.
Elle corne la page du livre avec lequel elle essaie de détourner cette rage angoissante qui s'empare d'elle.
Marca con un doblez la página del libro con el que intenta distraer esa rabia angustiosa que la domina.
Elle corne la page du livre avec lequel [ou : « grâce auquel » ? Je ne sais pas trop… Essaie et vois ce qui est mieux] elle essaie de détourner cette rage angoissante qui s'empare d'elle.
Marca con un doblez la página del libro con el que intenta distraer esa rabia angustiosa que la domina.
Elle corne la page du livre grâce auquel elle essaie de détourner cette rage angoissante qui s'empare d'elle.
Marca con un doblez la página del libro con el que intenta distraer esa rabia angustiosa que la domina.
Elle corne la page du livre grâce auquel elle essaie de détourner cette rage angoissante qui s'empare d'elle.
OK.
Elena ?
Elle corne la page du livre grâce auquel elle essaie de détourner cette rage angoissante qui s'empare d'elle.
OK.
Blogger Elena a dit...
Elle corne la page du livre grâce auquel elle essaie de détourner cette rage angoissante qui s'empare d'elle.
OK.
VPC.
—Como un río manso —piensa, mientras escucha los redobles de tambor de la manifestación que avanza.
— Comme un fleuve tranquille, se dit-elle en écoutant les roulements de tambour du cortège de manifestants qui avance.
—Como un río manso —piensa, mientras escucha los redobles de tambor de la manifestación que avanza.
— Comme un fleuve tranquille, se dit-elle en écoutant les roulements de tambour du cortège de manifestants qui avance.
OK.
Elena ?
— Comme un fleuve tranquille, se dit-elle en écoutant les roulements de tambour du cortège de manifestants qui avance.
OK.
VPC.
Desde el tercer piso donde está ubicado el departamento que alquila, mira pasar hombres, mujeres y niños. Son los trabajadores y sus familias. Trabajadores porque quisieran trabajar, pero están desocupados.
De l'appartement qu'elle loue au troisième étage, elle regarde passer des hommes, des femmes et des enfants. Ce sont les travailleurs et leurs familles. Travailleurs parce qu'ils voudraient travailler, mais ils sont au chômage.
Desde el tercer piso donde está ubicado el departamento que alquila, mira pasar hombres, mujeres y niños. Son los trabajadores y sus familias. Trabajadores porque quisieran trabajar, pero están desocupados.
De l'appartement qu'elle loue au troisième étage, elle regarde passer des hommes, des femmes et des enfants. Ce sont les travailleurs et leurs familles. Travailleurs parce qu'ils voudraient travailler, mais ils sont au chômage.
OK.
Elena ?
De l'appartement qu'elle loue au troisième étage, elle regarde passer des hommes, des femmes et des enfants. Ce sont les travailleurs et leurs familles. Travailleurs parce qu'ils voudraient travailler, mais ils sont au chômage.
OK.
VPC.
—Como un río que crece minuto a minuto sin herir ni amenazar a nadie, al contrario: él es el perjudicado.
— Comme un fleuve qui grossit minute par minute sans blesser ni menacer personne ; au contraire, c'est lui la victime.
—Como un río que crece minuto a minuto sin herir ni amenazar a nadie, al contrario: él es el perjudicado.
— Comme un fleuve qui grossit minute par minute sans blesser ni menacer personne ; au contraire, c'est lui la victime.
OK.
Elena ?
— Comme un fleuve qui grossit minute par minute sans blesser ni menacer personne ; au contraire, c'est lui la victime.
OK.
VPC.
Un petit problème dans le copier / coller, la dernière phrase est le début d'un autre texte, déjà collé au bon endroit.
Aunque no se cuenta entre los que han recibido el odioso telegrama de despido, sabe que debería estar allí abajo, con ellos, apoyando.
Bien qu'elle ne compte pas parmi ceux qui ont reçu l'odieux télégramme de licenciement, elle sait qu'elle devrait être en bas, avec eux, pour les soutenir.
