Después un guardia lo regresa, Dionisio se acuesta boca arriba en su catre y se entrega vaya a saber a qué tribulaciones.
Dicen que tiene grande el corazón y que le prohibieron hacer fuerza.
Dicen que se estaba despertando cuando le anunciaron que podía irse y que cuando le abrieron la puerta, al ver la multitud con carteles y pancartas repudiando el Golpe de Onganía, se volvió al guardia y le dijo que lo dejara volver a entrar.
Traduction temporaire :
Ensuite, un garde le reconduit vers son grabat, et Dionisio s’allonge sur le dos pour s'abandonner à je ne sais quels tourments. On dit qu’il a bon cœur et qu’on lui a interdit d’être violent. On raconte qu’il était en train de se réveiller quand on lui a annoncé qu’il pouvait s’en aller, et que lorsqu’on lui a ouvert la porte, en voyant la foule brandir des affiches et des pancartes condamnant le Coup d’Onganía, il s’est retourné vers le garde et lui a demandé de le laisser rentrer.
Ensuite, un garde le reconduit vers son grabat, et Dionisio s’allonge sur le dos pour s'abandonner à je ne sais quels tourments. On dit qu’il a bon cœur et qu’on lui a interdit d’être violent. On raconte qu’il était en train de se réveiller quand on lui a annoncé qu’il pouvait s’en aller, et que lorsqu’on lui a ouvert la porte, en voyant la foule brandir des affiches et des pancartes condamnant le Coup d’Onganía, il s’est retourné vers le garde et lui a demandé de le laisser rentrer.
5 commentaires:
Ensuite, un garde le reconduit vers sa couche [je change pr éviter « sur le dos sur sa couche »…], et Dionisio s’allonge sur le dos pour se livrer à je ne sais quels tourments.
On dit qu’il a bon cœur et qu’on lui a interdit [j’hésite ici pr le temps : ps/pc, sachant que la fin, depuis le paragraphe précédent, est liée au présent, mais peut-être pas la toute fin] d’être violent.
On raconte qu’il était en train de se réveiller quand on lui a annoncé qu’il pouvait s’en aller, et que lorsqu’on lui a ouvert la porte, en voyant la foule brandir des affiches et des pancartes condamnant le Coup d’Onganía, il s’est retourné vers le garde et lui a demandé de le laisser rentrer.
Ensuite, un garde le reconduit vers sa couche [je change pr éviter « sur le dos sur sa couche »… // « grabat » ?], et Dionisio s’allonge sur le dos pour se livrer [« et s'abandonne » ?] à je ne sais quels tourments.
On dit qu’il a bon cœur et qu’on lui a interdit [j’hésite ici pr le temps : ps/pc, sachant que la fin, depuis le paragraphe précédent, est liée au présent, mais peut-être pas la toute fin // PC, à mon avis] d’être violent.
On raconte qu’il était en train de se réveiller quand on lui a annoncé qu’il pouvait s’en aller, et que lorsqu’on lui a ouvert la porte, en voyant la foule brandir des affiches et des pancartes condamnant le Coup d’Onganía, il s’est retourné vers le garde et lui a demandé de le laisser rentrer.
Ensuite, un garde le reconduit vers son grabat, et Dionisio s’allonge sur le dos pour s'abandonner à je ne sais quels tourments.
On dit qu’il a bon cœur et qu’on lui a interdit d’être violent.
On raconte qu’il était en train de se réveiller quand on lui a annoncé qu’il pouvait s’en aller, et que lorsqu’on lui a ouvert la porte, en voyant la foule brandir des affiches et des pancartes condamnant le Coup d’Onganía, il s’est retourné vers le garde et lui a demandé de le laisser rentrer.
Ensuite, un garde le reconduit vers son grabat, et Dionisio s’allonge sur le dos pour s'abandonner à je ne sais quels tourments.
On dit qu’il a bon cœur et qu’on lui a interdit d’être violent.
On raconte qu’il était en train de se réveiller quand on lui a annoncé qu’il pouvait s’en aller, et que lorsqu’on lui a ouvert la porte, en voyant la foule brandir des affiches et des pancartes condamnant le Coup d’Onganía, il s’est retourné vers le garde et lui a demandé de le laisser rentrer.
OK.
OK, tu peux relire. Je pense qu'il va y avoir un peu de boulot de lissage. Envoie quand c'est prêt.
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