Ocurre lo inesperado... Tomas tu corbata y rozas mi mano. Me miras confundido, como te miro yo... Y veo tu asombro.. Igual al mío... El tiempo se detiene en el momento en que descubro esa veta verdosa en tus bellos ojos marrones que hace tanto tiempo no veía de frente.... Te acercas y tomas mi cara con las dos manos... Me miras y me preguntas tímidamente.. "y como estas.. "Nos miramos, nos reímos nerviosos y nos sentamos en el suelo...conversamos... Se va la luz de afuera y escuchamos como nos llaman nuestros hijos desde la sala... Sonreímos y nos tomamos de las manos... Es que hace tanto no nos veíamos...
Traduction temporaire :
L’inattendu se produit… Tu prends ta cravate et frôles ma main. Tu me regardes, déconcerté, de la même manière que je te regarde, moi… Et je vois ton étonnement… Semblable au mien… Le temps s’arrête au moment où je découvre cette veine verdâtre dans tes beaux yeux marron que je n’avais plus vu en face depuis si longtemps… Tu te rapproches et prends mon visage dans tes deux mains… Tu me regardes et me demandes timidement « comment tu vas, toi… » Nous nous regardons, nous rions nerveusement et nous nous asseyons par terre… nous parlons… La lumière extérieure s’en va et nous écoutons nos enfants nous appeler depuis le salon… Nous sourions et nous nous prenons les mains… Cela faisait si longtemps que nous nous voyions plus…
L’inattendu se produit… Tu prends ta cravate et frôles ma main. Tu me regardes, déconcerté, de la même manière que je te regarde, moi… Et je vois ton étonnement… Semblable au mien… Le temps s’arrête au moment où je découvre cette veine verdâtre dans tes beaux yeux marron que je n’avais plus vu en face depuis si longtemps… Tu te rapproches et prends mon visage dans tes deux mains… Tu me regardes et me demandes timidement « comment tu vas, toi… » Nous nous regardons, nous rions nerveusement et nous nous asseyons par terre… nous parlons… La lumière extérieure s’en va et nous écoutons nos enfants nous appeler depuis le salon… Nous sourions et nous nous prenons les mains… Cela faisait si longtemps que nous nous voyions plus…
9 commentaires:
L’inespéré arrive… Tu prends ta cravate et frôles ma main. Tu me regardes, confus, il en est de même pour moi… Et je vois ton étonnement… idem pour moi… Le temps s’arrête au moment où je découvre cette veine verdâtre dans tes beaux yeux marron que je n’avais pas vu en face depuis si longtemps… Tu te rapproches et prends mon visage dans tes mains… Tu me regardes et me demandes timidement «comment tu vas toi… » Nous nous regardons, nous rions nerveusement et nous nous asseyons par terre… nous parlons… La lumière extérieure s’en va et nous écoutons nos enfants nous appeler depuis le salon… Nous sourions et nous nous prenons les mains… cela faisait si longtemps que nous nous voyions plus…
L’inespéré [sûre ?] arrive… Tu prends ta cravate et frôles ma main. Tu me regardes, confus [on le dirait naturellement ? J'ai beau me le répéter, ça ne me paraît pas bien coller, mais je ne trouve rien d'autre pour l'instant // essayez de chercher ; regardez dans le dico unilingue, DRAE, pour voir toutes les définitions], il en est de même pour moi [non, la répétition est volontaire]… Et je vois ton étonnement… idem pour moi [pas ce qui est dit]… Le temps s’arrête au moment où je découvre cette veine verdâtre dans tes beaux yeux marron que je n’avais pas vu en face depuis si longtemps… Tu te rapproches et prends mon visage dans tes [le « dos » est en V.O. ? On choisit de supprimer ?] mains… Tu me regardes et me demandes timidement «[ESPACE !]comment tu vas toi [ajout nécessaire ? Si oui, mettez une virgule devant // tu toi, ça ne veux rien dire]… » Nous nous regardons, nous rions nerveusement et nous nous asseyons par terre… nous parlons… La lumière extérieure s’en va et nous écoutons nos enfants nous appeler depuis le salon… Nous sourions et nous nous prenons les mains… cela faisait si longtemps [un moyen de ne pas le répéter ? Sinon, tant pis ; je préfère une répétition à quelque chose d'artificiel] que nous nous voyions plus…
L’inattendu arrive… Tu prends ta cravate et frôles ma main. Tu me regardes, déconcerté, de la même manière que je te regarde… Et je vois ton étonnement… semblable au mien…Le temps s’arrête au moment où je découvre cette veine verdâtre dans tes beaux yeux marron que je n’avais pas vu en face depuis si longtemps… Tu te rapproches et prends mon visage dans tes [le « dos » est en V.O. ? On choisit de supprimer ? Ce n’est pas redondant les deux mains ? On ne peut pas en avoir plus... Cependant, en espagnol, c’est pareil...] mains… Tu me regardes et me demandes timidement « comment tu vas, toi… » Nous nous regardons, nous rions nerveusement et nous nous asseyons par terre… nous parlons… La lumière extérieure s’en va et nous écoutons nos enfants nous appeler depuis le salon… Nous sourions et nous nous prenons les mains… cela faisait si longtemps que nous nous voyions plus…