« — Qui est-ce ? demande-t-elle terrifiée, bien qu'elle n'attende pas de réponse. Les coups contre la porte précaire continuent ; c'est le vent, l'orage. Elle sait que la crue emportera sa hutte et devine qu'elle a perdu trop de minutes à tenter de sauver ses misérables possessions ; cette fois, le fleuve ne lui laissera pas de temps. » Elle corne la page du livre grâce auquel elle essaie de détourner cette rage angoissante qui s'empare d'elle.
— Comme un fleuve tranquille, se dit-elle en écoutant les roulements de tambour du cortège de manifestants qui avance. De l'appartement qu'elle loue au troisième étage, elle regarde passer des hommes, des femmes et des enfants. Ce sont les travailleurs et leurs familles. Travailleurs parce qu'ils voudraient travailler, mais ils sont au chômage.
*** Le morceau à remplacer va ici :
— Comme un fleuve qui grossit minute par minute sans blesser ni menacer personne ; au contraire, c'est lui la victime.
Aunque no se cuenta entre los que han recibido el odioso telegrama de despido, sabe que debería estar allí abajo, con ellos, apoyando.
Bien qu'elle ne compte pas parmi ceux qui ont reçu l'odieux télégramme de licenciement, elle sait qu'elle devrait être en bas, avec eux, pour les soutenir.
Attendez, dites-moi :
1) le bout que je dois enlever dans ce texte.
2) ce que je dois en faire.
1- Il faut enlever :
"La prière Il arrive à contresens, prend mal un virage, dérape, chute et atterrit dans le jardin de la vieille demeure familiale."
2- Le remplacer par :
"— Comme un fleuve qui grossit minute par minute sans blesser ni menacer personne ; au contraire, c'est lui la victime."
3- Je mets le bout à corriger par la suite après pour ne pas tout mélanger.
Ça y est, j'ai corrigé le bout qui n'allait pas là.
Mais du coup ça ("La prière Il arrive à contresens, prend mal un virage, dérape, chute et atterrit dans le jardin de la vieille demeure familiale."), ça va où ?
Pas besoin, ça a déjà été collé ici :
http://tradabordo.blogspot.fr/2018/02/projet-justine-elena-texte-183.html
C'est déjà collé au bon endroit, texte 183.
OK. Du coup, je ne m'occupe plus de ça. Continuez ce qu'on a continué ici.
Aunque no se cuenta entre los que han recibido el odioso telegrama de despido, sabe que debería estar allí abajo, con ellos, apoyando.
Bien qu'elle ne compte pas parmi ceux qui ont reçu l'odieux télégramme de licenciement, elle sait qu'elle devrait être en bas, avec eux, pour les soutenir.
Aunque no se cuenta entre los que han recibido el odioso telegrama de despido, sabe que debería estar allí abajo, con ellos, apoyando.
Bien qu'elle ne compte pas parmi ceux qui ont reçu l'odieux télégramme de licenciement, elle sait qu'elle devrait être en bas, avec eux, pour les soutenir.
OK.
Elena ?
Bien qu'elle ne compte pas parmi ceux qui ont reçu l'odieux télégramme de licenciement, elle sait qu'elle devrait être en bas, avec eux, pour les soutenir.
OK.
Elena a dit...
Bien qu'elle ne compte pas parmi ceux qui ont reçu l'odieux télégramme de licenciement, elle sait qu'elle devrait être en bas, avec eux, pour les soutenir.
OK.
VPC.
Desconoce qué forma de inacción o cobardía la mantiene inmóvil.
Elle ignore quelle forme d'inaction ou de lâcheté la maintient immobile.
Desconoce qué forma de inacción o cobardía la mantiene inmóvil.
Elle ignore quelle forme d'inaction ou de lâcheté la maintient immobile.
OK.
Elena ?
Elle ignore quelle forme d'inaction ou de lâcheté la maintient immobile.
