Ulises Gutiérrez Llantoy (Pérou)
The Cure en Huancayo
Para «Los Grillos de Medianoche»
Había solo una manera de llegar indemne a casa: caminar en fila india por el centro de las calles, ondeando una bandera blanca, y encomendarse a «Justo Juez», el santo de mi madre, para no encontrarse en el camino con un pelotón de terrucos o una patrulla del Ejército.
Traduction temporaire :
Ulises Gutiérrez Llantoy (Pérou)
The Cure à Huancayo
Pour « Les Grillons de Minuit »
Il n'y avait qu'un seul moyen d'arriver indemne à la maison : marcher en file indienne au milieu des rues, en faisant flotter un drapeau blanc, et s'en remettre à « Justo Juez », le saint patron de ma mère, pour ne pas rencontrer en chemin un peloton de terroristes ou une patrouille de l'armée.
10 commentaires:
Ulises Gutiérrez Llantoy (Pérou)
The Cure à Huancayo
Pour «Les Grillons de Minuit»
Il n'y avait qu'un seul moyen pour arriver indemne à la maison : marcher en file indienne au milieu des rues, en faisant flotter un drapeau blanc, et s'en remettre à «Justo Juez», le saint de ma mère, pour ne pas rencontrer en chemin un peloton de terroristes ou une patrouille de l'armée.
Ulises Gutiérrez Llantoy (Pérou)
The Cure à Huancayo
Pour «[espace]Les Grillons de Minuit[espace]»
Il n'y avait qu'un seul moyen pour [« d' » ?] arriver indemne à la maison : marcher en file indienne au milieu des rues, en faisant flotter un drapeau blanc, et s'en remettre à «[espace]Justo Juez[espace]», le saint de [bizarre sans chevilles, non ?] ma mère, pour ne pas rencontrer en chemin un peloton de terroristes ou une patrouille de l'armée.
Ulises Gutiérrez Llantoy (Pérou)
The Cure à Huancayo
Pour « Les Grillons de Minuit »
Il n'y avait qu'un seul moyen d'arriver indemne à la maison : marcher en file indienne au milieu des rues, en faisant flotter un drapeau blanc, et s'en remettre à « Justo Juez », le saint en qui ma mère croit, pour ne pas rencontrer en chemin un peloton de terroristes ou une patrouille de l'armée.
Ulises Gutiérrez Llantoy (Pérou)
The Cure à Huancayo
Pour « Les Grillons de Minuit »
Il n'y avait qu'un seul moyen d'arriver indemne à la maison : marcher en file indienne au milieu des rues, en faisant flotter un drapeau blanc, et s'en remettre à « Justo Juez », le saint en qui ma mère croit [vérifie si on ne dirait pas « le saint patron de » – en même temps, j'ai un doute… il ne faudrait pas que ça renvoie à sa fête…], pour ne pas rencontrer en chemin un peloton de terroristes ou une patrouille de l'armée.
Ulises Gutiérrez Llantoy (Pérou)
The Cure à Huancayo
Pour « Les Grillons de Minuit »
Il n'y avait qu'un seul moyen d'arriver indemne à la maison : marcher en file indienne au milieu des rues, en faisant flotter un drapeau blanc, et s'en remettre à « Justo Juez », le saint patron de ma mère, pour ne pas rencontrer en chemin un peloton de terroristes ou une patrouille de l'armée.
1) Oui, on peut utiliser "le saint patron de" dans ce cas-là sans forcément faire allusion à une fête.
Ulises Gutiérrez Llantoy (Pérou)
The Cure à Huancayo
Pour « Les Grillons de Minuit »
Il n'y avait qu'un seul moyen d'arriver indemne à la maison : marcher en file indienne au milieu des rues, en faisant flotter un drapeau blanc, et s'en remettre à « Justo Juez », le saint patron de ma mère, pour ne pas rencontrer en chemin un peloton de terroristes ou une patrouille de l'armée.
OK.
Aujourd'hui, en cours, on a évoqué "les pulsions de traduire", alors on continue ? ;-))
Tu as dit quoi à ce sujet ? Je ne te mettrais la suite que si tu me réponds ;-)
J'ai répondu que Saint-Jérôme avait une libido débordante, et que la nuit venue, il dansait collé-serré avec le texte "source" en sautillant comme une puce sur son lit... Ce qui explique l’inévitable frénésie chez nous autres, les traducteurs, qui en se tordant l'esprit souvent pendant des heures, des journées, des semaines entières, développent des troubles psychiques irrémédiables s'assimilant plus à la folie qu'à la passion. La traduction a trop de sex-appeal quoi !
J'ai répondu que Saint-Jérôme avait une libido débordante, et que la nuit venue, il dansait collé-serré avec le texte "source" en sautillant comme une puce sur son lit... Ce qui explique l’inévitable frénésie chez nous autres, les traducteurs, qui en se tordant l'esprit souvent pendant des heures, des journées, des semaines entières, développent des troubles psychiques irrémédiables s'assimilant plus à la folie qu'à la passion. La traduction a trop de sex-appeal quoi !
OK. C'est bien. Je te mets la suite :-)
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