El agua ya llega hasta tu cintura, el mar revuelve arena entre tus piernas. Párate así, de lado, mantén tus dos piernas bien firmes, te dice él mientras te va enseñando la posición, como el coloso de Rodas. Firme y seguro. Papi es muy grande. Tú también pones los brazos en la cintura. El reflujo arrastra el agua, las piedrecitas y la arena bajo tus pies, contorneándolos, como si te dejara flotando sobre la orilla. Volvamos… Él ahora es pura mitad.
Traduction temporaire :
L’eau t’arrive déjà à la taille, la mer brasse le sable entre tes cuisses. Mets-toi debout, comme ça, sur le côté ; tiens bien fermement tes deux jambes, dit-il en t’expliquant la position à prendre, tel le Colosse de Rhodes. Solide et sûr. Papa est très grand. Toi aussi, tu poses tes mains sur tes hanches. Le reflux emporte l’eau, les cailloux et le sable sous tes pieds, en les contournant, comme si tu flottais sur le bord. Rentrons… Désormais, il n’est rien qu’une moitié.
L’eau t’arrive déjà à la taille, la mer brasse le sable entre tes cuisses. Mets-toi debout, comme ça, sur le côté ; tiens bien fermement tes deux jambes, dit-il en t’expliquant la position à prendre, tel le Colosse de Rhodes. Solide et sûr. Papa est très grand. Toi aussi, tu poses tes mains sur tes hanches. Le reflux emporte l’eau, les cailloux et le sable sous tes pieds, en les contournant, comme si tu flottais sur le bord. Rentrons… Désormais, il n’est rien qu’une moitié.
5 commentaires:
L’eau t’arrive déjà jusqu’à la taille, la mer brasse le sable entre tes cuisses. Mets-toi debout, comme ça, sur le côté ; maintiens tes deux jambes bien fermement, dit-il en t’expliquant la position à prendre, tel le Colosse de Rhodes. Solide et sûr. Papa est très grand. Toi aussi, tu poses tes mains sur tes hanches. Le reflux emporte l’eau, les cailloux et le sable sous tes pieds, en les contournant, comme si tu flottais sur le bord. Rentrons… Désormais, il n’est rien qu’une moitié.
L’eau t’arrive déjà jusqu’[nécessaire ?]à la taille, la mer brasse le sable entre tes cuisses. Mets-toi debout [FS/CS ? J'hésite ; il s'agit d'être debout ou immobile ?], comme ça, sur le côté ; maintiens tes deux jambes bien fermement [naturel ? J'hésite, là aussi…], dit-il en t’expliquant la position à prendre, tel le Colosse de Rhodes. Solide et sûr. Papa est très grand. Toi aussi, tu poses tes mains sur tes hanches. Le reflux emporte l’eau, les cailloux et le sable sous tes pieds, en les contournant, comme si tu flottais sur le bord. Rentrons… Désormais, il n’est rien qu’une moitié.
L’eau t’arrive déjà à la taille, la mer brasse le sable entre tes cuisses. Mets-toi debout [FS/CS ? J'hésite ; il s'agit d'être debout ou immobile ? // MARIA MOLINER : 4 tr. y prnl. Hispam. Ponerse de pie. Je crois bien qu'il s'agit de se mettre debout ici. La phrase précédente indique que la fillette est assise, les jambes étendues sur le rivage. Ensuite, son père lui fait prendre une pose debout, comme le colosse de Rhodes. Chloé, ton avis ?], comme ça, sur le côté ; tiens bien fermement tes deux jambes, dit-il en t’expliquant la position à prendre, tel le Colosse de Rhodes. Solide et sûr. Papa est très grand. Toi aussi, tu poses tes mains sur tes hanches. Le reflux emporte l’eau, les cailloux et le sable sous tes pieds, en les contournant, comme si tu flottais sur le bord. Rentrons… Désormais, il n’est rien qu’une moitié.
L’eau t’arrive déjà à la taille, la mer brasse le sable entre tes cuisses. Mets-toi debout, comme ça, sur le côté ; tiens bien fermement tes deux jambes, dit-il en t’expliquant la position à prendre, tel le Colosse de Rhodes. Solide et sûr. Papa est très grand. Toi aussi, tu poses tes mains sur tes hanches. Le reflux emporte l’eau, les cailloux et le sable sous tes pieds, en les contournant, comme si tu flottais sur le bord. Rentrons… Désormais, il n’est rien qu’une moitié.
OK.
Chloé ?
Ok
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