OK.
VPC.
La mantuvo inmóvil, porque ya se apresura en tomar campera y paraguas (una llovizna persistente, helada, moja la ciudad).
L'avait maintenue immobile, parce qu'elle se dépêche déjà de prendre son blouson et son parapluie (une bruine persistante, glacée, mouille la ville).
La mantuvo inmóvil, porque ya se apresura en tomar campera y paraguas (una llovizna persistente, helada, moja la ciudad).
L'avait maintenue immobile, parce qu'elle se dépêche déjà de prendre [ou : « d'attraper » ? Comme tu veux] son blouson et son parapluie (une bruine persistante, glacée, mouille la ville).
La mantuvo inmóvil, porque ya se apresura en tomar campera y paraguas (una llovizna persistente, helada, moja la ciudad).
L'avait maintenue immobile, parce qu'elle se dépêche déjà d'attraper son blouson et son parapluie (une bruine persistante, glacée, mouille la ville).
La mantuvo inmóvil, porque ya se apresura en tomar campera y paraguas (una llovizna persistente, helada, moja la ciudad).
L'avait maintenue immobile, parce qu'elle se dépêche déjà d'attraper son blouson et son parapluie (une bruine persistante, glacée, mouille la ville).
OK.
Elena ?
[+ une cheville : "Enfin," ?] L'avait maintenue immobile, parce qu'elle se dépêche déjà d'attraper son blouson et son parapluie (une bruine persistante, glacée, mouille la ville).
Sinon, OK.
Justine, ton avis ?
a mantuvo inmóvil, porque ya se apresura en tomar campera y paraguas (una llovizna persistente, helada, moja la ciudad).
Enfin, l'avait maintenue immobile, parce qu'elle se dépêche déjà d'attraper son blouson et son parapluie (une bruine persistante, glacée, mouille la ville).
OK.
VPC.
El timbre del portero eléctrico interrumpe la tarea de subir el cierre al abrigo.
La sonnette de l'interphone l'interrompt alors qu'elle monte la fermeture éclair de son manteau.
El timbre del portero eléctrico interrumpe la tarea de subir el cierre al abrigo.
La sonnette de l'interphone l'interrompt alors qu'elle monte la fermeture éclair de son manteau.
OK.
Elena ?
La sonnette de l'interphone l'interrompt alors qu'elle monte la fermeture éclair de son manteau.
OK.
VPC.
—¿Quién es? —pregunta con una sonrisa. Supone se trata de la broma inocente de alguno de los niños. —Correo Argentino —gruñe una voz desconocida.
— Qui est-ce ? demande-t-elle avec un sourire. Elle imagine qu'il s'agit de la blague innocente d'un des enfants.
— Le facteur, grogne une voix inconnue.
—¿Quién es? —pregunta con una sonrisa. Supone se trata de la broma inocente de alguno de los niños. —Correo Argentino —gruñe una voz desconocida.
— Qui est-ce ? demande-t-elle avec un sourire. Elle imagine qu'il s'agit de la blague innocente d'un des enfants.
— Le facteur, grogne une voix inconnue.
OK.
Elena ?
—¿Quién es? —pregunta con una sonrisa. Supone se trata de la broma inocente de alguno de los niños. —Correo Argentino —gruñe una voz desconocida.
— Qui est-ce ? demande-t-elle avec un sourire. Elle imagine qu'il s'agit de la blague innocente d'un des enfants.
— Le facteur, grogne une voix inconnue.
OK.
Elena ?
— Qui est-ce ? demande-t-elle avec un sourire. Elle imagine qu'il s'agit de la blague innocente d'un des enfants.
— Le facteur, grogne une voix inconnue.
OK.
VPC.
— Qui est-ce ? demande-t-elle avec un sourire. Elle imagine qu'il s'agit de la blague innocente d'un des enfants.
— Le facteur, grogne une voix inconnue.
OK.
VPC.
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