jeudi 5 février 2015

Projet Simon / Pablo – phrases 12-16

El escuchar el ruido que se produjo en ese momento le produjo un gran placer; estar a punto de violar el contenido resguardado por tantos siglos, que sería suyo únicamente. Uno posee sólo aquello que es capaz de destruir. La chaise-longue era de cuero natural, negro. La miraba cada noche, antes de recostarse en ella, dispuesto a disfrutar de su momento de mayor intimidad. Y sin embargo, nunca dejaba de maravillarse de su diseño, de lo armonioso y austero de sus líneas, siempre era como cuando la había visto la primera vez en aquel mercado de pulgas.

Traduction temporaire :
Entendre le bruit qui se produisit à cet instant lui procura un immense plaisir ; être sur le point de violer le contenu protégé depuis tant de siècles, qui n’appartiendrait qu’à lui seul. On possède uniquement ce que l’on peut détruire. La chaise-longue* était en cuir naturel, noir. Il la regardait chaque nuit, avant de s’y allonger, bien disposé à profiter d’un moment de grande intimité. Et cependant, il ne se lassait jamais de s’émerveiller de son design, de l’harmonie et de l'austérité de ses lignes. Elle était toujours telle qu’il l’avait vue la première fois sur ce marché aux puces. 

15 commentaires:

Simon a dit…

L’écoute du bruit qui survenu à ce moment lui provoqua un grand plaisir ; être sur le point de violer le contenu protégé depuis tant de siècles, qui n’appartiendrait qu’à lui seul. On possède uniquement ce que l’on peut détruire. La chaise-longue était en cuir naturel, noir. Il la regardait chaque nuit, avant de s’y allonger, prêt à profiter d’un moment de grande intimité. Et cependant, il ne se lassait pas de s’émerveiller de son design, de l’harmonie et de l'austérité de ses lignes. C’était resté identique au jour où il l’avait vu pour la première fois dans ce marché aux puces.

Tradabordo a dit…

L’écoute [je crois que ce serait sans doute mieux avec un verbe, comme en V.O.] du bruit qui survenu [bon, je vous laisse relire tout ça… et sans doute la suite aussi ; histoire de faire le ménage avant que je prenne le temps de regarder]


à ce moment lui provoqua un grand plaisir ; être sur le point de violer le contenu protégé depuis tant de siècles, qui n’appartiendrait qu’à lui seul. On possède uniquement ce que l’on peut détruire. La chaise-longue était en cuir naturel, noir. Il la regardait chaque nuit, avant de s’y allonger, prêt à profiter d’un moment de grande intimité. Et cependant, il ne se lassait pas de s’émerveiller de son design, de l’harmonie et de l'austérité de ses lignes. C’était resté identique au jour où il l’avait vu pour la première fois dans ce marché aux puces.

Simon a dit…

ok j'ai voulu aller trop vite. voici une autre proposition pour la première phrase :

Entendre le bruissement qui se produit à cet instant lui procura un immense plaisir ;

Tradabordo a dit…

Mais si vous allez trop vite, ça ne vous fait pas gagner du temps et moi, ça m'en fait perdre avec un tour pour rien.

Remettez l'ensemble.

Simon a dit…

Entendre le bruissement qui se produisit à cet instant lui procura un immense plaisir ; être sur le point de violer le contenu protégé depuis tant de siècles, qui n’appartiendrait qu’à lui seul. On possède uniquement ce que l’on peut détruire. La chaise-longue était en cuir naturel, noir. Il la regardait chaque nuit, avant de s’y allonger, prêt à profiter d’un moment de grande intimité. Et cependant, il ne se lassait pas de s’émerveiller de son design, de l’harmonie et de l'austérité de ses lignes. Elle était restée identique au jour où il l’avait vu pour la première fois dans ce marché aux puces.

Tradabordo a dit…

Entendre le bruissement [on peut l'utiliser pour le genre de bruit dont il s'agit ici ? Vérifiez, quand même…] qui se produisit à cet instant lui procura un immense plaisir ; être sur le point de violer le contenu protégé depuis tant de siècles, qui n’appartiendrait qu’à lui seul. On possède uniquement ce que l’on peut détruire. La chaise-longue* [le * sert à indiquer au lecteur français que c'était en français dans la V.O.] était en cuir naturel, noir. Il la regardait chaque nuit, avant de s’y allonger, prêt [FS ici, à mon avis] à profiter d’un moment de grande intimité. Et cependant, il ne se lassait pas [« nunca »] de s’émerveiller de son design, de l’harmonie et de l'austérité de ses lignes. Elle était restée identique au jour où []pas moyen de rester plus près de la V.O. il l’avait vu pour la première fois dans ce marché aux puces.

