lundi 2 février 2015

Projet Émilie 7 – phrases 28-29

Contó que cuando llegó al patio de la escuela lo vio sentado en una silla, abrazado a la botella de vino, con el sombrero de paja tapándole los ojos. Cipriano dormía con una placidez que no le había visto en los dieciocho años que vivió con él, su padrino ignoraba, pensó Dionisio, que el tiempo se le acababa y que aún recibiría golpes de los que no se iba a reponer; y como si hubiera vislumbrado un modo de detener ese momento, lo apuñaló.

Traduction temporaire :
Il expliqua que lorsqu’il était arrivé dans la cour de l’école, il l’avait vu, assis sur une chaise, accroché à sa bouteille de vin, son chapeau de paille rabattu sur les yeux. Cipriano dormait avec une placidité que Dionisio n’avait jamais observée chez lui au cours des dix-huit ans qu'il avait vécus avec lui. Son parrain ignorait, s’était-il dit, que le temps lui était compté et qu’il recevrait encore des coups dont il ne se relèverait pas. Comme s’il avait entrevu un moyen de mettre fin à ce moment, il l’avait poignardé.

6 commentaires:

Emilie a dit…

Il expliqua que lorsqu’il était arrivé dans la cour de l’école, il l’avait vu assis sur une chaise, accroché à sa bouteille de vin, son chapeau de paille rabattu sur les yeux. Cipriano dormait avec une placidité que Dionisio n’avait jamais observée chez lui en dix-huit ans de vie commune [ça fait peut être trop « couple », non ?]. Son parrain ignorait, s’était-il dit, que le temps lui était compté et qu’il recevrait encore des coups dont il ne se relèverait pas. Comme s’il avait entrevu un moyen de mettre fin à ce moment, il l’avait poignardé.

Tradabordo a dit…

Il expliqua que lorsqu’il était arrivé dans la cour de l’école, il l’avait vu [virgule ? J'hésite] assis sur une chaise, accroché à sa bouteille de vin, son chapeau de [« en » ? Vérifie la fréquence d'usage sur Google – avec les guillemets, évidemment ; compare le nombre d'occurrences] paille rabattu sur les yeux. Cipriano dormait avec une placidité que Dionisio n’avait jamais observée chez lui en dix-huit ans de vie commune [ça fait peut être trop « couple », non ? Oui… Essaie de trouver une autre solution]. Son parrain ignorait, s’était-il dit, que le temps lui était compté et qu’il recevrait encore des coups dont il ne se relèverait pas. Comme s’il avait entrevu un moyen de mettre fin à ce moment, il l’avait poignardé.

Emilie a dit…

Il expliqua que lorsqu’il était arrivé dans la cour de l’école, il l’avait vu, assis sur une chaise, accroché à sa bouteille de vin, son chapeau de [+ de résultats] paille rabattu sur les yeux. Cipriano dormait avec une placidité que Dionisio n’avait jamais observée chez lui en dix-huit ans, depuis qu'il vivait avec lui. Son parrain ignorait, s’était-il dit, que le temps lui était compté et qu’il recevrait encore des coups dont il ne se relèverait pas. Comme s’il avait entrevu un moyen de mettre fin à ce moment, il l’avait poignardé.

Tradabordo a dit…

Il expliqua que lorsqu’il était arrivé dans la cour de l’école, il l’avait vu, assis sur une chaise, accroché à sa bouteille de vin, son chapeau de paille rabattu sur les yeux. Cipriano dormait avec une placidité que Dionisio n’avait jamais observée chez lui en dix-huit ans, depuis qu'il vivait avec lui [« au cours des dix-huit ans qu'il avait vécus avec lui » ?]. Son parrain ignorait, s’était-il dit, que le temps lui était compté et qu’il recevrait encore des coups dont il ne se relèverait pas. Comme s’il avait entrevu un moyen de mettre fin à ce moment, il l’avait poignardé.

Emilie a dit…

expliqua que lorsqu’il était arrivé dans la cour de l’école, il l’avait vu, assis sur une chaise, accroché à sa bouteille de vin, son chapeau de paille rabattu sur les yeux. Cipriano dormait avec une placidité que Dionisio n’avait jamais observée chez lui au cours des dix-huit ans qu'il avait vécus avec lui. Son parrain ignorait, s’était-il dit, que le temps lui était compté et qu’il recevrait encore des coups dont il ne se relèverait pas. Comme s’il avait entrevu un moyen de mettre fin à ce moment, il l’avait poignardé.

Tradabordo a dit…

Il expliqua que lorsqu’il était arrivé dans la cour de l’école, il l’avait vu, assis sur une chaise, accroché à sa bouteille de vin, son chapeau de paille rabattu sur les yeux. Cipriano dormait avec une placidité que Dionisio n’avait jamais observée chez lui au cours des dix-huit ans qu'il avait vécus avec lui. Son parrain ignorait, s’était-il dit, que le temps lui était compté et qu’il recevrait encore des coups dont il ne se relèverait pas. Comme s’il avait entrevu un moyen de mettre fin à ce moment, il l’avait poignardé.

OK.

Ça manque un peu de fluidité, mais on verra au moment de la relecture.