L’inattendu arrive [« se produit » ?]… Tu prends ta cravate et frôles ma main. Tu me regardes, déconcerté, de la même manière que je te regarde [« , moi » ?]… Et je vois ton étonnement… semblable [majuscule en V.O.] au mien…[espace]Le temps s’arrête au moment où je découvre cette veine verdâtre dans tes beaux yeux marron que je n’avais pas vu [grammaire] en face depuis si longtemps… Tu te rapproches et prends mon visage dans tes [le « dos » est en V.O. ? On choisit de supprimer ? Ce n’est pas redondant les deux mains ? On ne peut pas en avoir plus... Cependant, en espagnol, c’est pareil... // Je sais, et c'est pour ça que je vous ai dit que vu qu'il l'avais mis en V.O., je me demandais s'il ne fallait pas malgré tout faire pareil] mains… Tu me regardes et me demandes timidement « comment tu vas, toi… » Nous nous regardons, nous rions nerveusement et nous nous asseyons par terre… nous parlons… La lumière extérieure s’en va et nous écoutons nos enfants nous appeler depuis le salon… Nous sourions et nous nous prenons les mains… cela faisait si longtemps que nous nous voyions plus…
L’inattendu se produit… Tu prends ta cravate et frôles ma main. Tu me regardes, déconcerté, de la même manière que je te regarde, moi… Et je vois ton étonnement… Semblable au mien… Le temps s’arrête au moment où je découvre cette veine verdâtre dans tes beaux yeux marron que je ne voyais plus en face depuis si longtemps… Tu te rapproches et prends mon visage dans tes deux mains… Tu me regardes et me demandes timidement « comment tu vas, toi… » Nous nous regardons, nous rions nerveusement et nous nous asseyons par terre… nous parlons… La lumière extérieure s’en va et nous écoutons nos enfants nous appeler depuis le salon… Nous sourions et nous nous prenons les mains… Cela faisait si longtemps [Est-ce qu’une locution telle que « ça fait des lustres » ferait trop familière ici?(pour éviter la répétition)] que nous nous voyions plus…
L’inattendu se produit… Tu prends ta cravate et frôles ma main. Tu me regardes, déconcerté, de la même manière que je te regarde, moi… Et je vois ton étonnement… Semblable au mien… Le temps s’arrête au moment où je découvre cette veine verdâtre dans tes beaux yeux marron que je ne voyais [PQP ?] plus en face depuis si longtemps… Tu te rapproches et prends mon visage dans tes deux mains… Tu me regardes et me demandes timidement « comment tu vas, toi… » Nous nous regardons, nous rions nerveusement et nous nous asseyons par terre… nous parlons… La lumière extérieure s’en va et nous écoutons nos enfants nous appeler depuis le salon… Nous sourions et nous nous prenons les mains… Cela faisait si longtemps [Est-ce qu’une locution telle que « ça fait des lustres » ferait trop familière ici?(pour éviter la répétition) // oui, tant pis, laissez la répétition] que nous nous voyions plus…
L’inattendu se produit… Tu prends ta cravate et frôles ma main. Tu me regardes, déconcerté, de la même manière que je te regarde, moi… Et je vois ton étonnement… Semblable au mien… Le temps s’arrête au moment où je découvre cette veine verdâtre dans tes beaux yeux marron que je n’avais plus vu en face depuis si longtemps… Tu te rapproches et prends mon visage dans tes deux mains… Tu me regardes et me demandes timidement « comment tu vas, toi… » Nous nous regardons, nous rions nerveusement et nous nous asseyons par terre… nous parlons… La lumière extérieure s’en va et nous écoutons nos enfants nous appeler depuis le salon… Nous sourions et nous nous prenons les mains… Cela faisait si longtemps que nous nous voyions plus…
L’inattendu se produit… Tu prends ta cravate et frôles ma main. Tu me regardes, déconcerté, de la même manière que je te regarde, moi… Et je vois ton étonnement… Semblable au mien… Le temps s’arrête au moment où je découvre cette veine verdâtre dans tes beaux yeux marron que je n’avais plus vu en face depuis si longtemps… Tu te rapproches et prends mon visage dans tes deux mains… Tu me regardes et me demandes timidement « comment tu vas, toi… » Nous nous regardons, nous rions nerveusement et nous nous asseyons par terre… nous parlons… La lumière extérieure s’en va et nous écoutons nos enfants nous appeler depuis le salon… Nous sourions et nous nous prenons les mains… Cela faisait si longtemps que nous nous voyions plus…
OK.
Maintenant, relisez et envoyez-moi le tout par mail.
Un autre texte ?
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