Simon a dit…

Entendre le bruit [je pensais aussi à son/musique mais existant en espagnol je préfère rester proche de la VO] qui se produisit à cet instant lui procura un immense plaisir ; être sur le point de violer le contenu protégé depuis tant de siècles, qui n’appartiendrait qu’à lui seul. On possède uniquement ce que l’on peut détruire. La chaise-longue* était en cuir naturel, noir. Il la regardait chaque nuit, avant de s’y allonger, disposé à profiter d’un moment de grande intimité. Et cependant, il ne se lassait jamais de s’émerveiller de son design, de l’harmonie et de l'austérité de ses lignes. Elle était toujours telle qu’il l’avait vue [vue -> accord?] la première fois dans ce marché aux puces.

Tradabordo a dit…

Entendre le bruit qui se produisit à cet instant lui procura un immense plaisir ; être sur le point de violer le contenu protégé depuis tant de siècles, qui n’appartiendrait qu’à lui seul. On possède uniquement ce que l’on peut détruire. La chaise-longue* était en cuir naturel, noir. Il la regardait chaque nuit, avant de s’y allonger, disposé à [ou dans le sens : « bien disposé à » ? Je vous laisse réfléchir…] profiter d’un moment de grande intimité. Et cependant, il ne se lassait jamais de s’émerveiller de son design, de l’harmonie et de l'austérité de ses lignes. Elle était toujours telle qu’il l’avait vue la première fois dans ce marché aux puces.

Simon a dit…

Entendre le bruit qui se produisit à cet instant lui procura un immense plaisir ; être sur le point de violer le contenu protégé depuis tant de siècles, qui n’appartiendrait qu’à lui seul. On possède uniquement ce que l’on peut détruire. La chaise-longue* était en cuir naturel, noir. Il la regardait chaque nuit, avant de s’y allonger, bien disposé à profiter d’un moment de grande intimité. Et cependant, il ne se lassait jamais de s’émerveiller de son design, de l’harmonie et de l'austérité de ses lignes. Elle était toujours telle qu’il l’avait vue la première fois dans ce marché aux puces.

Tradabordo a dit…

Entendre le bruit qui se produisit à cet instant lui procura un immense plaisir ; être sur le point de violer le contenu protégé depuis tant de siècles, qui n’appartiendrait qu’à lui seul. On possède uniquement ce que l’on peut détruire. La chaise-longue* était en cuir naturel, noir. Il la regardait chaque nuit, avant de s’y allonger, bien disposé à profiter d’un moment de grande intimité. Et cependant, il ne se lassait jamais de s’émerveiller de son design, de l’harmonie et de l'austérité de ses lignes. Elle était toujours telle qu’il l’avait vue la première fois dans [ou « , sur » ?] ce marché aux puces.

Simon a dit…

Entendre le bruit qui se produisit à cet instant lui procura un immense plaisir ; être sur le point de violer le contenu protégé depuis tant de siècles, qui n’appartiendrait qu’à lui seul. On possède uniquement ce que l’on peut détruire. La chaise-longue* était en cuir naturel, noir. Il la regardait chaque nuit, avant de s’y allonger, bien disposé à profiter d’un moment de grande intimité. Et cependant, il ne se lassait jamais de s’émerveiller de son design, de l’harmonie et de l'austérité de ses lignes. Elle était toujours telle qu’il l’avait vue la première fois sur ce marché aux puces.

Tradabordo a dit…

Entendre le bruit qui se produisit à cet instant lui procura un immense plaisir ; être sur le point de violer le contenu protégé depuis tant de siècles, qui n’appartiendrait qu’à lui seul. On possède uniquement ce que l’on peut détruire. La chaise-longue* était en cuir naturel, noir. Il la regardait chaque nuit, avant de s’y allonger, bien disposé à profiter d’un moment de grande intimité. Et cependant, il ne se lassait jamais de s’émerveiller de son design, de l’harmonie et de l'austérité de ses lignes. Elle était toujours telle qu’il l’avait vue la première fois sur ce marché aux puces.

OK.

Pablo ?

Pablo Mir a dit…

Bien évidemment, pour moi c'est bon ; je voudrais juste vous poser deux questions:
1) Quelle est la différence ( au niveau lexical ) entre « disposé » et « bien disposé » ? Normalement, je trouve que certains mots comme « bien » ou « tout » peuvent éventuellement fonctionner comme une sorte d'adverbes de quantité. C'est le cas ?
2) Lorsqu'on dit, par exemple, « on s'est rencontrés pour la première fois... », on trouve la préposition « pour », mais pas dans ce cas. Pourquoi ? La situation est différente ?

Excusez-moi ces questions sûrement un peu évidentes pour vous, mais je pense que mon objectif lors du travail des textes en version, c'est d'essayer de me familiariser avec ces nuances qui peuvent, á un moment donné, me faire perdre quelques points.

Merci d'avance. Je vais donc poursuivre avec le fragment suivant.

Tradabordo a dit…

Ouf… Posez-moi ces questions en cours. Car là, si en plus de suivre toutes les équipes engagées dans le projet (ce qui me prend plusieurs heures par jour), je devais m'occuper aussi de cette partie pédagogique, je ne m'en sortirais pas.

Pablo Mir a dit…

Ok, pas de soucis. Je le note tout de suite.
Merci