Caminamos hacia el restaurante, uno muy elegante, frente al puerto. Me pregunta si no me pone triste este frío, esta lluvia. Sí, me pone triste, muy triste. Es desde el frío y la lluvia que empiezo a extrañar el cielo gris de mi ciudad, aquel que describió Melville, cielo muy gris que te pone triste, pero... que no te malogra los zapatos. Es que en Lima nunca llueve. Finalmente llegamos. Hay una española con Alfredo, que, como todas las españolas, insiste impacientemente en la hora de la cena.
Traduction temporaire :
Nous marchons vers un restaurant, particulièrement raffiné, face au port. Il me demande si ce froid et cette pluie ne me rendent pas triste. Oui, ça me rend triste, très triste. C’est depuis le froid et la pluie que je commence à regretter le ciel gris de ma ville, celui décrit par Melville, un ciel très gris qui rend triste, mais… qui ne ruine pas les chaussures. À Lima, il ne pleut jamais. Nous arrivons enfin. Il y a une Espagnole avec Alfredo, qui, comme toutes les Espagnoles, insiste lourdement pour aller manger.
Nous marchons vers un restaurant, particulièrement raffiné, face au port. Il me demande si ce froid et cette pluie ne me rendent pas triste. Oui, ça me rend triste, très triste. C’est depuis le froid et la pluie que je commence à regretter le ciel gris de ma ville, celui décrit par Melville, un ciel très gris qui rend triste, mais… qui ne ruine pas les chaussures. À Lima, il ne pleut jamais. Nous arrivons enfin. Il y a une Espagnole avec Alfredo, qui, comme toutes les Espagnoles, insiste lourdement pour aller manger.